On l’enterra dans le champ de bataille, et l’on grava sur son tombeau une inscription latine, dont le sens est : Arrête, voyageur, tu foules un héros !
On peut encore classer dans ce genre une foule de ces narrations qui se trouvent aujourd’hui dans plusieurs publications périodiques.
., pourront être tour à tour l’objet d’une multitude de dissertations ; la religion et la morale sont encore deux grandes sources qui permettront aux élèves de donner l’essor à une foule d’idées utiles.
Cette forme poétique, éminemment populaire et musicale, après avoir été exploitée avec beaucoup de talent et une merveilleuse fécondité par une foule de poètes latins, depuis le xe siècle jusqu’au xive , fut adoptée définitivement par les poètes français.
Les cantiques spirituels ou simplement cantiques, sont des chants en langue vulgaire composés sur des sujets de religion, et destinés à être chantés par la foule des fidèles.
Ces sortes de pensées se présentent en foule à tout homme d’un sens droit, et naissent sans effort du sujet que traite l’écrivain.
., de cette foule de scélérats que fournit surabondamment l’histoire et je conclurais « qu’il n’y a pas de bonheur pour les puissants, s’ils ne sont honnêtes. » Que je veuille prouver « que tout n’est que vanité sur la terre, je dirai : “La santé, la vie, la gloire ne sont que vanité ; les grandeurs, les plaisirs, les richesses ne sont que vanité, donc tout n’est que vanité.” » Telle serait la structure aride et sèche d’une induction purement logique ; mais voyons comment Bossuet a su l’embellir sans en altérer la force : « La santé n’est qu’un nom, la vie n’est qu’un songe, la gloire n’est qu’une apparence, les grâces et les plaisirs ne sont qu’un dangereux amusement. […] c’est alors qu’il saura employer une foule de traits séduisants et variés pour dissimuler la faiblesse, la pauvreté de sa cause. […] Les plus simples objets, le chant d’une fauvette, Le matin d’un beau jour, la verdure des bois, La fraîcheur d’une violette, Mille spectacles qu’autrefois On voyait avec nonchalance, Transportent aujourd’hui, présentent des appas, Inconnus à l’indifférence, Et que la foule ne voit pas.
Il peuple leurs déserts d’astres étincelants ; Les eaux autour de lui demeurent suspendues ; Il foule aux pieds les nues Et marche sur les vents.