Frappés du coloris de ces tableaux de mœurs, du piquant de ces détails qui présentaient la vie des hommes au naturel, ils voulurent les reproduire, mais au lieu de rattacher, comme l’avait fait Bourdaloue, leurs portraits à des principes, ils firent de l’accessoire le principal, et d’une petite partie, le tout. […] Ainsi donc, sans nous arrêter sur l’épistolographie, terminons ce que nous avons à dire de la narration et des formes qui s’y rattachent, par quelques remarques sur un mode de développement qui peut s’appliquer non-seulement à cette partie de l’ensemble, mais à toutes les autres ; je veux parler de l’ amplification.
Les acteurs, quand ils la saisissaient, ce qui n’arrivait pas toujours, appuyaient sur elle, c’est-à-dire lui ôtaient une partie de son caractère, pour la faire saisir du public. […] Tantôt c’est une métaphore ou une allusion, tantôt une antithèse, un euphémisme, une litote, plus loin un paradoxe ou une naïveté apparente, et toujours le soin de laisser à deviner une partie de l’idée.
Enfin, descendons au fond de notre âme, pour y sentir palpiter et vivre cette partie immortelle de nous-mêmes, qui nous rapproche de Dieu. […] (Voir, dans la deuxième partie, l’article Beau et sublime.)
Mais pourra-t-il, sans le secours de ces règles, composer un discours qui soit beau dans son ensemble et dans toutes ses parties ; qui ne pèche ni par le plan ni par le style ? […] Avant de traiter cette seconde Partie de mon Ouvrage, je vais faire quelques remarques sur le style épistolaire.
Je broche une comédie dans les mœurs du sérail : auteur espagnol, je crois pouvoir y fronder Mahomet sans scrupule ; à l’instant un envoyé de je ne sais où se plaint que j’offense dans mes vers la Sublime-Porte, la Perse, une partie de la presqu’île de l’Inde, toute l’Égypte, les royaumes de Barca, de Tripoli, de Tunis, d’Alger et du Maroc ; et voilà ma comédie flambée pour plaire aux princes mahométans, dont pas un, je crois, ne sait lire, et qui nous meurtrissent l’omoplate en nous disant : « Chiens de chrétiens ! […] Et c’est le plus sûr ; car souvent les parties déguisent en lisant.
. — Il y a en français dix sortes de mots qu’on appelle les parties du discours ; savoir : le Nom, l’Article, l’Adjectif, le Pronom, le Verbe, le Participe, la Préposition, l’Adverbe, la Conjonction et l’Interjection.
L’auteur d’un argument sur l’Oreste d’Euripide remarque que cette pièce, ainsi que l’Alceste, a un dénoûment comique il cite encore un exemple de Sophocle, et il ajoute : « En un mot, il y a beaucoup d’exemples de ce genre dans la tragédie. » Comparez Villemain, Tableau du xviii e siècle, IIIe partie, v e leçon.
Nous diviserons tout ce qui concerne le style en deux grandes parties, qui renfermeront elles-mêmes plusieurs divisions.
« Les recherches sur celle partie mécanique du style, dit Marmontel, et les essais que l’on fera pour y exercer son oreille et sa plume doivent être, comme des études de peintre, destinées à ne pas voir le jour. […] Le lendemain un autre compositeur, travaillant sur un volume différent du même ouvrage et dans une autre partie de la maison, vint demander des a, dont il n’avait plus un seul.
La première1 est comme une partie nouvelle et essentielle de l’histoire générale. […] Ces leçons, devenues des livres, ont gardé dans leurs parties les plus solides les qualités du grand style ; et, dans tout ce qui n’est que brillant, elles en ont encore les grands airs.
Voyez sur la finale δωρος dans les mots doubles de ce genre, les ingénieuses observations de Letronne sur les Noms propres grecs (Paris, 1846), IIe partie.
Ce genre est le plus facile, parce qu’il ne demande ni invention, ni ordre, ni ensemble, ni disposition de parties ; il présente une succession de tableaux dont chacun séparément peut avoir du mérite, mais dont la réunion offre une fastidieuse monotonie.
Dans les notes de cette seconde partie, les brèves sont indiquées par des accents graves (ˋ), et les longues par des accents circonflexes (ˆ).
Ainsi cet ouvrage sera divisé en deux Parties.
Choisir nos citations dans celles de ses comédies en vers qui sont restées en dehors du programme, afin de compléter la connaissance de cette partie de son théâtre. […] À la première partie de sa vie appartiennent des poésies mythologiques et allégoriques, inspirées du Roman de la Rose, par exemple le Temple de Cupido (1545), dédié à François Ier, qu’il réunit et publia en 1532 sous le titre de Adolescence Clémentine. […] Montaigne « ne le trouva guère esloigné de la perfection ancienne aux parties en quoy il excelle » (II, 17). […] Passerat (1534-1602) Notice Jean Passerat, de Troyes, Champenois comme Pithou et La Fontaine, jurisconsulte comme l’un, poète comme l’autre, est une des physionomies les plus originales de la seconde partie du xvie siècle.
Voltaire, par exemple, s’est plu à refaire une grande partie des tragédies de Crébillon ; Corneille et Racine ont composé une tragédie sur le morne sujet, Bérénice ; Boileau, comme Horace et Lafresnais-Vauquelin, a composé un art poétique ; Horace, Boileau et Régnier ont encore écrit une satire sur un festin ; la Phèdre de Racine a été malheureusement éclipsée un instant par celle de Pradon. […] La deuxième espèce de liaison ou transition est visible, facile à saisir, et consiste dans certains mots, ou certaines parties de phrases, qui marquent le passage de ce qu’on a dit à ce qu’on va dire.
Parties. On dirait aujourd’hui les divertissements, ou les parties de plaisir.
Ce qui étonne, ce n’est pas que la semence du vrai, du bien, soit étouffée dans le monde, ou s’y dessèche presque aussitôt, c’est qu’une partie de cette divine semence y trouve çà et là un peu de bonne terre où elle fructifie. […] Je vis tranquille et calme dans ma solitude profonde, faisant des vœux pour l’Humanité, au sein de laquelle fermente quelque chose qui se dérobe en partie à ma faible vue, mais certainement quelque chose de grand.
L’exacte proportion des parties contribue souvent à la beauté d’un objet ; mais rarement elle entre pour quelque chose dans le sublime.
La fable convenait singulièrement à l’esprit fin et naïf de nos pères : outre les nombreux fabliaux que nous présente le moyen-âge, citons le recueil de fables de Marie de France, tirée en partie d’Ésope.
Le souhait du judicieux critique, qui peut s’étendre à toutes les parties de la littérature et par conséquent à la poétique aussi bien qu’à la rhétorique, a été depuis longtemps entendu.
Mais ces défauts sont rachetés en partie par la douceur, la noblesse et la gravité qui règnent dans ses discours.
Accablé de souffrances, privé de la vue, perdant chaque jour une partie de toi-même, ce n’était que par un excès de vertu que tu n’étais point malheureux ; et cette vertu ne te coûtait point d’efforts.
Ce poëme dut une partie de son grand succès à son opportunité.
Et s’il est arrivé que l’on a fait quelquefois des choses louables sans le secours ou la connaissance des règles, c’est qu’on a fait alors comme ceux qui sont venus les premiers, on a deviné quelque partie par la réflexion et le talent ; mais on n’a jamais été bien loin.
Il y en a d’autres qui marquent les parties d’un tout, comme : la moitié, le tiers, le quart, etc.
Partout, dans cette première partie on trouvera des exemples nombreux et choisis avec soin.
Ses juges sont non seulement des hommes, mais des hommes prévenus d’opinions, de sentiments et de maximes absolument opposées aux sienues ; mais des parties intéressées, qu’il faut réduire à prononcer contre les affections les plus intimes de leur âme, contre leurs penchants les plus chers.
Je broche une comédie dans les mœurs du sérail : auteur espagnol, je crois pouvoir y fronder Mahomet sans scrupule ; à l’instant un envoyé de je ne sais où se plaint que j’offense dans mes vers la Sublime-Porte, la Perse, une partie de la presqu’île de l’Inde, toute l’Égypte, les royaumes de Barca, de Tripoli, de Tunis, d’Alger et du Maroc ; et voilà ma comédie flambée pour plaire aux princes mahométans, dont pas un, je crois, ne sait lire, et qui nous meurtrissent l’omoplate en nous disant : « Chiens de chrétiens !
Nous perdons, par notre faute, une partie, et la plus grande, des bienfaits du créateur.
Ces maux de nos semblables, si nous pouvions les regarder d’une vue tranquille et charitable, nous seraient des instructions d’autant plus utiles, que nous en verrions bien mieux la difformité que des nôtres, dont l’amour-propre nous cache toujours une partie ; ils nous pourraient donner lieu de remarquer que les passions font d’ordinaire un effet tout contraire à celui que l’on prétend.
Destouches et Piron produisirent des chefs-d’œuvre dignes de Molière ; Crébillon eut la gloire de balancer Eschyle ; et Voltaire, incomparable dans les poésies légères, à qui notre scène doit une partie de ses richesses, fit d’heureux efforts pour atteindre à la couronne épique.
La tête immobile sur mon sac de paille, je roule en mon esprit les redoutables problèmes que je porte avec moi depuis tant d’années3, et je ne me réveille de ces méditations confuses4, qu’à la vue de Dresde, sur le pont élégant et léger qui joint les deux parties de la ville, et d’où j’ai sous les yeux le cours sinueux de l’Elbe ; en face les montagnes de Pilnitz, qui bornent l’horizon ; à gauche, les jardins du comte de Brüll, la terrasse, le belvédère ; à droite, le gracieux vaisseau de l’Église catholique5.
Le vers phérécratique se compose de trois pieds : un spondée, un dactyle et un spondée, ou un dactyle entre deux spondées ; c’est la seconde partie d’un vers hexamètre.
« Heureuse, s’écrie-t-il, l’utile défiance de l’orateur sagement timide, qui, dans le choix et dans le partage de ses occupations, a perpétuellement devant les yeux ce qu’il doit à ses parties, à la justice, à lui-même !
Une figure est régulière, quand toutes ses parties sont formées d’après une règle certaine, qui n’admet rien de vague, rien d’arbitraire, et ne connaît point d’exceptions.
Ces beaux discours doivent, sans doute, une partie de leur mérite à l’importance du sujet et à l’intégrité de l’esprit public qui y respire d’un bout à l’autre.
Chez les anciens, l’ode était chantée et représentée sur la scène ; elle se composait de plusieurs parties ou stances, qui prenaient le nom de strophe, antistrophe et épode, et qui correspondaient à certains mouvements du chœur.
Mais que le prince en donne une partie, Le tout, s’il veut ; j’ai bon consentement De l’accepter sans craindre aucunement.
Il faut qu’il ait ensuite des connaissances exactes sur la force, les intérêts et le caractère des peuples, qu’il sache leur histoire politique, et particulièrement leur histoire militaire ; il faut surtout qu’il connaisse les hommes, car les hommes à la guerre ne sont pas des machines ; au contraire, ils y deviennent plus sensibles, plus irritables qu’ailleurs, et l’art de les manier, d’une main délicate et ferme, fut toujours une partie importante de l’art des grands capitaines.
Aussi bien une grande partie de ceux qui haïssaient M. le cardinal se sont convertis par le dernier miracle qu’il vient de faire ; et si la guerre peut finir, comme il y a apparence de l’espérer, il trouvera moyen de gagner bientôt tous les autres.
Rarement la vraisemblance est blessée dans la partie oratoire de leurs ouvrages, et les discours qu’ils mettent dans la bouche de leurs personnages s’accordent si bien avec le caractère, la situation et l’objet de celui qui parle, que l’on se persuade sans effort que ces harangues ont été prononcées en effet telles que l’historien les rapporte. […] » Quand l’homme a fini, et que sa machine se dissout, on voit les différentes parties qui la composaient, se rejoindre aux éléments auxquels elles appartiennent : l’âme seule échappe aux regards, soit lorsqu’elle anime le corps, soit lorsqu’elle le quitte.
À peine les états-généraux furent-ils assemblés, que l’on vit éclater une funeste mésintelligence entre les trois ordres convoqués pour travailler de concert au bien commun, et à la régénération de toutes les parties de l’administration publique.
beautés qui n appartiennent point exclusivement, comme l’Iliade ou l’Énéide, à telle ou telle contrée, mais qui sont le patrimoine universel du genre humain, parce qu’Abraham, Jacob, Joseph, sont des hommes : au lieu qu’Achille, Hector, Priam, Ulysse, Agamemnon, sont des Grecs : beautés qui ne tiennent point absolument à l’idiome primitif, puisqu’elles sont belles et attachantes dans tous les idiomes ; au lieu qu’une grande partie du charme des poètes anciens dépend de l’harmonie du vers et du choix heureux de l’expression, mérite qui disparaît presque entièrement dans une traduction, quelque bien faite qu’elle soit d’ailleurs.
Par l’unité, toutes les parties se relieront entre elles, se rattacheront à un centre commun, et formeront un ensemble complet.
Un peintre nous offre, sur la toile, un jardin que nous avons vu, et tel que nous l’avons vu dans toutes ses parties, avec tous ses ornements.
, XV, 9 ; Corneille, Polyeucte, V, 3 ; et Bossuet, IIe partie, III, du Disc. sur l’hist.
Consult. de plus, au sujet de Voltaire, Châteaubriand, Génie du Christianisme, IIIe partie, liv.
On lira aussi avec profit les leçons 7e et 8e (IIIe partie) du Cours de littérature française au dix-huitième siècle, par M.
Il était bon ami ; il eût même souhaité d’être aimé du peuple ; mais quoiqu’il eût la civilité, l’extérieur et beaucoup d’autres parties propres à cet effet, il n’en eut jamais le je ne sais quoi qui est encore en cette matière plus requis qu’en toute autre.
Car si vous estiez sur le lieu, vous n’y verriez point la dixieme partie de ce qui s’en est dict dehors.
Tableau de mœurs ou la caricature se mêle au portrait, et l’invective à la raison, elle reflète ce qu’il y eut d’horrible et de risible dans cette explosion de folie qui précéda le règne d’Henri IV, « Le seul roi dont le peuple ait gardé la mémoire. » Dans certaines parties impérissables, c’est un modèle d’ironie, de dialectique véhémente et de virils accents mis au service d’une cause, alors nationale, dans une ville ruinée, affamée, fiévreuse et à demi repentante, qui attendait l’avénement de la poule au pot.
« La plupart des hommes emploient la première partie de leur vie à rendre l’autre misérable. » 3.
Il sait que l’homme, être infini par sa destinée, est semé passagèrement sur un sol borné, et, no pouvant agrandir la partie commune, il agrandit son cœur pour s’y contenter de peu.
Enfin je citerai pour modèle d’hypotypose ces vers pittoresques du poème des Quatre Parties du Jour, par le C. de B***. […] Tandis qu’il paraissait appliqué à une seule affaire, il donnait une égale attention à toutes les autres, agissant tout à la fois avec la même vivacité dans toutes les parties de l’Europe.
Voici sur quel ton Bourdaloue commence la seconde partie de son Oraison funèbre du grand Condé a : « Il n’y a point d’astre qui ne souffre quelque éclipse ; et le plus brillant de tous, qui est le soleil, est celui qui en souffre de plus grandes et de plus sensibles. […] Je n’en citerai que ce morceau, dont la plus grande partie a été traduite en vers par Boileau.
Le péril extrême où se trouve mon fils ; la guerre qui s’échauffe tous les jours ; les courriers qui n’apportent plus que la mort de quelqu’un de nos amis ou de nos connaissances, et qui peuvent apporter pis ; la crainte que l’on a des mauvaises nouvelles, et la curiosité qu’on a de les apprendre ; la désolation de ceux qui sont outrés de douleur, et avec qui je passe une partie de ma vie ; l’inconcevable état de ma tante, et l’envie que j’ai de vous voir : tout cela me déchire, me tue, et me fait mener une vie si contraire à mon humeur et à mon tempérament, qu’en vérité il faut que j’aie une bonne santé pour y résister.
C’est une partie de la description des armes de Télémaque, description imitée des poèmes d’Homère et de Virgile, qui montrera ce que c’est que la prose poétique.
Et, bien qu’ils se soient vantés d’avoir purgé la terre de la nation des chrétiens, d’avoir aboli le nom chrétien en toutes les parties de l’empire, l’expérience nous a fait voir qu’ils ont triomphé à faux, et leurs marbres ont été menteurs.
Un pèlerinage au tombeau de Jean-Jacques Quelques dames et quelques jeunes gens de mes amis firent un jour avec moi la partie d’aller voir le tombeau de Jean-Jacques, à Ermenonville1 : c’était au mois de mai.
Voiture parlait ainsi de Richelieu : « Oui, lorsque dans deux cents ans, ceux qui viendront après nous liront en notre histoire que le cardinal de Richelieu a démoli la Rochelle et abattu l’hérésie, et que par un seul traité, comme par un coup de rets, il a pris trente ou quarante de ses villes pour une fois ; lorsqu’ils apprendront que, du temps de son ministère, les Anglais ont été battus et chassés, Pignerol conquis, Cazal secouru, toute la Lorraine jointe à cette couronne, la plus grande partie de l’Alsace mise sous notre pouvoir, les Espagnols défaits à Veillane et à Avein ; et qu’ils verront que, tant qu’il a présidé à nos affaires, la France n’a pas un voisin sur lequel elle n’ait gagné des places ou des batailles : s’ils ont quelque goutte de sang français dans les veines et quelque amour pour la gloire de leur pays, pourront-ils lire ces choses sans s’affectionner à lui, et, à votre avis, l’aimeront-ils ou l’estimeront-ils moins, à cause que, de son temps, les rentes sur l’Hôtel de Ville se seront payées un peu plus tard, ou que l’on aura mis quelques nouveaux officiers à la chambre des comptes ?
A mes parents et amis de Péronne, ville où j’ai passé une partie de ma jeunesse, de 1790 à 1796.
La postérité n’oublie pas non plus qu’elle lui doit en partie Esther et Athalie.
Mérimée ajoutait : « Le temps a cruellement mutilé l’histoire de la Grèce comme toutes les autres parties de sa littérature.
Ainsi, 131 vers (ou la 144e partie de l’œuvre de notre poète) se terminent par le mot pas ; autrement dit : Tous les 144 vers, en moyenne, on retrouve ce même monosyllabe à la rime. […] La fin du vers français est marquée par un repos logique : c’est la fin même de la phrase, ou d’une de ses parties principales.
Delille a cherché à reproduire une partie de ces beautés dans les vers suivants : Oh !
Les Romains s’aperçurent bien vite de ce ridicule : moins artistes que les Grecs, ils méprisèrent dans l’enseignement tout ce qui ne leur paraissait que jeux d’imagination et amusements de vaincus ; plus pratiques surtout et plus positifs, ils ne voulurent s’occuper que de la partie de la rhétorique à laquelle les institutions démocratiques donnaient une importance réelle dans la vie active et publique.