Ils ne chantaient qu’une religion fausse, un héroïsme souvent mal entendu, des combats dont la gloire était quelquefois chimérique.
Tous nos plaisirs sont faux, notre joie indécente. […] Or, tout cela est faux. […] Quelques-uns accusent de leurs peines passées des envieux ou des malveillants ; d’autres de faux amis ; il en est qui s’accusent eux-mêmes ; tous se disent qu’il était possible de couler des jours heureux dans cet asile, avec le bon esprit de jouir en paix des biens communs qu’il offrait, ou d’y suppléer par le travail et la concorde. […] Mais la majeure était fausse, l’agneau la nie, et le loup, manquant de preuves, s’en prend à tout le monde. […] Pathos et fausse image.
Mais aujourd’hui qu’enfin la vieillesse venue, Sous mes faux cheveux blonds déjà toute chenue, A jeté sur ma tête avec ses doigts pesants, Onze lustres complets surchargés de trois ans.
Nous sommes le jouet de fausses opinions. — 11. […] Platon a enseigné de fausses idées sur la nature de Dieu ; Xénophon tombe à peu près dans les mêmes erreurs. — 6. […] Le premier degré de la sagesse, c’est de discerner le faux ; le second, c’est de connaître le vrai. — 2. […] Les Grecs appellent dialectique l’art de bien discuter et de discerner le vrai et le faux. — 5.
Mais, pour revivre ailleurs dans sa première force, Avec les faux Romains elle a fait plein divorce ; Et, comme autour de moi j’ai tous ses vrais appuis, « Rome n’est plus dans Rome, elle est toute où je suis.
Il fait le faux bonhomme.
Cette défiance de l’orateur n’est point une modestie fausse ; mais c’est l’émotion sincère qui parle.
Tout contrefacteur ou débitant de contrefaçons de cet Ouvrage sera poursuivi conformément aux lois. Toutes mes Editions sont revêtues de ma griffe. Avant-propos. Le succès toujours croissant de la nouvelle Méthode, à laquelle ce Cours est adapté, nous dispense d’en faire l’éloge, et d’ajouter un tardif et obscur hommage aux suffrages éminents qui l’ont accueillie dès son apparition. En offrant au public ce recueil, nous n’avons point la prétention chimérique de suivre pas à pas la théorie de l’auteur, de présenter chacun des exercices qui composent notre ouvrage, comme le développement spécial d’une règle de la Méthode.
1° « L’épi naissant mûrit, de la faux respectée ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l’été Boit les doux présents de l’aurore : Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui, Quoi que l’heure présente ait de trouble et d’ennui, Je ne veux pas mourir encore.