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100. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Balzac. (1594-1655.) » pp. 2-6

Jésus-Christ a ainsi traité les sages du monde : de cette sorte il a pacifié leurs querelles et leurs guerres.

101. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Pascal. (1623-1662.) » pp. 35-39

Villemain, qui a traité « de Pascal considéré comme écrivain et comme moraliste » ; M.

102. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Descartes, 1596-1650 » pp. 9-14

Descartes désigne sans doute son Traité du Monde, à l’impression duquel il renonça en apprenant la condamnation de Galilée (1633).

103. (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885

Cicéron lui-même ne composa-t-il pas la plupart de ses traités philosophiques pendant l’exil où le réduisit Clodius et pendant sa retraite de la vie publique après la bataille de Pharsale ? […] C’est là surtout que l’on voit l’erreur déplorable du procédé tragique employé par Corneille, surtout si l’on réfléchit que Racine a traité le même sujet dans Andromaque : quelle distance entre Pertharite, où nous ne voyons presque qu’une situation obscure à plaisir, et Andromaque, où les personnages si vivants, et les caractères si intéressants nous attachent et nous captivent ! […] La Laitière et le pot au lait, sujet traité avec beaucoup de bonheur dans un gracieux conte par Bonaventure des Périers, est devenu, dans les mains de La Fontaine, une fable incomparable et supérieure encore à son modèle. […] Les tendances dogmatiques de Boileau semblent avoir été fortifiées encore par la traduction et l’étude du Traité du Sublime, de Longin ; Fénelon mettait cet opuscule au-dessus de la rhétorique d’Aristote, et il est en effet le premier traité de l’Antiquité où la critique littéraire soit considérée comme une science à part ; quoique Longin y fasse preuve d’un éclectisme assez large, c’est une critique encore toute dogmatique. […] Après lui, Avienus a traité le même sujet.

104. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »

Malherbe, dans cette ode admirable adressée au roi Louis XIII en 1627, lorsqu’il allait réduire la Rochelle et chasser les Anglais qui, pour soutenir la révolte dans cette ville, avaient fait une descente en l’île de Ré, après avoir à moitié traité son sujet et avoir annoncé au roi que la Victoire l’attend aux bords de la Charente, rappelle que cette déesse a sauvé autrefois Jupiter attaqué par les Titans, et, à ce propos, raconte rapidement cette guerre : Telle en ce grand assaut où des fils de la terre La rage ambitieuse à leur honte parut, Elle sauva le ciel et rua le tonnerre         Dont Briare mourut. […] Petit traité des figures, §§ 60, 61, p. 141 et 146. […] Voyez cette pièce tout entière dans le § 54 du Petit traité des figures et des formes du style.

105. (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs

Ses Discours chrestiens (1600) et son Traité des trois Vérités (1594) sont d’un orthodoxe, catholique et romain ; son Traité de la Sagesse est d’un sceptique. […] C’est à la Rochelle qu’il publia (1563) son premier traité, fruit de ses études géologiques, agronomiques, chimiques. […] Plus un Traité de la Marne, fort utile et nécessaire pour ceux qui se mellent d’agriculture. […] C’est à la demande de Henri IV qu’il fît de ces lettres de direction spirituelle à une dame de ses parentes le traité de l’Introduction à la vie dévote (1608). Il a écrit encore Philothée ou Traité de l’amour de Dieu, des sermons, des controverses, etc.

106. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre IX. Parallèle des Oraisons funèbres de Condé, par Bossuet et de Turenne, par Fléchier et Mascaron. »

Et quand de pareils sujets ont été traités par les maîtres de l’art, leurs ouvrages sont ou des monuments à admirer, ou des leçons importantes à étudier, pour les mettre un jour en pratique.

107. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Corneille, 1606-1684 » pp. 26-31

Quand vous avez traité la pauvre Chimène d’impudique, de parricide, de monstre, ne vous êtes-vous pas souvenu que la reine, les princesses et les plus vertueuses dames de la cour et de Paris l’ont reçue et caressée en fille d’honneur ?

108. (1867) Rhétorique nouvelle « Tableau des arguments » pp. 306-

Prenons cet exemple banal qui traîne dans tous les traités : Il faut aimer ce qui nous rend heureux, Or la Vertu nous rend heureux, Donc il faut aimer la Vertu.

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