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115. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre IV. Éloge de Trajan, par Pline le jeune. »

. — Cependant dans ces mêmes murailles, dont il s’était fait un rempart, il enferme avec lui la vengeance et la mort ; et le dieu qui punit le crime l’y poursuivit et l’y atteignit enfin ».

116. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre VI. »

L’apologue est une petite épopée ou l’on peut mettre en action les dieux, les hommes, les animaux et les êtres inanimés.

117. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VIII. L’éloquence militaire. »

Marchons, dit-il, où nous appellent et les présages des Dieux, et l’injustice de mes ennemis.

118. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Joubert 1754-1824 » pp. 214-217

Le serment des dieux !

119. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Silvestre de Sacy Né en 1804 » pp. 271-274

La nature, l’âme et dieu S’il est vrai que l’univers tout entier ne soit rien en comparaison d’une âme, parce qu’une âme se connaît et que l’univers ne se connaît pas2, l’étude de l’âme ne sera-t-elle pas toujours la première et la plus noble des études ?

120. (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles

Quel dieu l’a révélée, ou quelle expérience l’a pu former de l’observation de ce grand nombre d’astres qu’on n’a pu voir encore deux fois dans la même disposition650 ? […] Mais, comme le dieu eut honte de l’envoyer dans le corps d’un homme sage et vertueux, il le destina au corps d’un harangueur ennuyeux et importun, qui mentait, qui se vantait sans cesse, qui faisait des gestes ridicules, qui se moquait de tout le monde, qui interrompait toutes les conversations les plus polies et les plus solides, pour des riens ou les sottises les plus grossières.

121. (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours

Mélanthe, célèbre médecin d’Athènes, étant dans un temple le premier jour de l’an, demanda aux dieux de faire prospérer ses affaires. […] Confirmation : Mélanthe demandait évidemment aux dieux que ses concitoyens fussent accables de maladies. […] Envers les dieux, qu’il offensait par cette demande impie. […] Mais la prière de Mélanthe n’avait rien que d’innocent : il demandait aux dieux la faveur de guérir ses malades. […] Pieux et sage, aurait-il osé insulter les dieux par une prière sacrilège ?

122. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Précis des quatre âges de la Littérature. »

Le fougueux Pindare chanta, sur le ton le plus énergique et le plus élevé, la puissance des Dieux et les exploits des héros.

123. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160

Ce genre, dit Boileau, Élevant jusqu’au ciel son vol ambitieux, Entretient dans ses vers commerce avec les dieux, Aux Athlètes dans la Pise il ouvre la barrière, Chante un vainqueur poudreux au bout de la carrière. […] Dans un pays où l’on rendait un culte sérieux au dieu du vin, il est assez naturel qu’on lui ait adressé des hymnes, et que dans ces hymnes les poètes aient imité le délire de l’ivresse : c’était plaire à ce dieu que de lui ressembler.

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