Et tous ceux qui avaient (une) affaire venaient lui parler, sans empêchement d’huissier ou d’autre. […] Je poursuivis mon affaire de telle sorte que je recevais beaucoup d’argent d’une partie de ma besogne qui se trouvait bien. […] Ce n’est plus pour Diphile un agréable amusement ; c’est une affaire laborieuse, et à laquelle à peine il peut suffire. […] Il est complaisant, flatteur, empressé ; il est mystérieux sur ses affaires, quelquefois menteur ; il est superstitieux, scrupuleux, timide. […] Jeannot le père avait acquis assez rapidement des biens immenses dans les affaires.
Tout contrefacteur ou débitant de contrefaçons de cet Ouvrage sera poursuivi conformément aux lois. Toutes mes Editions sont revêtues de ma griffe. Avant-propos. Le succès toujours croissant de la nouvelle Méthode, à laquelle ce Cours est adapté, nous dispense d’en faire l’éloge, et d’ajouter un tardif et obscur hommage aux suffrages éminents qui l’ont accueillie dès son apparition. En offrant au public ce recueil, nous n’avons point la prétention chimérique de suivre pas à pas la théorie de l’auteur, de présenter chacun des exercices qui composent notre ouvrage, comme le développement spécial d’une règle de la Méthode.
Cependant Milon est accusé, et ce procès devient, comme tout le reste, une affaire de parti. […] « Quant au reste des auditeurs (et je parle ici des vrais citoyens), tous nous sont favorables ; et dans cette multitude nombreuse de Romains, dont les regards viennent de tous les points du Forum se fixer sur vous, et qui attendent avec tant d’impatience l’issue de cette affaire, il n’en est pas un qui n’applaudisse au courage de Milon, et qui ne pense que ce jour va décider de son sort, de celui de ses enfants, de celui, enfin, de la patrie elle-même.
Le style ne saurait être trop simple, trop clair et trop précis dans les lettres d’affaires. […] Mais dans les lettres d’affaires et de commerce, on la place ordinairement au haut de la lettre.
., C’est le hasard qui m’a fait me charger de cette affaire : elle était portée devant les assises d’Évreux, l’avocat de Dehors tombe malade la veille de l’audience. […] Dans Athènes en particulier, les affaires importantes se décidaient dans l’assemblée du peuple ; c’est là qu’on portait les lois, qu’on décrétait la paix ou la guerre. […] La direction des principales affaires appartenait aux Patriciens et au Sénat ; quelques-unes seulement étaient réservées à l’assemblée du peuple. […] Tant que la nation elle-même fut éloignée des affaires, aucune discussion grave ne pouvait s’élever. […] Les mémoires sont des écrits sur les affaires litigieuses, que les avocats distribuent aux juges ou même au public dans les causes importantes.
Si, dans le cours de l’affaire, un examen plus approfondi des pièces lui démontre que la cause qu’il croyait bonne est injuste ou douteuse, il veut que l’avocat lui-même conseille à sa partie de ne pas poursuivre plus longtemps un procès dont le gain même ne lui peut devenir que très funeste.
Il combattit près de lui à la chaude affaire d’Eause, où ce prince courut le plus grand danger.