— Qu’il mourût. […] madame est morte ! […] je meurs content, et mon sort est rempli. […] Ou que je meure si… Tremble de me pousser à bout (imprécation et réticence). […] L’épopée classique ne peut donc plus être qu’une faible et artificielle imitation, c’est-à-dire une chose morte.
Il mourut en 1230.
Il mourut, en 1712, dans sa terre de Saint-Gratien, près de Paris, n’ayant ni augmenté ni diminué sa fortune.
Il mourut, l’an 117, à Sélinonte, ville de Cilicie dans l’Asie mineure (aujourd’hui Natolie) ; et ses cendres, transportées à Rome, furent placées sous la colonne qu’on avoit élevée, trois ans auparavant, des dépouilles qu’il avoit faites sur les Ds.
Ce héros mourut de maladie en 1380, au milieu de ses triomphes, en assiégeant la forteresse de Château-neuf de Rendon, dans le Gévaudan, sur les frontières de l’Auvergne.
Il mourut en 1695, couvert de gloire et regretté comme le plus grand général qu’eut alors la France.
Est-ce une violence de ne pouvoir achever de mourir ? […] « Aimons donc la patrie, soyons soumis au sénat, prenons les intérêts des gens de bien ; oublions les avantages présents, pour ne nous occuper que de la gloire à venir ; regardons comme le plus utile ce qui sera le plus juste ; espérons tout ce que nous voudrons, mais supportons tout ce qui nous arrivera ; pensons enfin que, dans les grands hommes, le corps seul est mortel, que les conceptions de leur âme et la gloire de la vertu sont éternelles ; et si nous voyons cette opinion consacrée dans la personne d’Hercule, ce héros vénérable, dont l’immortalité même vint, dit-on, recueillir l’âme et les vertus, dès que les flammes du bûcher eurent consumé son corps, nous devons croire aussi que ceux qui, par leurs conseils ou par leurs travaux, ont défendu, accru, sauvé une république aussi florissante, sont parvenus à une gloire qui ne mourra jamais ».