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106. (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre V. Cinquième espèce de mots.  » pp. 16-37

La réponse à cette question indique le sujet ; quand je dis : l’enfant est sage ; qui est-ce qui est sage ? […] On connaît le régime, en faisant la question qu’est-ce que ?

107. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre III. De l’Éloquence chez les Romains. »

C’est là, que la cause du goût et de la raison est plaidée avec une éloquence et une solidité dignes de l’un et de l’autre ; que les limites qui séparent et doivent distinguer la poésie et l’éloquence, sont assignées avec autant de justesse que de sagacité ; que la grande question de la prééminence des anciens sur les modernes est discutée et résolue, de manière à terminer toute espèce de dispute à cet égard.

108. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre IV. Thomas. »

. — Il voit la durée comme un espace immense, dont il n’occupe qu’un point : il calcule les jours, les heures, les moments ; il en ramasse toutes les parties, etc. » De quoi pensez-vous qu’il est question ici ?

109. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre premier. Beautés de détail. »

La Judée, par exemple, dont il est question ici, ne présente partout qu’un sol aride, coupé de ravins, hérissé de rochers : pendant les chaleurs de l’été, la terre était impitoyablement dévorée de l’ardeur du soleil ; la privation d’eau y était donc le plus grand malheur que l’on eût à redouter, et la découverte d’une source ou d’un peut ruisseau changeait pour un moment la face entière de la nature, et ramenait aux idées douces de plaisir et de bonheur.

110. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Origine et principe des beaux-arts »

Quoiqu’il ne soit question dans cet ouvrage que de ces deux arts, je dois nommer ici les cinq autres, qui sont l’architecture, la sculpture, la peinture, la musique et la danse.

111. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — D’Aguesseau. (1668-1751.) » pp. 124-129

Il ne me reste, après cela, que de prier Dieu qu’il répande sa bénédiction sur l’étude que vous en ferez, qu’il vous préserve de cet esprit de curiosité qui se perd en voulant approfondir des questions vaines, inutiles ou même dangereuses, et qu’il vous inspire ce goût solide de la vérité, qui la cherche avec ardeur, mais avec simplicité, et qui s’occupe tout entier des vérités utiles, bien moins pour les connaître que pour les pratiquer.

112. (1875) Poétique

Quant à examiner si la tragédie a maintenant atteint ou non toute sa perfection, soit considérée en elle-même, soit relativement au théâtre, c’est une autre question. […] Ici il ne sera question que de la tragédie ; et pour en donner une définition exacte, nous rassemblerons tout ce que nous en avons dit. […] Jusqu’ici il a été question des parties constitutives de la tragédie12.

113. (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72

— Sur cette question, souvent débattue, voici quel est mon sentiment : sans l’inspiration féconde, l’étude est impuissante, et le génie ne peut rien sans l’étude ; mais ils ont besoin l’un de l’autre, et tous deux, étroitement unis, ils conspirent au même but. […] C’est de Caton l’Ancien qu’il est question ici, celui-là même qui conduisit de Tarente à Rome le vieux poëte Ennius.

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