Il ne prend pas assurément cette peine il se laisse attendrir quand la pièce est touchante, et il ne s’avise pas de dire en voyant Polyeucte : « Je n’ai jamais entendu parler de Sévère et de Pauline ces gens-là ne doivent pas me toucher. » (Voltaire, Dissertation sur la tragédie, en tête de sa Sémiramis.
Vous le savez, monsieur, il y a plusieurs demeures dans la maison de mon père, a dit Notre-Seigneur Jésus-Christ ; il y a aussi plusieurs routes ici-bas pour les gens de bien, à travers les difficultés et les obscurités de la vie, et ils peuvent se réunir au terme sans s’être vus au départ, ni rencontrés en chemin1.
Vous n’aurez jamais un volume, quand un de ces gens-là prétend l’avoir.
Les gens qui, dans mes mains, l’ont remise aujourd’hui. […] Et croyez-vous les gens si privés de lumières ? […] Je ne dis pas cela ; mais il faut de nos gens….. […] Une paille rompue Rend, entre gens d’honneur, une affaire conclue. […] Pourroit-on craindre pour un scélérat menacé de perdre une vie si funeste aux gens de bien ?
Combien de gens, en effet, qui, avec du goût et des lumières, et tout ce qu’il faut enfin pour apprécier le génie des grands hommes, ne se font point à l’idée de trouver de l’éloquence et de voir de grands orateurs dans un Bossuet, dans un Massillon ; et qui, tout en en demandant un ironique pardon à ces hommes illustres, ont peine à ne pas s’endormir en les lisant !
Ceux qui nous pensent envelopper sont ou ceux même que nous avons tenus enfermés si lâchement dans Paris, ou gens qui ne valent pas mieux, et qui auront plus d’affaires entre eux-mêmes que contre nous.
Le complaisant intéressé C’est bien le meilleur des hommes que Physcon3 ; il n’a rien à lui, pas même sa conscience4 : tout est à ses amis, et il a constamment eu le bonheur de compter parmi eux tous les gens au pouvoir.