Voici le début de l’orateur : « Plusieurs des orateurs que vous venez d’entendre à cette tribune, n’ont pas manqué de préconiser le législateur qui, en consacrant l’ancienne loi sur la sépulture des citoyens moissonnés dans les combats, crut devoir y ajouter celle qui ordonne de prononcer leur éloge : sans doute ils pensaient que c’est une belle institution de louer en public les héros morts pour la patrie.
Voici un fragment de ballade adressée par La Fontaine à Fouquet : Trois fois dix vers, et puis cinq d’ajoutés Sans point d’abus, c’est ma tâche complète : Mais le mal est qu’ils ne sont pas comptés ; Par quelque bout il faut que je m’y mette.
À ces vingt vers on ajoutait, sous le nom d’envoi, un sixième quatrain qui ramenait à la fin et en dehors du dernier vers les premiers mots du rondeau.
Ces petites circonstances ajoutent à la vraisemblance du récit.
Réunissant une imagination plus hardie, un enthousiasme plus élevé, une fécondité plus originale, une vocation plus haute, tu sembles ajouter l’éclat de ton génie à la majesté du culte public, et consacrer encore la religion elle-même1.
A toutes ces connaissances supérieures, l’homme de guerre ajoutera les connaissances plus vulgaires, mais non moins nécessaires, de l’administrateur.
Dix-huit années de préparation studieuse, à laquelle s’ajouta l’expérience du monde, nourrirent sa forte éloquence, qui, à partir de 1669, se multiplia sans relâche, pour semer le bon grain.