Car enfin qu’est-ce qu’une gloire dont aucun titre ne subsiste ?
Ce ne sont pas là, toutefois, ses seuls titres de gloire.
Dans les récits réunis sous le titre de Grandeur et servitude militaires, il représente la lutte de l’honneur et de la raison, du devoir et de l’humanité : ce fut un succès d’attendrissement.
Ses écrits portent les titres de Maximes, Caractères, Méditations, Introduction à la connaissance de l’esprit humain.
I Les noms qui expriment un titre, une dignité, une profession, se mettent communément après le nom propre, quand ces mots sont simplement explicatifs. […] Mais quand ces noms sont employés comme titres honorifiques, comme termes de louange ou de blâme, ils se mettent avant le nom propre, pour mieux faire ressortir la qualité qu’ils désignent. […] On dit de même en français, en mettant en avant le titre honorifique : Monsieur le duc, madame la comtesse.
Le titre de l’original, les noms et les rangs des personnages sont conservés ou changés de manière à ce qu’on les reconnaisse ; l’action, l’intrigue, la catastrophe reviennent aussi. […] L’opéra-comique, considéré au point de vue littéraire, est exactement la même chose que le vaudeville ; il en diffère au point de vue musical, en ce que, d’une part, la musique est faite spécialement pour cette pièce par un compositeur en titre ; ensuite, en ce que les morceaux de musique y sont beaucoup plus développés, et qu’on peut y employer toutes les ressources de l’art.
Il le prie d’user de son influence pour faire réparer cette injustice et rappelle les titres du grand poète à la protection du roi. […] Les colons américains ne veulent pas se soustraire aux charges que leur impose le titre de citoyens anglais, mais ils entendent jouir des franchises que ce titre leur assure. […] Auguste, au contraire, préoccupé, avant tout, des intérêts de Rome, prèt à sacrifier des titres dont il sent tout le poids, sage et modéré dans sa toute-puissance, se montre digne de respect et d’admiration. […] J’essayerai de faire comprendre que le capital est, lui aussi, un agent de la production et qu’il doit à ce titre être rémunéré. […] Je ne vais point toutefois jusqu’à vous proposer de répandre à travers l’Europe entière avec une prodigalité insouciante, le titre et les privilèges du citoyen français.
Les adorateurs des grandeurs humaines seront-ils satisfaits de leur fortune, quand ils verront que dans un moment leur gloire passera à leur nom, leurs titres à leurs tombeaux, leurs biens à des ingrats, et leurs dignités peut-être à des envieux ?
Il déclare qu’il se regarde comme le consul du peuple, et qu’il se fera toujours une gloire du titre de magistrat populaire.