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121. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — La Boétie, 1530 1563 » pp. -

Ces travaux qui révélaient en lui le goût de l’antique simplicité et des mœurs patriarcales, se recommandaient par un style attique et souple, dont la grâce rivalise parfois avec la plume d’Amyot.

122. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Joubert 1754-1824 » pp. 214-217

Vous savez quelle était la puissance de cette formalité chez les Orientaux, dont l’Empereur aime les mœurs et les manières ; c’est là jurer par le Styx4.

123. (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire

Cette étude obtient encore du goût et des mœurs du jour un nouveau degré de considération. […] Quelques peuples préfèrent des peintures hardies de mœurs, et le spectacle des passions les plus fortes. […] Les progrès de la civilisation, les arts, et les mœurs des hommes, ont fait subir des changements plus favorables à la délicatesse qu’à la force des idées. […] D’abord, on peut en partie en attribuer la cause aux entraves que les mœurs modernes ont imposées à la pensée. […] Les anciens modèles nous offrent des exemples dignes d’être imités, quoique, dans nos tentatives, nous devions respecter le goût et les mœurs modernes.

124. (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IX. » pp. 98-101

Nous eûmes beaucoup de ces ouvrages du temps du cardinal de Richelieu  c’était son goût, ainsi que celui des Espagnols  il aimait qu’on cherchât d’abord à peindre les mœurs et à arranger une intrigue, et qu’ensuite on donnât des noms aux personnages, comme on en use dans la comédie : c’est ainsi qu’il travaillait lui-même, quand il voulait se délasser du poids du ministère.

125. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Saint-Marc Girardin Né en 1801 » pp. 275-278

Aussi son cours de littérature dramatique est-il une histoire de nos travers, de nos idées, de nos mœurs, en un mot de la société française, et du cœur humain.

126. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Préface de la première édition » pp. -

D’illustres princes de l’Église n’ont pas dédaigné d’applaudir à nos efforts ; de nous féliciter d’avoir publié ce travail consciencieux, qui non seulement ne contient rien de contraire aux principes de la saine doctrine en ce qui concerne la foi et les bonnes mœurs, mais encore est très propre à éclairer l’esprit des jeunes humanistes, à épurer leur goût et à orner leur cœur, et qui mérite une place distinguée parmi les livres classiques édités de nos jours ; de nous louer d’avoir mis de la netteté dans notre plan, de la clarté dans notre méthode, de la justesse dans nos définitions, et surtout d’avoir rattaché à notre enseignement les modèles si parfaits qu’offrent les poètes bibliques et liturgiques, trop indignement méconnus ; de nous permettre de compter sur leurs plus favorables dispositions à l’égard de nos travaux, et sur la reconnaissance de tous les amis des lettres, mais surtout des lettres chrétiennes ; d’apprécier toute l’importance de notre œuvre, et d’appeler sur elle les bénédictions les plus abondantes ; enfin, de nous exhorter à servir la cause des bonnes-lettres avec un zèle qui ne se ralentisse jamais.

127. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre premier. Objet de l’Éloquence de la chaire. »

Laissons de côté les opinions ; personne n’a le droit de les forcer ; mais réclamons, et réclamons avec courage, contre une proscription qui tient au défaut de mœurs plus qu’au défaut de goût ; et rappelons à la lecture et à l’admiration de ces chefs-d’œuvre ceux que le fond même des choses n’intéresserait que faiblement.

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