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142. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Chateaubriand 1768-1848 » pp. 222-233

Sa langue musicale et pittoresque produit, par l’arrangement des sons et le choix des mots, des effets d’harmonie et de couleurs qui enchantent l’oreille et les yeux. […] La grandeur, l’étonnante mélancolie de ce tableau, ne sauraient s’exprimer dans les langues humaines ; les plus belles nuits en Europe ne peuvent en donner une idée.

143. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Préface de la première édition. » pp. -

Pour les leur développer, il a fallu leur apprendre quelles sont les lois que nous prescrit notre langue, quels sont les ornements dont on peut embellir le discours, et en quoi consiste l’éloquence.

144. (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XVI » pp. 112-113

Térée est le mari de Procné et le beau-frère de Philomèle  la navette qui parle est celle dont Philomèle, privée de la langue par un crime de Térée, se sert pour broder les caractères qui révéleront le crime à sa sœur Procné.

145. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre III. Éloges de Pompée et de César, par Cicéron. »

» Ainsi donc, César, vos exploits seront, il est vrai, célébrés non seulement dans notre langue et dans nos annales, mais dans les langues et dans les annales de tous les peuples ; et vos louanges seront à jamais répétées par les âges futurs.

146. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XX. des qualités accidentelles du style. — élégance, finesse, naiveté, enjouement  » pp. 274-288

Sans prétendre donc, avec Victor Hugo, que le grotesque et le grave, marchant si souvent de front dans la nature, doivent être aussi mêlés et confondus dans l’art, nous pouvons dire qu’il est peu de sujets et peu de génies qui ne se prêtent à l’enjouement du style, que la langue de la plaisanterie forme presque la moitié de la langue populaire, qu’il faut done l’étudier soigneusement, et que si en effet le style enjoué demande plus de naturel encore que le sérieux, cette étude bien dirigée ne servira qu’à perfectionner la nature.

147. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre II. De l’Éloquence. » pp. 318-338

Veuillent les immortels conducteurs de ma langue, Que je ne dise rien qui doive être repris ! […] Ce mot signifie roi, dans l’ancienne langue des Égyptiens.

148. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — CHAPITRE PREMIER. Du genre léger on des poésies fugitives » pp. 75-95

Le suivant, qui est un des plus anciens de notre langue, passe pour un des meilleurs. […] La langue latine se prête mieux que la nôtre à ce genre d’amusement.

149. (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Avertissement de la deuxième édition. » pp. -

Mais la connaissance générale des doctrines et de la langue philosophique d’Aristote s’est fort perfectionnée, depuis l’édition de Bekker, par des travaux comme les grands Index de Bonitz et de Heitz, par l’édition qui fait partie de la Bibliothèque grecque-latine de Firmin Didot, par beaucoup d’éditions et traductions spéciales des ouvrages du Stagirite.

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