Saint-Simon a l’image toute familière, et la métaphore instinctive, comme Bossuet.
Au contraire, s’il est capable d’avoir toujours l’œil vers les cieux, même en louant les héros de la terre, si en célébrant ce qui passe il porte toujours sa pensée et la nôtre vers ce qui ne passe point ; s’il ne perd jamais de vue ce mélange heureux, qui est à la fois le comble de art et de la force, alors ce sera en effet l’orateur de l’Evangile, le juge des puissances, l’interprète des révélations divines ; en un mot, ce sera Bossuet. […] (Bossuet.) […] C’est Bossuet qui parle, il s’agit sans doute d’un grand spectacle ; car, pour un sujet médiocre, il ne provoquerait pas ainsi notre attention. […] Fond, — D’après cette analyse de la forme, il est facile de remarquer que Bossuet, sans faire usage du pathétique proprement dit, nous a procuré pourtant de fortes émotions.
Il monta dans la chaire quand Bossuet en descendit.
Lacordaire 1802-1861 [Notice] Né à Recey-sur-Ource (Côte-d’Or), Henri-Dominique Lacordaire fit de brillantes études au lycée de Dijon, dans la patrie de Bossuet, en vue de la colline où naquit aussi saint Bernard. […] Son oraison funèbre du général Drouot se soutient dans le voisinage de Bossuet.
On verra plus loin, dans ce volume, le récit de cette bataille fait par Bossuet.
« Il a, selon un bon critique de notre époque1, des endroits dignes de Pascal et de Bossuet.
Rappelez-vous le portrait de la Jeunesse, par Bossuet.
Bossuet, Oraison funèbre du prince de Condé.)