On ne te l’offre pas. — Voyons, parle, Marat. […] « Il ne faut pas décrier les beaux dehors ; car ils offrent les apparences naturelles des belles réalités ; on ne doit censurer que ce qui les dément.
Ce genre de composition offre à l’esprit un délassement agréable, et peut d’ailleurs laisser échapper, par intervalle, les traits d’une morale utile ou d’un sentiment agréable.
Προϐεϐληϰότα offre un sens raisonnable mais προϐαίνειν paraît être le mot propre en pareil cas.
L’histoire des lettres en offre peu d’aussi belles. » 2.
Je sens bien que cela même offre des difficultés ; mais l’obstacle est levé par une singularité qui n’est pas commune.
La verdoyante plaine, arrosée avec un art merveilleux, coupée en champs presque égaux, couverts de blés, de prairies, de jardinages, de vergers, et tout bordés de peupliers, que la vigne enlace de ses rameaux ; les collines étagées, où la terre, retenue par des murailles d’arbres et de gazon, offrait, selon l’exposition de ses pentes, de riantes allées de vignes, de pâles massifs d’oliviers, des bouquets d’orangers et de citronniers ; enfin, les sommets mêmes de ces montagnes couronnées de forêts de châtaigniers et ornés de villages ; tout cet ensemble le remplit d’admiration.
Notre littérature va nous l’offrir, dans le Panégyrique de Louis XV, par Voltaire.
Απλοì offre ici une difficulté, car il semble anticiper sur la définition qui ne sera donnée qu’au chapitre x.