Le moindre incident fait naître des couplets : victoires et défaites, plaisirs et amours, personnes et choses, on chansonne tout, on s’amuse de tout; on est satisfait quand, on a lancé une plaisanterie ou quelques rimes ; en un mot, comme dit le proverbe : Tout finit en France par des chansons.
Ces grands objets passent devant nos yeux comme des scènes fabuleuses : le cœur se prête pour un moment au spectacle ; l’attendrissement finit avec la représentation ; et il semble que Dieu n’opère ici-bas tant de révolutions, que pour se jouer dans l’univers, et nous amuser plutôt que nous instruire.
Dieu seul est toujours le même et ses années ne finissent point.
La vieille société française du dix-huitième siècle, si polie, mais si mal ordonnée, finit dans un orage épouvantable.
Aussi bien une grande partie de ceux qui haïssaient M. le cardinal se sont convertis par le dernier miracle qu’il vient de faire ; et si la guerre peut finir, comme il y a apparence de l’espérer, il trouvera moyen de gagner bientôt tous les autres.
Il ne m’écoute pas, il fuit ; Il court dans une fête (et j’en entends le bruit) Finir son heureuse journée.
Madame de Sévigné nous raconte à ce sujet une anecdote qui témoigne de l’admiration qu’il professait pour lui : « Despréaux, dit-elle en rendant compte d’un dîner chez M. de Lamoignon, soutint les anciens, à la réserve d’un seul moderne qui surpassait, à son goût, et les vieux et les nouveaux. » Fort interrogé sur cet auteur, il finit par le nommer : c’était Pascal.
. — Quand le verbe qui précède il, elle, on, finit par une voyelle, on ajoute un t devant il, elle, on.