Comment ferez-vous pour me faire voir un petit morceau de vos pays enchantés ? […] Adieu, ma très chère et très aimable, je suis fort affligée d’être prisonnière à Lambesc, mais le moyen de deviner des pluies qu’on n’a point vues dans ce pays depuis des siècles. […] Alors je cédai, et je fis mes adieux à mon pays. […] (Petite description d’un pays et peu près désert.) […] Le pays n’est pas riche, donnez peu.
Le Venceslas de Rotrou est entièrement dans ce goût, et toute cette histoire est fabuleuse… Un sujet de pure invention, et un sujet vrai, mais ignoré, sont absolument la même chose pour les spectateurs et comme notre scène embrasse des sujets de tous les temps et de tous les pays, il faudrait qu’un spectateur allât consulter tous les livres avant qu’il sût si ce qu’on lui représente est fabuleux ou historique.
La compagnie anglaise des Indes fut fondée en 1800, et conquit presque tout le pays.
Je ne peux non plus m’embarquer pour aller trouver les sauvages du Canada : premièrement, parce que les maladies dont je suis accablé me retiennent auprès du plus grand médecin de l’Europe, et que je ne trouverais pas le même secours chez les Missouris ; secondement, parce que la guerre est portée dans ce pays-là, et que les exemples de nos nations ont rendu les sauvages presque aussi méchants que nous. […] Je suis la plus chétive ombre de tout le pays, ombre de quatre-vingts ans ou environ, ombre très-légère et très-souffrante.
Grèce, n. f. pays.
Revenue en France au lendemain de la Terreur, elle y réveilla l’esprit de société, jusqu’au jour où sa royauté de salon parut dangereuse à un pouvoir ombrageux qui la réduisit à quitter son pays.
Cousin y recueillait pieusement tous les souvenirs de ses relations avec un ami, le comte de Santa-Rosa, patriote italien, qui était mort en Grèce, dans l’île de Sphactérie, en 1825, après avoir joué un rôle héroïque dans son pays.
Du doux pays de nos aïeux Serons-nous toujours exilées ? […] Ils y courent en foule, et jaloux l’un de l’autre, Désertent leur pays pour inonder le nôtre.