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74. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre III. De l’Éloquence chez les Romains. »

Mais les détails qui concernent l’homme public et le philosophe, n’entrent point dans notre plan : il ne s’agit ici que de l’orateur, et nous allons tâcher de le faire connaître, en exposant ses qualités et les taches légères qui les déparent quelquefois.

75. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bernardin de Saint-Pierre. (1737-1814.) » pp. 153-158

Dans les Vœux d’un solitaire, Bernardin de Saint-Pierre traçait les plans de ses réformes, sans doute aussi peu praticables que celles de J.

76. (1872) Cours élémentaire de rhétorique

Cet ordre forme ce qu’on appelle le plan et l’ensemble l’unité. Ce défaut de plan ou d’unité fait que l’écrivain, dès le début, se trouve arrêté : il ne sait par où commencer ; il ne sait pas davantage par où il finira. […] La proposition, la division et les subdivisions forment ce qu’on appelle le plan du discours. […] , II, 77) par des moyens puissants pour se rendre maître aussitôt des esprits, qu’il réserve pour la fin ce qu’il y a de plus frappant, de plus décisif et qu’il plan ; dans le milieu les preuves les moins fortes ; c’est le plan dit homérique. […] Sur le premier plan apparaît, dans le latin, le père des humains.

77. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Calvin, 1509-1564 » pp. -

Il inaugure enfin le plan harmonieux d’une vaste conception.

78. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — La Satire Ménippée, 1594 » pp. -

Il organisa la conspiration littéraire, traça le plan de la grande parade, et, faisant promettre le secret que conseillait la prudence, distribua les rôles à chacun.

79. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-8

La simplicité du plan, la logique de la méthode, la clarté des divisions, l’exactitude des définitions, le choix des exemples, la sagesse des conseils et la sobriété didactique du style ne laissent rien à désirer.

80. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332

On ne doit donc pas sacrifier à l’observation rigoureuse des unités de temps et de lieu des beautés d’un ordre supérieur dans l’exécution du plan dramatique, ou certaines situations pathétiques qui ne peuvent avoir lieu qu’en sortant de cette étroite enceinte. — En matière d’art, dirons-nous avec un savant critique, M. […] La conduite ou la marche de l’action n’est autre chose que le développement du plan. […] C’est par cette division de l’action totale en degrés que doit commencer le travail du poète, soit dans la tragédie, soit dans la comédie, lorsqu’il en médite le plan. […] En effet, il faut que l’on croie les acteurs occupés dans l’entr’acte ; et le poète, dans le plan de la pièce, en divisant son action, doit la distribuer de façon qu’elle continue d’un acte à l’autre et que l’on sache ou que l’on suppose ce qui se passe dans l’intervalle.

81. (1872) Recueil de compositions françaises pour préparer au discours latin les candidats au baccalauréat ès-lettres. Première série

Cette espèce de Conciones Français, formée d’éléments qui méritent d’être considérés comme des modèles, où chacun a le loisir d’étudier le plan, d’approfondir l’ensemble des idées, pour en tirer profit à l’occasion, m’a semblé pouvoir être d’une véritable utilité pratique ; et du reste, j’en ai fait d’heureux essais avec un grand nombre de mes élèves. […] Aussitôt il rassemble ses troupes pour leur exposer son plan et son but. […] Oui, tu as résolu de m’assassiner : veux-tu que je t’indique le lieu, les complices, le jour, le plan du complot, le meurtrier qui doit porter le premier coup ? […] Grâce à cette modération, nous sommes propres aux combats et aux mesures prudentes ; nous ne critiquons pas en phrases pompeuses les plans de nos ennemis, sans nous inquiéter si nos actions seront d’accord avec nos paroles. […] Pas un des soldats ne connaissait les plans du général.

82. (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)

Le plan de cette tragédie est des plus vicieux, et le nœud de l’intrigue d’une faiblesse étonnante. […] Ce caractère de Phèdre suffirait pour couvrir tous les défauts de plan et de conduite qu’il serait facile d’y signaler. […] Le plan est conçu et conduit de manière à exciter l’intérêt, malgré toutes les invraisemblances que l’auteur a accumulées pour la marche de l’intrigue et pour l’effet théâtral. […] Il prend à partie un vice ou un ridicule, le personnifie, lui donne un nom de guerre, et c’est sur les épaules de ce personnage de convention que toute la catégorie des hommes qu’il représente est flagellée. « Nul avant lui ne s’était fait une habitude, une loi d’isoler sur le premier plan d’une pièce un travers plus ou moins bouffon, et de l’exposer durant un, trois ou cinq actes à une succession d’accidents et de vexations destinés à produire, au milieu de nos rires, soit sa confusion, soit sa correction 73. » C’est ainsi qu’il parvint à tirer une leçon du sens délicat qu’on a, en France, du ridicule.

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