Dirai-je ces canaux ces montagnes percées, De bassins en bassins ces ondes amassées Pour joindre au pied des monts l’une et l’autre Thétis4 ?
M. le duc de Biron, sous qui j’ai l’honneur de servir, pourra faire connaître ma naissance et ma conduite à Votre Majesté, lorsqu’elle le lui ordonnera ; et j’espère qu’elle ne trouvera rien, dans l’une ni dans l’autre, qui puisse me fermer l’entrée de ses grâces2.
V Les prépositions à, ab, abs, ne s’emploient pas indifféremment l’une pour l’autre. […] Quant aux deux comparaisons suivantes, l’une tirée de l’hyacinthe qui a été arrachée par la charrue, l’autre du pavot dont la tête chargée de pluie s’affaisse sur sa tige languissante, il suffit d’avoir une âme sensible et des oreilles délicates pour sentir combien elles sont belles d’harmonie et de sentiment, et combien cette beauté convient à la beauté mourante du jeune guerrier. […] La variété de ces coupes si différentes l’une de l’autre est d’une grande beauté ; elles caractérisent admirablement les principaux traits que le poète met sous les yeux.
L’histoire moderne s’étend depuis l’une de ces trois époques, jusqu’à nos jours. […] Nous avons trois traductions de cet ouvrage ; l’une d’Amyot, en vieux gaulois, qui offre encore un air de fraîcheur ; l’autre de Tallemant, et la troisième de Dacier.
« Avec le sentiment de la Divinité, s’écrie-t-il, tout est grand, noble, invincible dans la vie la plus étroite ; sans lui, tout est faible, déplaisant et amer au sein même de la grandeur… » Et il continue à faire comprendre ainsi la nécessité de cette opinion consolatrice, par ses effets dans l’une et l’autre hypothèse.
On peut voir un bel éloge d’Homère considéré comme moraliste dans l’une des Epîtres d’Horace, I, 2, et un autre de Manilius, Astronom.
Frappé d’un arrêt de bannissement, il passa tout le reste de sa vie loin de la France dont il est demeuré l’une des gloires.
En supposant que l’on soit obligé de s’excuser, de deux choses l’une : ou l’on est coupable ou on ne l’est pas.