C’est à lui qu’il appartient de distinguer le vrai et le faux mérite, la véritable et la fausse gloire, les actions réellement vertueuses et celles qui ne le sont qu’en apparence ; de démasquer hardiment le vice, d’exposer la vertu dans tout son jour, et de les peindre l’un et l’autre avec les seules couleurs qui leur sont propres ; en un mot de ne louer que ce qui mérite les éloges de l’homme honnête et éclairé.
On entend par mœurs ou mœurs générales, les habitudes qui appartiennent à une nation, à une époque, à tel ou tel âge, telle ou telle condition.
Il ne nous appartient point ici d’en développer les avantages ; mais nous dirons avec La Harpe, qu’il est nécessaire d’étudier la logique, même avant la rhétorique, et qu’elle est l’appui le plus fort de l’éloquence.
La naïveté appartient surtout à l’enfance ; c’est en quelque sorte l’esprit de l’innocence qui caractérise cet âge.
On a fort bien remarqué que la morale de ces psaumes est qu’ il faut être toujours vrai dans ses paroles ; n’user jamais de fraude ; rendre à chacun ce qui lui appartient ; exercer la justice, sans avoir égard à la condition des personnes ; protéger la veuve et l’orphelin ; s’acquitter des vœux que l’on a faits ; ne point donner d’argent à usure ; ne calomnier personne ; ne faire jamais de mal à qui que ce soit, pas même à ses ennemis .
Elle appartenait à Fouquet, qu’on accusait d’y avoir dépensé près de trente-six millions d’aujourd’hui à faire bâtir le château, et portait alors le nom de Vaux-le-Vicomte.
» 3° Si la métaphore se prolonge, et que les images succèdent, elle prend le nom d’allégorie ; telle est celle-ci qui appartient à Voltaire : « Nous sommes des ballons que la main du sort pousse aveuglément et d’une ma manière irrésistible.
Le vers est une de ces formes, et la plus générale ; mais il n’est pas la seule, il n’appartient pas rigoureusement à l’essence de l’art.