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2. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »

Aurore, fille, selon la fable, de Titan et de la Terre. […] Mémoire (filles de). […] Onde (fille de l’). […] Orithie, fille d’Érecthée, roi d’Athènes. […] Thétis, une des déesses de la mer, fille de Nérée et de Doria, et petite fille de Théthys, femme de l’Océan.

3. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290

Ma fille, mon cher fils, embrassez votre père1. […] vous, ma fille ! […] Je ne puis vous tromper : sous les lois d’Orosmane… Punissez votre fille… elle était musulmane. […] Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines ! C’est le sang de vingt rois, tous chrétiens comme moi ; C’est le sang des héros, défenseurs de ma loi ; C’est le sang des martyrs… O fille encor trop chère, Connais-tu ton destin ?

4. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408

Amphitrite, fille de Nérée, dieu marin, et de sa sœur Doris. […] Athalie, fille d’Achab et de Jézabel, et femme de Joram, roi de Juda. […] Il mourut si pauvre, que le sénat fut obligé de marier ses filles aux dépens du trésor public. […] Nymphes, filles de Nérée, dieu marin, et de sa sœur Doris. […] Les poètes lui donnent cinquante fils ou filles, dont il en eut dix-neuf d’Hécube.

5. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Molière 1622-1673. » pp. 27-43

Touchez là, monsieur, ma fille n’est pas pour vous2. […] Vous n’êtes point gentilhomme, vous n’aurez point ma fille. […] J’ai du bien assez pour ma fille ; je n’ai besoin que d’honneurs, et je veux la faire marquise. […] c’est la fille de M. […] Ne me répliquez pas davantage ; ma fille sera marquise, en dépit de tout le monde, et, si vous me mettez en colère, je la ferai duchesse.

6. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Sévigné. (1626-1696.) » pp. 48-53

C’est en conversant, de Paris ou de la Bretagne, avec ses amis absents et surtout avec sa fille, c’est en les entretenant des nouvelles de la cour élégante de Louis XIV, ou des sentiments dont son âme de mère était remplie, qu’elle a rencontré la gloire. […] ma fille, que mes lettres sont sauvages ! […] Inquiétudes de madame de Sévigné pour sa fille et son fils. […] Qui m’eût dit en ce temps-là : « Votre fille est plus en danger que si elle était à l’armée », j’étais bien loin de le croire. […] Pour plus de détails sur sa mort, qui fut causée par sa témérité, on peut voir une autre lettre de madame de Sévigné à sa fille, datée du 3 juillet 1672.

7. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Sévigné 1626-1696 » pp. 52-64

J’ai beau chercher ma chère fille, je ne la trouve plus, et tous les pas qu’elle fait l’éloignent de moi. […] j’en trouvai les portes ouvertes ; mais je vis tout démeublé, tout dérangé, et votre pauvre petite fille qui me représentait la mienne. […] Ma fille, il faut que vous essuyiez tout ceci. […] qui m’eût dit dans ce temps-là : Votre fille est plus en danger que4 si elle était à l’armée ? […] Vraiment, ma fille, je m’en vais bien encore vous parler de M. de Turenne.

8. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Canevas

Madame de Sévigné remercie sa fille. […] Ma fille, le chemin n’est-il pas étroit ? […] Adieu ma fille !  […] La pauvre fille près de mourir ne les épouvante plus sans doute ? […] Ô fille encor trop chère !

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