C’est-à-dire tenait les paris, couvrait les mises 6.
Adieu, flots, dont le cours tranquille, Couvert de berceaux verdoyants, A ma nacelle, d’île en île, Ouvrait mille sentiers fuyants1, Quand, rêveuse, elle allait sans guide Me perdre, en suivant vos détours, Dans l’ombre d’un dédale humide, Où je me retrouvais toujours.
Avec les dehors hypocrites de la vertu, l’orateur peut bien éblouir les esprits, séduire les cœurs, lorsqu’il n’est pas connu, mais bientôt le contraste de sa moralité avec l’étalage de ses qualités d’emprunt, ne manquerait pas de révolter l’auditoire et de le couvrir de ridicule. […] ) nomme sesquipetlalia verba , les petites idées, il faut pareillement se garder des grands mouvements, des élans passionnés, dans les mesquines affaires : on se couvrirait de ridicule, à la façon de l’Intimé dans les Plaideurs de Racine. […] Jusqu’à présent j’ai publié les justices du Très Haut dans des temples couverts de chaume ; j’ai prêché les rigueurs de la pénitence à des infortunés qui manquaient de pain ; j’ai annoncé aux bons habitants des campagnes les vérités les plus effrayantes de ma religion. […] Ce malheureux lutte, tendit divellere, contre ces effroyables nœuds, tout couvert de sang et du poison de ces monstres, images terribles ! […] C’est, à proprement parler, une métaphore continue ; et, pour caractériser la transparence du voile dont elle se couvre, un poète a bien dit : L’Allégorie habite un palais diaphane.
ô abîme couvert de tant nuages mêlés d’un peu de lumière !
Il y a du mérite dans leurs efforts ; ce mérite couvre leurs défauts. […] Le char d’Apollon s’embourberait dans les neiges détrempées de pluie qui couvrent le Brandebourg. […] Ce malheureux avilissement où ils sont les irrite ; ils trouvent en vous un client, et ils vous prodiguent tout le mépris dont ils sont couverts.
D’un éclat différent mon camp frappait leur vue : Mon armée en silence à leurs yeux étendue, N’offrait de tous côtés que farouches soldats, Endurcis aux travaux, vieillis dans les combats ; Accoutumés au sang et couverts de blessures, Leur fer et leurs mousquets composaient leurs parures. […] Ils brillent sous l’or et la pourpre qui les couvrent et leurs armes répandent un éclat, étalent un luxe dont il est impossible d’avoir l’idée, quand on n’en a pas eu le spectacle.
Mon oreille bientôt sera sourde aux concerts : La chaleur de mon sang va se tourner en glace : D’un nuage épaissi mes yeux seront couverts. […] ……………………………………………… Tels ces arbres heureux et du ciel protégés, Que l’humide Aquilon n’a jamais outragés, Conservent la fraîcheur de leur feuille odorante ; En vain sous les frimas la terre est expirante, Leurs fertiles rameaux de leurs fruits sont couverts, Et leurs riches parfums étonnent les hivers.