La plus jolie fille de France vous fait des compliments ; ce nom me paraît assez agréable ; je suis pourtant lasse d’en faire les honneurs2. […] Corbinelli (1615-1716) descendait d’une illustre famille de Florence, venue en France à la suite de Catherine de Médicis ; il cultiva les lettres avec succès, (Bayle l’appelle un des beaux et bons esprits d’aujourd’hui), et était fort répandu dans un monde d’élite.
Citons parmi les poètes descriptifs : en France : Saint-Lambert, Delille, Michaud, Campenon. — En Angleterre : Young, Akenside, Grahame, Campbell, Byron, Shelley. — En Danemark : Tullin.
Je me bornerai donc à dire qu’en France, les Romans prirent naissance avec la chevalerie sous le règne de Charlemagne.
C’est une petite comparaison à chercher dans l’histoire de France. […] Charles, duc de Normandie, dit le connétable de Bourbon, était membre de la famille royale de France. […] C’est aux prières de sainte Clotilde, que la France doit le bonheur d’être chrétienne. […] Vous êtes en France, où il faudrait venir si vous n’y étiez pas, et vous voulez en sortir ! […] On le poursuit à coups de canon la France attend avec espoir la fin de cette campagne.
En France, Racan, Segrais et madame Deshoulières ont des traits heureux, mais beaucoup d’imperfections.
Ces développements nous ont paru d’une utilité réelle, et nous sommes plus que jamais convaincu de leur importance, lorsque nous recevons d’un professeur distingué, dont les savants ouvrages sont connus dans toute la France, ces encouragements bienveillants : « Je vous félicite d’avoir compris que les abrégés ne profitent qu’à ceux qui les font, et vous avez sagement fait de donner aux préceptes un juste développement qui les fait bien comprendre. » Un autre juge également compétent voulait bien nous faire savoir, après avoir soigneusement examiné notre Poétique, qu’il se plaisait à reconnaître tout le mérite et toute la conscience de ce livre.
Ce n’est pas en France, surtout, qu’elle peut rencontrer l’ombre d’une application ; et le soldat français ne ressemble pas plus à celui dont parle ici Voltaire, que les hordes les plus barbares ne ressemblent aux nations les plus civilisées.
Les temps d’agitation et de guerre ramènent toujours les imaginations vers les ouvrages qui peignent la félicité champêtre : de là, au terme du seizième siècle et au commencement du dix-septième, le goût général de ces productions en France.