Le parfait antérieur marque une chose faite avant une autre qui se fit dans un temps dont il ne reste plus rien : = je vis hier votre ami, après que je vous eus quitté.
Il quitte sa solitude et devient le législateur des tribus ; il renouvelle la face de l’État, et les princes sont touchés de l’onction et de la grâce de ses paroles.
Quittent le noble orgueil d’un sang si généreux, Jusqu’à pouvoir soutenir que tu rognes sur eux ?
. — Avant de le quitter, / viens / qu’il nous réunisse.
Les passions dont une partie les a quittés, et l’autre est amortie par les glaces de l’âge, les agitent moins que l’intérêt ; ce qui les fait paraître modérés, plus susceptibles des impressions de la raison, que de celles de la future.
Vicieux, pénitent, courtisan, solitaire, Il prit, quitta, reprit la cuirasse et la haire.
C’est ainsi que Le Tasse, voulant décrire le tourment de la soif qui torture les Croisés pendant une affreuse sécheresse, a soin de rappeler le souvenir des ruisseaux et des claires fontaines dont ils ont quitté les bords délicieux.