La pensée fine ne montre la vérité que sous un côté pour laisser aux autres le plaisir de deviner le reste, ou d’en découvrir la raison. […] On dévore des pages en courant, et il ne reste rien ni dans l’esprit ni dans le cœur. […] Au reste, c’est quand le poète chante Dieu et la vertu, qu’il atteint à la sublime perfection de son art. […] Pour que l’intérêt se soutienne jusqu’à la fin, il faut que l’âme du lecteur reste comme suspendue entre la crainte et l’espérance. […] Au reste, ce but si noble est souvent oublié par les poètes, et la comédie n’est d’ordinaire qu’une excitation aux passions et à la licence.
Suppléer, est actif, suivant l’Académie, lorsqu’il signifie ajouter ce qui manque, fournir ce qu’il faut de surplus : = ce sac doit être de mille francs : vous suppléerez ce qu’il y aura de moins ; vous suppléerez le reste. […] Au reste, il y a quelques verbes de cette espèce, mais en très petit nombre, dont le participe est indéclinable, n’ayant ni féminin ni pluriel. […] Au reste ce participe fait, est le seul de notre langue, qui, dans ces circonstances, ne prend jamais ni le genre ni le nombre. […] Il ne me reste plus qu’à dire un mot du participe mis au commencement d’une phrase. […] Au reste, on verra dans l’article de la clarté du style, ce que je dois dire sur ce sujet.
Le reste de l’Europe fut plongé dans l’ignorance et dans la barbarie.
Qu’il me soit permis, je vous en conjure, d’employer constamment pour Dieu et pour moi-même ce qui me reste de vie, et de me disposer par là à mourir en religieux.
Que nous reste-t-il ici, que d’en parler pour notre instruction ?
Il n’en reste plus aucun vestige ; et l’on ne peut pas même marquer précisément le lieu où elle avait été bâtie. […] Au reste, les anciens auteurs comptent plusieurs Hercules. […] Après la destruction de celui-ci, qui n’avait duré que 200 ans, lorsque Salmanasar, roi de Syrie, s’en empara, le premier royaume se soutint longtemps avec éclat, et se maintint même durant la captivité des Juifs à Babylone, au retour de laquelle, les restes des dix autres tribus s’étant réunis à celles-ci, ne formèrent plus qu’un seul peuple.
« Puisque je vous vois, dit-il, absolument déterminés à l’expédition de Sicile, il ne me reste plus que des vœux à former pour son succès. […] « Au reste, ne crois pas que les Scythes jurent l’amitié : notre serment, c’est le respect pour notre parole.
Bossuet a dit : « Ces terres et ces seigneuries qu’il avait ramassées comme une province, avec tant de soins et de travail, se partageront en plusieurs mais, et tous ceux qui verront ce grand changement diront, en levant les épaules et en regardant avec étonnement les restes de cette fortune ruinée : Est ce là que devait aboutir toute cette grandeur formidable au monde ? […] il n’en reste plus qu’un tronc inutile !
Au reste, on pardonnera au pauvre Hermann la barbarie inintelligible de son langage, si on en rapproche la traduction française des mêmes passages faite en 1671 par de Norville (p. 24, 25 et 28).
Il ne nous reste plus qu’à dire deux mots de l’hospitalité offerte ici pour la première fois à ces renommées contemporaines, qui jusqu’à présent ont été tenues en dehors du sanctuaire classique.
La porte se referme, la lampe s’en va, et je reste seul avec mes réflexions1.
Il ne nous reste plus qu’à dire deux mots de l’hospitalité offerte ici pour la première fois à ces renommées contemporaines, qui jusqu’à présent ont été tenues en dehors du sanctuaire classique.
Salut, bois couronnés d’un reste de verdure, Feuillages jaunissants sur les gazons épars !
Les partisans un peu sévères du bon goût l’ont constamment rejeté parmi ces modèles qu’il faut soigneusement écarter d’un livre classique, parce que le brillant en impose ici sur la solidité, et qu’il est à craindre qu’il ne reste de tout ce fracas d’antithèses plus d’apparence que de réalité, et plus de bruit dans la tête des jeunes gens, que d’idée de la véritable harmonie oratoire.
Au reste le sens de tout ce passage est fort incertain.
Prends-en deux doigts, et bien chauds les applique Sur l’épiderme où la douleur te pique, Et tu boiras le reste promptement Pour te guérir.
Il met en jeu les passions humaines ; il représente le vice aux prises avec la vertu ; celle-ci sort triomphante de la lutte ; mais au fond de notre cœur, l’impression du mal reste plus vive que celle du bien, et c’est une semence qui porte de tristes fruits. […] Nous avons de chaque chose une idée naturelle ou accise : c’est comme un type général auquel nous rapportons tout le reste.
Mais que résulte-t-il, que reste-t-il de ce pompeux étalage de mots, de cet entassement de phrases vides de sens ?
Qu’est-ce donc que nous crie cette avidité et cette impuissance, sinon qu’il y a eu autrefois dans l’homme un véritable bonheur, dont il ne lui reste maintenant que la marque et la trace toute vide, et qu’il essaye inutilement de remplir de tout ce qui l’environne, recherchant des choses absentes le secours qu’il n’obtient pas des présentes, mais qui en sont toutes incapables3, parce que ce gouffre infini ne peut être rempli que par un objet infini et immuable, c’est-à-dire que par Dieu même.
Il ne me reste, après cela, que de prier Dieu qu’il répande sa bénédiction sur l’étude que vous en ferez, qu’il vous préserve de cet esprit de curiosité qui se perd en voulant approfondir des questions vaines, inutiles ou même dangereuses, et qu’il vous inspire ce goût solide de la vérité, qui la cherche avec ardeur, mais avec simplicité, et qui s’occupe tout entier des vérités utiles, bien moins pour les connaître que pour les pratiquer.
La réputation de Schullembourg dépendait d’échapper au roi de Suède ; le roi, de son côté, croyait sa gloire intéressée à prendre Schullembourg et le reste de son armée : il ne perd point de temps ; il fait passer sa cavalerie à un gué.
Je viens d’apprendre qu’on l’a pêché, et retiré en partie, le train encore entier, et les places mêmes intactes, mais l’impériale brisée, et le reste bien fracassé et bien bourbeux.
Le calme continue ; on vit vaille que vaille ; Il ne reste plus de volaille ; On mange les oiseaux, triste et dernier moyen ; Perruches, cardinaux, catakois, tout y passe.
« Certes, s’il y a une occasion au monde où l’âme pleine d’elle-même soit en danger d’oublier son Dieu, c’est dans ces postes éclatants où un homme, par la sagesse de sa conduite, par la grandeur de son courage, par la force de son bras, et par le nombre de ses soldats, devient comme le dieu des autres hommes, et rempli de gloire en lui-même, remplit tout le reste du monde d’amour, d’admiration ou de frayeur.
Voisine de cette rivière Où César fit son premier pas, Où debout reste encor la pierre Qui lui disait : Ne passe pas2.
Je ne vois pas qu’il me reste rien à désirer pour lui que la continuation du grand et légitime succès qu’il a obtenu près de tous les maîtres soucieux de conserver ou de ressusciter les bonnes et solides traditions d’autrefois.
Le sage y vit en paix, et méprise le reste. […] Il nous reste quelques idylles de Moschus, né à Syracuse, et de Bion, natif de Smyrne, tous les deux presque contemporains de Théocrite. […] Il ne nous reste des Grecs aucun poème connu sous le nom d’élégie. […] Il ne nous reste des Odes de la tendre Sapho, née à Mytilène, dans l’île de Lesbos, un peu plus de six cents ans avant J.
A ta faiblesse il ne reste aujourd'hui Que mon amour, mes soins et mon courage. […] quel asile me reste-t-il ? […] Non, dans nos bosquets Reste, ô violette chérie : Heureux qui répand des bienfaits, Et comme toi cache sa vie. […] Dans la mort de César, l'acteur étant demeuré court après ce vers : Du plus grand des Romains voilà ce qui nous reste, un des spectateurs dit : Son habit, son chapeau, sa culotte et sa veste, Après avoir entendu ce vers d'une autre tragédie : Enfin, après dix ans je le vois, cher Arbate !
L’attention est d’autant plus fortement saisie et la curiosité plus vivement excitée qu’il reste plus de choses à apprendre. […] Au reste, c’est la nature de l’action qui détermine le genre d’exposition qu’il convient d’adopter. […] Mais il reçoit une lettre dans laquelle le juge Festus lui annonce que son épouse Cymodocée est condamnée aux lieux infâmes, et que le seul moyen qui lui reste pour la sauver est de sacrifier aux dieux. […] Notre vie s’écoule insensiblement ; et il ne nous reste de ce temps qui passe, que les moments qui nous seront comptés pour l’éternité ; nous ne devons désirer de vivre que pour accomplir ce que Dieu demande de nous, et la tranquillité de la vie doit être regardée comme une grâce et une bénédiction de douceur qu’il répand sur nous, et qui nous engage à le servir avec plus de fidélité.
D’ailleurs elle ne nous a transmis que les gestes de quelques nations, c’est-à-dire les actes d’une très-petite partie du genre humain : tout le reste des hommes est demeuré nul pour nous, nul pour la postérité ; ils ne sont sortis de leur néant que pour passer comme des ombres qui ne laissent point de traces ; et plût au ciel que le nom de tous ces prétendus héros, dont on a célébré les crimes ou la gloire sanguinaire, fût également enseveli dans la nuit de l’oubli ! […] Au reste, il n’a que ce fier ennemi ; tous les autres oiseaux de guerre le respectent, et il est en paix avec toute la nature : il vit en ami plutôt qu’en roi parmi ces nombreuses peuplades d’oiseaux aquatiques, qui toutes semblent se ranger sous sa loi ; il n’est que le chef, le premier habitant d’une république tranquille, où les citoyens n’ont rien à craindre d’un maître qui ne demande qu’autant qu’il leur accorde, et ne veut que calme et liberté2.
Dans le premier cas, c’est une nécessité qu’il faut subir ; il ne reste plus qu’à le traiter dignement.
Au reste, vous concevez bien que cette intelligence de la passion portée jusqu’à l’illusion est le comble de l’art ; vous concevez que, pour peindre avec une certaine perfection, ou pour soulever et calmer à son gré ces fièvres de l’âme, il faut à l’écrivain des études aussi obstinées, aussi diverses qu’au médecin pour reconnaître et guérir les maladies du corps.
Je vous avoue que le reste de ma vie est couvert d’ombre et de tristesse, quand je songe que je la passerai si souvent éloignée de vous.
, III, 87 : At duplex agitur per lumbos spina ; … Il faut voir, au reste, dans ce passage la description d’un beau cheval, pour la rapprocher de celle de Molière.
Au reste, on a nommé des commissaires pour examiner sa doctrine, ce qui est tout ce qu’on peut faire de mieux, et ce qui, pourtant, n’est pas une raison pour mettre tout le monde d’accord : Qui vult decipi decipiatur 67.
Le reste à une autre fois.
La vérité ne reste pas toujours cachée. — 3. […] Une action honteuse ne reste pas longtemps secrète. — 6. […] Après son départ, le reste des conjurés fut livré au supplice ; ces parricides furent arrêtés, et étranglés dans la prison.
L’autre reste atterré dans sa douleur muette, Et du terrible mat à regret convaincu, Regarde encor longtemps le coup qui l’a vaincu. […] Au reste, le plus parfait exemple que nous ayons dans notre langue du récit épique, c’est à Boileau que nous le devons.
Or vous avez un reste d’orgueil que vous vous déguisez à vous-même sous le goût de l’esprit ; vous n’en devez plus avoir, et encore moins le satisfaire avec un confesseur ; le plus simple est le meilleur pour vous, il faut vous y soumettre en enfant.
Celles qui se perdent n’ont rien devant Dieu qui leur reste, qui les marque, quelque signe de distinction que les hommes leur fassent ; car toute gloire humaine passe vite.
Je ne vois pas qu’il me reste rien à désirer pour lui que la continuation du grand et légitime succès qu’il a obtenu près de tous les maîtres soucieux de conserver ou de ressusciter les bonnes et solides traditions d’autrefois.
« L’orateur romain, dit l’ancien rhéteur Severianus, doit être plus abondant que l’orateur attique, plus précis que l’asiatique, Allico copiosior, Asiatico pressior. » A en juger par ce qui nous reste des Orientaux, Severianus disait juste.
Le poème héroïque ne diffère du précédent que par l’absence du merveilleux : pour le reste, il peut suivre absolument la même marche, les mêmes lois et le même style.
J’ai vu Corinthe, Argos, et Crète et les cent villes, Et du fleuve Egyptus les rivages fertiles ; Mais la terre et la mer, et l’âge et les malheurs, Ont épuisé ce corps fatigué de douleurs ; La voix me reste.
Mandez-moi donc, je vous prie, immédiatement, s’il reste encore de l’emploi dans nos troupes nouvellement levées, et si je serais sûr d’être employé en me rendant en Provence.
Un jour je lui en parlai : — Ma maison est prête, me dit-il, et me menant sur la place, il me montre d’un air joyeux ses pierres taillées, ses poutres équarries, ses planches sciées et rabotées ; vous voyez, me disait-il, ma maison est prête, il ne reste plus qu’à la bâtir.
Le peuple se réjouit et applaudit à leur sévère équité ; mais insensiblement ils abusèrent de cette liberté, et firent indistinctement périr les bons et les mauvais citoyens au gré de leur caprice et frappèrent tout le reste de terreur. […] La ville prise, rien ne reste aux vaincus.
Enfin l’heure est venue Qu’il faut que mon secret éclate à votre vue : A mes nobles projets je vois tout conspirer ; Il ne me reste plus qu’à vous les déclarer. […] Tant qu’un reste de sang coulera dans mes veines, Vous deviez à mon sort unir tous ses moments ; Je défendrai mes droits fondés sur vos serments.
Ceci ne contredit pas, au reste, ce que nous avons dit plus haut à propos de la moralité du sujet.
La première partie de cet ouvrage a été consacrée à poser les règles de l’art de parler et d’écrire ; seulement, au lieu de restreindre ces principes, comme on le fait trop souvent, à l’éloquence et à la manière de composer des discours, nous les avons étendus à tous les genres de composition ; ce qui nous reste à faire ici, c’est d’étudier l’éloquence dans ses différentes applications.
Il ne connaissait point à l’égard du travail la distinction des jours et des nuits ; les affaires avaient seules le droit de disposer de son temps, et il n’en donnait à tout le reste que ce qu’elles lui laissaient de moments vides, au hasard et irrégulièrement.
C’est au recommandé à faire le reste, en intéressant à ses affaires la personne à laquelle il est adressé.
Le reste à une autre fois.
La plus grande consolation3 qui vous reste, ce sont la sagesse, la piété et les bonnes mœurs du frère et de la sœur, qui ont rendu tous les offices qu’ils ont pu à leur sœur mourante.
On regardait ces restes d’agitation comme la vie d’un État libre.
Un caractère est soutenu, égal ou constant, lorsqu’il reste le même depuis le commencement jusqu’à la fin de l’entreprise, sans passer d’un genre à un autre, et sans jamais agir dans un sens opposé. […] Il nous reste à faire remarquer que si l’épopée est le pays des fictions, et si le poète peut et doit déployer dans l’emploi du merveilleux toutes les ressources de son génie, il ne doit jamais franchir les bornes d’une sage vraisemblance : les fictions ne doivent jamais être ni petites, ni outrées, ni dégoûtantes.
Nous n’en prétendons pas conclure qu’il faille renoncer à s’exprimer d’une manière ingénieuse, nouvelle et piquante, et s’interdire ce qu’on appelle les finesses du style ; non sans doute : nous voulons seulement prémunir les jeunes gens contre les écueils d’un genre qui les séduit aisément par son éclat passager, et auquel ils sont naturellement disposés à sacrifier tout le reste.
Mais ce n’est pas sa faute ; il ne lui a manqué que le dernier coup, le coup qui aurait épuisé le reste de son sang et de sa vie.
Remarquons d’abord qu’il est un assez grand nombre de figures dont il suffit de connaître la nomenclature, dont il ne reste plus rien à dire dès qu’on en a exposé la définition et l’étymologie, parce qu’elles ne comportent que certaines phrases stéréotypées, en quelque sorte, par l’usage, des espèces d’idiotismes dont il n’est pas permis de s’écarter ; parce que, en un mot, elles ne sont, comme je l’expliquerai plus tard, que des catachrèses.
Alexandre prit des femmes de la nation qu’il avait vaincue1 : il voulut que ceux de sa cour en prissent aussi ; le reste des Macédoniens suivit cet exemple.
La fausseté du premier moment a influé sur tout le reste.
Par notre folie et notre mauvaise conduite, nous pouvons de temps en temps nous égarer ; mais j’ai cette confiance qu’il reste en nous assez de bon sens et assez de vertu pour que nous rentrions dans le droit chemin avant d’être entièrement perdus. » Et plus tard, lorsque de cette France, qui l’avait si bien soutenu pendant la guerre, lui arrivent, pendant sa présidence, des embarras et des périls plus redoutables que la guerre, lorsque l’Europe bouleversée pèse sur lui comme l’Amérique, et étonne son esprit, il sait croire et se confier encore.
Dans la forme, on examinera si l’exposition est simple, quels sont les ornements qui en relèvent la vivacité et 1’intérêt, quelle est la nature des moyens par lesquels l’interlocuteur reste maître de la discussion. […] La tête du guerrier se partage ; sa cervelle se répand des deux côtés, ses yeux roulent à terre, son corps reste encore un moment debout, étendant des mains convulsives, objet d’épouvante et de pitié.
« Votre frère me paraît avoir tout ce qu’il veut, bon dîner, bon gîte et le reste. » (Les deux Pigeons.) […] Je le veux , dit le roi ; reste à vingt-neuf.
Mais, si nous voulons spécifier davantage le genre élégiaque, nous trouverons deux sortes d’élégies : l’élégie ou poésie érotique, qui est le chant de l’amour heureux ou malheureux ; et l’élégie proprement dite, qui s’étend à tout le reste. […] Il ne reste presque rien de ses œuvres.
Les chemins de fer sont destinés à opérer plus d’une révolution dans la rhétorique, comme dans tout le reste.
Il ne reste plus alors que deux membres qui, par leur rapprochement, forment une antithèse spéciale qu’on a appelée enthymémisme.
Bientôt la forêt redevient plus sombre ; l’idée de l’infini se présente à moi2 Funérailles d’Atala Vers le soir, nous transportâmes ses précieux restes à une ouverture de la grotte, qui donnait vers le nord.
Le reste sera l’œuvre de la religion.
Vous verriez ce que c’est qu’arguments, lieux communs, prosopopée, hypothèse, prolepse, épiphonème, et le reste, leur rôle et leur importance dans la machine.
Les exemples abondent : — « Le vieillard reste inébranlable dans son palais et dans sa résolution. » (Virgile.)