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174. (1863) Discours choisis ; traduction française par W. Rinn et B. Villefore. Première partie.

Hier donc, j’appelai chez moi les préteurs L.  […] Je fais également appeler L.  […] On les appelait Canéphores. […] Enfin, on apporte tout à Verrès : on appelle les deux Cybirates, qui ne rejettent que peu de chose. […] Nommez tel honnête homme qu’il vous plaira de Syracuse, je l’appellerai en témoignage.

175. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre IV. Continuation du même sujet. Historiens latins. »

Cyrus, dit Xénophon, sentant sa fin approcher, fit appeler ses deux fils, avec ses amis, et les principaux magistrats des Perses ; et les voyant tous rassemblés, il leur tint ce discours : « Mes enfants, et vous tous, mes amis, qui êtes ici présents, je reconnais à plusieurs signes que je touche au terme de ma vie. […] Elle vous sourit enfin, cette liberté que vos vœux appellent depuis si longtemps, et avec elle, s’offrent à vous les richesses, l’honneur et la gloire : ce sont les prix que la fortune promet aux vainqueurs. […] Vous appellerai-je soldats ? […] Mais mon âme prenant sans cesse un nouvel essor, s’élançait avidement vers la postérité, persuadée qu’elle ne vivrait en effet que du moment où elle s’échapperait de ce qu’on appelle si improprement la vie !

176. (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503

Qu’appelle-t-on la règle des trois unités au théâtre ? […] Qu’appelle-t-on les quatre grands siècles de l’histoire ? […] Qu’appelle-t-on éloquence politique ? […] – Qu’appelle-t-on la Renaissance ? […] L’état de l’industrie appelle aussi toute notre sollicitude.

177. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bernardin de Saint-Pierre. (1737-1814.) » pp. 153-158

Nommé en 1794 professeur de morale à l’école normale, qui venant d’être fondée, appelé bientôt après à l’Institut, il vit s’écouler sa vieillesse, embellie par les charmes de la famille et les prévenances du respect public. […] Quand les rudes aquilons ont ravagé la terre, vous appelez le plus faible des vents ; à votre voix le zéphyr souffle, la verdure renaît, les douces primevères et les humbles violettes colorent d’or et de pourpre le sein des noirs rochers.

178. (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Remarques particulières sur chaque espèce de mots. » pp. 46-52

. — On appelle noms partitifs ceux qui marquent la partie d’un plus grand nombre, comme la plupart de, une infinité de, beaucoup de, peu de, etc. […] Exemples : Appelle-t-il ?

179. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Descartes, 1596-1650 » pp. 9-14

Des tempêtes théologiques suscitées par un docteur protestant le réduisirent à chercher un refuge à Stockholm (1649), où l’appelait l’amitié de la reine Christine. […] Je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes, qui, n’étant appelées ni par leur naissance ni par leur fortune au maniement des affaires publiques, ne laissent pas d’y faire toujours en idées1 quelque nouvelle réformation ; et si je pensais qu’il y eût la moindre chose en cet écrit par laquelle on me pût soupçonner de cette folie, je serais très-marri2 de souffrir qu’il fût publié.

180. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Maintenon 1635-1719 » pp. 94-99

Voilà, mon cher neveu, puisque votre amitié pour moi vous fait aimer nom, ce que je pense dans ce que saint François de Sales appelle la fine pointe de l’esprit, tandis que tout le reste qui est en moi est dans la tristesse, dans l’abattement, et dans un serrement de cœur qui devrait bien terminer cette misérable et trop longue vie. […] Madame de Caylus avait alors vingt ans ; elle n’était que cousine de madame de Maintenon qui, l’ayant élevée et arrachée au protestantisme, l’appelait sa nièce.

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