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95. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre II. De l’Éloquence chez les Grecs. »

Ce fut lui qui introduisit le premier la méthode de composer ces périodes régulières et harmonieusement cadencées, dont Cicéron fait un si bel éloge, et pour lesquelles il eut lui-même tant de propension.

96. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre V. Des sermons de Bossuet. »

voilà le sujet et le texte qui fournissent à Bossuet l’occasion de développer avec toute l’éloquence du génie les plus grandes vérités de la morale de tous les temps et de tous les pays ; de cette morale qui a été celle de Platon, de Socrate et de Cicéron, comme de Bourdaloue et de Bossuet, et qui doit être celle de tous les hommes qui ne sont ni dans le délire ni dans l’enfance.

97. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre I. — Rhétorique »

En Grèce, les Périclès, les Démosthènes, les Eschyle ; à Rome, les Gracques, les Scipion, les Cicéron et une foule d’autres, n’ont-ils pas su conquérir par le talent de la parole les plus hautes dignités de la République ?

98. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Retz 614-1679 » pp. 22-26

« Il fit la guerre au roi ; mais le personnage de rebelle était ce qui le flattait le plus dans la rébellion : magnifique, bel esprit, turbulent, ayant plus de saillies que de suite, plus de chimères que de vues, déplacé dans une monarchie, et n’ayant pas ce qu’il fallait pour être républicain, parce qu’il n’était ni sujet fidèle ni bon citoyen ; aussi vain, plus hardi et moins honnête homme que Cicéron ; enfin plus d’esprit, moins grand et moins méchant que Catilina.

99. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Florian 1755-1794 » pp. 473-479

— Moi, disait un dindon, je vois bien quelque chose, Mais je ne sais pour quelle cause Je ne distingue pas très-bien3. » Pendant tous ces discours, le Cicéron moderne Parlait éloquemment, et ne se lassait point.

100. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Retz, 1614-1679 » pp. 38-42

« Il fit la guerre au roi ; mais le personnage de rebelle était ce qui le flattait le plus dans la rébellion : magnifique, bel esprit, turbulent, ayant plus de saillies que de suite, plus de chimères que de vues, déplacé dans une monarchie, et n’ayant pas ce qu’il fallait pour être républicain, parce qu’il n’était ni sujet fidèle ni bon citoyen ; aussi vain, plus hardi et moins honnête homme que Cicéron ; enfin plus d’esprit, moins grand et moins méchant que Catilina.

101. (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)

À la mort de ce dernier, Sylla, vainqueur d’Athènes, les fit porter à Rome où ils furent copiés et révisés par un ami de Cicéron, le Grec Tyrannion. […] Il est synonyme de logique pour Cicéron. […] Aristote, au rapport de Cicéron, avait écrit un livre dans lequel il exposait les préceptes oratoires de ses devanciers. […] Ce savant a cherché à démontrer que Cicéron avait directement peu pratiqué les ouvrages oratoires d’Aristote. […] Gros, etc., avec des notes et un index des morceaux parallèles de Cicéron et de Quintilien (Paris, Bobée, in-8º).

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