Il en est ainsi généralement des autres verbes transitifs qui se traduisent en français par le pronom indéfini on, l’on, surtout quand ils se trouvent à un temps simple. […] Cela ne se trouve dans aucun pays. […] X In avec l’ablatif répond à la question ubi, et sert à désigner le lieu où l’on est, l’état, la situation où l’on se trouve. […] Dans ce cas, on doit en faire usage pour rendre en latin la conjonction et, qui se trouve en français dans le second membre de phrase.
Je sais, comme un autre, qu’il se trouve de fort beaux vers dans Claudien ; des morceaux même que l’on peut mettre sans danger sous les yeux de la jeunesse : je n’ignore point qu’il y a, dans Thomas, des choses aussi bien pensées que bien écrites ; que son Essai sur les Éloges est un ouvrage neuf, plein de recherches curieuses et qui fait honneur à notre littérature, qui compte peu de morceaux oratoires plus véritablement éloquents que l’Éloge de Marc-Aurèle.
Les discours de Socrate, dans le Phédon, seraient admirables partout, mais le sont plus encore là où ils se trouvent ; car si Platon les a écrits, il n’est pas douteux que Socrate les a tenus : et il ne paraît pas qu’il ait été donné à aucun homme de voir plus loin par ses propres lumières, ni de monter plus haut par l’essor de son âme.
Passionner un sujet, c’est l’animer en s’y attachant, c’est en faire sa chose, c’est soutenir une thèse avec autant d’ardeur que si nos plus chers intérêts se trouvaient compromis par le triomphe de l’opinion contraire.
Le roman de Renard est peut-être le premier type de ces récits où se trouve l’empreinte de l’analyse individuelle propre au génie septentrional.
Le péril extrême où se trouve mon fils ; la guerre qui s’échauffe tous les jours ; les courriers qui n’apportent plus que la mort de quelqu’un de nos amis ou de nos connaissances, et qui peuvent apporter pis ; la crainte que l’on a des mauvaises nouvelles, et la curiosité qu’on a de les apprendre ; la désolation de ceux qui sont outrés de douleur, et avec qui je passe une partie de ma vie ; l’inconcevable état de ma tante, et l’envie que j’ai de vous voir : tout cela me déchire, me tue, et me fait mener une vie si contraire à mon humeur et à mon tempérament, qu’en vérité il faut que j’aie une bonne santé pour y résister.
Il a rendu tous les services qu’on peut attendre d’un esprit ferme et agissant quand il se trouve dans un corps robuste et bien constitué.
« S’il nous était enjoint de désigner précisément, observe un de nos critiques, le jour, le lieu et l’heure où Molière se révéla en quelque sorte à Louis XIV, et reçut de lui sa mission de poursuivre les ridicules du siècle, nous ne croirions pas nous tromper en disant que ce fut à Vaux, lorsque l’imprudent Fouquet voulut étaler devant le monarque les splendeurs de sa magnifique demeure. » Néanmoins, dans la comédie qui fut jouée à cette occasion, la scène que nous offrons ici ne se trouvait pas d’abord : ce fut après la représentation que le roi, félicitant l’auteur, lui indiqua un personnage de fâcheux qu’il avait oublié, celui du courtisan chasseur ; et il paraît assez certain que l’original de ce caractère était le marquis de Soyecourt, qui obtint en effet, un peut plus tard, la charge de grand veneur, pour laquelle il avait dès longtemps une vocation très-marquée.
Deuxième partie « De notre côté se trouvent la nécessité de combattre, la piété, la fermeté invincible, l’amour de la patrie et de la liberté. […] De la noble assemblée du Sénat tout ce qui n’est pas en exil se trouve ici. […] Dans le passé se trouve ma première justification, et l’avenir prouvera que je n’ai jamais fait de tort à personne, que jamais aucun homme n’est devenu plus vicieux par ma conversation. […] Peut-être est-il assiégé par de puissants voisins, et personne ne se trouve auprès de lui pour écarter les périls qui le menacent. […] Après une très longue délibération, les décurions de Minturnes résolurent de se conformer au décret et de faire périr Marius ; mais il ne se trouva pas un citoyen qui voulût se charger de cette mission.