Convenir à quelqu’un.
S’il n’a pas les grandes manières, il a du moins toutes les petites, et celles même qui ne conviennent guère qu’à une jeune précieuse.
J’en conviens — ; mais vous avez un caractère, généreux quand vous êtes calme, emporté quand vous êtes aigri. — Si personne ne le modère, je souhaite que personne ne l’enflamme. — J’ai voulu vous laisser réfléchir avant de vous écrire — … La ville de Thessalonique a été le théâtre d’une cruauté sans exemple et sans excuse — … Vous avez péché comme le roi David, l’imiterez-vous dans sa pénitence ? […] Tâchez de saisir ce ton de grandeur, qui est fort au-dessus du style épistolaire, mais qui convient à un évêque qui parle du péché, de la justice de Dieu, de la pénitence et de la miséricorde divine. […] Confondu par les réponses du chevalier sans peur et sans reproche, il convient de ses torts, qu’il rejette sur ses passions. […] On n’y voit ni semence, ni herbe. — L’épithète de morte convient à la terre aussi bien qu’à l’eau. — Des vapeurs bitumineuses écartent les oiseaux. — Le péché a fait un enfer de ce paradis… Avis. […] — Le prince Robert, à l’aile droite, battit Ireton, qui fut blessé, et s’en alla follement, dans l’espoir du butin, attaquer le camp qui était trop bien défendu. — Mais l’aile droite lut dispersée par Cromwell, qui se hâta de revenir au centre où les deux infanteries se battaient avec acharnement. — Les parlementaires avaient plié d’abord, Skippon était blessé ; pressé par Fairfax de se retirer, il avait refusé96… — Le casque de Fairfax ayant été abattu d’un coup de sabre, Charles Doyley, capitaine de ses gardes, lui offrit le sien97. — Les deux officiers, se montrant un corps d’infanterie royale qui avait résisté à toutes les attaques, conviennent de les prendre, l’un eu tête et l’autre en queue, et de se rejoindre au milieu98 et ce mouvement est exécuté. — Fairfax tue de sa main un porte étendard et remet le drapeau à un de ses gens, qui se vante de cet exploit, comme s’il était le sien ; Doyley se fâche, mais Fairfax lui dit de le laisser faire99 — Les royalistes plient, et voilà Cromwell qui vient pour les achever ; — à cette vue, Charles 1er se met en tête du régiment des gardes, qui était la seule réserve. — Il s’élançait sur l’ennemi, quand un officier saisit la bride du cheval du roi, en lui disant qu’il va se faire tuer100. — il en résulte un mouvement de conversion qu’imite tout le régiment, qui bientôt tourne le dos à l’ennemi101. — Charles, crie en vain d’arrêter102. — La débandade se ralentit à sa vue du prince Robert, qui revenait du camp ennemi. — Dénouement.
Il convient de ne pas séparer d’eux leur ami Estienne Pasquier (mort en 1645), le savant auteur des Recherches de la France qui, lui aussi, fit des vers sur tous sujet (Jeux poétiques) ; qui, juge aux Grands Jours de Poitiers en 1579, provoqua, à cinquante ans, une joute de petits vers dans le salon des dames Des Roches, et qui donna une pointe d’enjouement Philosophique à sa Pastorale du Vieillard amoureux, fruit de sa souriante vieillesse, né en son plein hiver. […] Helas, ce mot ne m’appartient ; Helas, Isac, si est ce qu’il convient Servir à Dieu. […] Ce precepte est commun : car qui veult s’avancer A la court, de bonne heure il convient commencer. […] XIII), grand’mère de Tartuffe le justifie, et c’est A. de Musset qui l’établit, après Boileau (« Régnier, le poète français, qui, du consentement de tout le monde, a le mieux connu avant Molière les mœurs et les caractères des hommes » Réflex. critiq, sur Longin, Ve), et qui, donnant à la figure de Régnier deux traits qui conviennent à celle de Malherbe, affirme la parenté de Régnier, Malherbe et Molière, Sainte-Beuve y ajoute le nom un peu inattendu d’André Chénier.
Ils conviennent que chacun ira à la recherche de la fleur qu’il préfère, et qu’ils se réuniront ensuite sous un berceau avec leur butin. […] Le roi des Spartiates convient avec le chef ennemi que Sparte leur rendra ses conquêtes si le roi et l’armée boivent au fleuve qui coule près de leur camp. […] Ils conviennent avec leur père qu’ils mettront le jeune garçon à l’épreuve ; que si l’on reconnaît qu’il est un trompeur, il sera renvoyé honteusement ; mais que si son infirmité est réelle, il leur sera permis de lui faire tous les cadeaux qu’ils voudront. […] Édouard et Élisa mettent en œuvre les trois ou quatre ruses dont ils sont convenus dans le dialogue précédent.
Les mœurs seront ressemblantes, si la peinture qu’on fait d’un héros ne peut appartenir qu’à ce héros ; si on y joint les traits propres et individuels, c’est-à-dire qui ne conviennent qu’à lui seul et le distinguent de tout autre.
Les traits rassemblés dans ce portrait semblent convenir au grand Condé, dont le petit-fils avait La Bruyère pour précepteur.
D’Hozier n’en convient pas ; mais, quoi qu’il en puisse être,...