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196. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »

C’est à lui qu’il appartient de distinguer le vrai et le faux mérite, la véritable et la fausse gloire, les actions réellement vertueuses et celles qui ne le sont qu’en apparence ; de démasquer hardiment le vice, d’exposer la vertu dans tout son jour, et de les peindre l’un et l’autre avec les seules couleurs qui leur sont propres ; en un mot de ne louer que ce qui mérite les éloges de l’homme honnête et éclairé.

197. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »

On entend par mœurs ou mœurs générales, les habitudes qui appartiennent à une nation, à une époque, à tel ou tel âge, telle ou telle condition.

198. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre II. — Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution »

Il ne nous appartient point ici d’en développer les avantages ; mais nous dirons avec La Harpe, qu’il est nécessaire d’étudier la logique, même avant la rhétorique, et qu’elle est l’appui le plus fort de l’éloquence.

199. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »

La naïveté appartient surtout à l’enfance ; c’est en quelque sorte l’esprit de l’innocence qui caractérise cet âge.

200. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408

On a fort bien remarqué que la morale de ces psaumes est qu’ il faut être toujours vrai dans ses paroles ; n’user jamais de fraude ; rendre à chacun ce qui lui appartient ; exercer la justice, sans avoir égard à la condition des personnes ; protéger la veuve et l’orphelin ; s’acquitter des vœux que l’on a faits ; ne point donner d’argent à usure ; ne calomnier personne ; ne faire jamais de mal à qui que ce soit, pas même à ses ennemis .

201. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »

Elle appartenait à Fouquet, qu’on accusait d’y avoir dépensé près de trente-six millions d’aujourd’hui à faire bâtir le château, et portait alors le nom de Vaux-le-Vicomte.

202. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »

 » 3° Si la métaphore se prolonge, et que les images succèdent, elle prend le nom d’allégorie ; telle est celle-ci qui appartient à Voltaire : « Nous sommes des ballons que la main du sort pousse aveuglément et d’une ma manière irrésistible.

203. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre III. De la forme extérieure de la poésie » pp. 22-70

Le vers est une de ces formes, et la plus générale ; mais il n’est pas la seule, il n’appartient pas rigoureusement à l’essence de l’art.

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