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117. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre II. Des qualités du style » pp. 79-118

Il vaut mieux se taire que de parler pour n’être pas entendu. […] Arrivé au mot fatal, il se garde bien de le prononcer : Κεῖται Πάτροκλος, lui fait dire Homère ; ce qui vaut infiniment mieux que τέθνηκε Πάτροκλος.

118. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE IV. De la composition des vers. » pp. 295-331

Mais on voit, au premier coup d’œil, que les épithètes alba et loquaci ne valent rien ; elles sont tirées de la nature des choses ; il fallait, au contraire, les puiser dans les circonstances du sujet, et considérer pour cela les causes et les effets, tant au physique qu’au moral. […] Il est néanmoins des circonstances où il vaut mieux les placer après leurs substantifs ; c’est quand l’intérêt de la pensée ou l’harmonie du vers l’exigent ainsi.

119. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Amyot, 1513-1593 » pp. -

Sa traduction des Amours de Théagène et Chariclée lui valut bientôt l’abbaye de Bellozane, bénéfice dont le gratifia la faveur de François Ier.

120. (1863) Discours choisis ; traduction française par W. Rinn et B. Villefore. Première partie.

Les villes de nos colonies et de nos municipes vaudront sans doute bien les collines et les broussailles qui servent de forteresses à Catilina. […] En effet, ces choses valent à proportion de l’envie qu’on a de les posséder ; il est difficile d’en borner le prix, à moins que de borner sa passion. […] Croyez-moi, la chose en valait bien la peine. […] Il va se faire valoir, il va triompher. […] Il fit surtout valoir en sa faveur celle que le chef des rebelles lui avait faite à la tête.

121. (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres

Tout ce qui n’est que pour l’auteur ne vaut rien. […] — J’ai l’esprit plein d’inquiétude — Je suis plein d’inquiétude vaut mieux. […] Massillon, au contraire, crut qu’il valait mieux peindre et émouvoir ; il imita Racine, autant qu’on peut l’imiter en prose. […] En un mot, dans tous les arts de l’esprit, nos artistes valent bien moins qu’au commencement du grand siècle et dans ses beaux jours ; mais la nation vaut mieux. […] Il vaut mieux, sans doute, vivre sous un bon roi d’un peuple éclairé et opulent, quoique malin et raisonneur.

122. (1883) Morceaux choisis des classiques français (prose et vers). Classe de troisième (nouvelle édition) p. 

Au moment où Valons s’apprêtait à suivre lui-même l’armée en déroute, il fut blessé d’un coup de flèche, qui le mit hors d’état de se mêler aux fuyards. […] qu’un simple foyer, des pénates tranquilles, Valent mieux que le luxe et le fracas des villes ! […] Comme celui qui, à la tête des légions, était pour elles un présage de la victoire, et qui valait seul plusieurs légions, qui était grand dans la prospérité, plus grand quand la fortune lui a été contraire : la levée d’un siège, une retraite, l’ont plus ennobli que ses triomphes ; on ne met qu’après les batailles gagnées et les villes prises ; qui était rempli de gloire et de modestie ; on lui a entendu dire ; Je fuyais, avec la même grâce qu’il disait : Nous les battîmes ; un homme dévoué à l’Etat, à sa famille, au chef de sa famille ; sincère pour Dieu et pour les hommes, autant admirateur du mérite que s’il lui eût été moins propre et moins familier : un homme vrai, simple, magnanime, à qui il n’a manqué que les moindres vertus. […] Crois-moi, trop penser ne vaut rien, Trop sentir est bien pire encore. […]                                              L’action ne vaut rien.

123. (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)

Découvrir les raisons les plus propres à convaincre les hommes, et faire valoir ces raisons, sont deux choses bien différentes. […] Chez lui, à la vérité, le fond vaut mieux que la forme, et l’on ne peut vanter ni sa beauté ni son élégance. […] Ces derniers seraient d’autant plus impardonnables chez un philosophe, qu’il vaudrait beaucoup mieux pour lui de tomber dans une extrême simplicité, que dans un excès contraire. […] Il me semble qu’il vaudrait autant soutenir que la mélodie de notre vers ne réclame pas la césure, puisque la pause n’est pas déterminée par l’harmonie, mais seulement par le sens. […] Ses odes anacréontiques valent beaucoup mieux ; elles ne manquent ni de douceur ni d’élégance ; elles sont, dans leur genre, ce que ce poète nous a laissé de plus agréable et de plus parfait.

124. (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433

Car les expressions, les pensées, les figures et toutes les autres sortes d’ornemens, viennent au secours des preuves, et ne sont employées que pour les faire valoir. […] Mais souvent elles sont contraires ; alors l’orateur fait valoir l’une ou l’autre, selon l’impulsion qu’il veut donner aux esprits. […] Il vaut mieux supposer, comme cela est vraisemblable, qu’on parle à des esprits déjà persuadés des vérités qu’on avance, et s’attacher à les inculquer, à les graver profondément dans le cœur. […] On fait valoir soit en attaquant, soit en défendant, une foule de considérations que la justice pèse dans sa balance avec le plus grand scrupule. […] Cette règle regarde tout inférieur qui a des prétentions légitimes à faire valoir contre un supérieur qu’il doit respecter.

125. (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs

C’est dommage que les gents d’entendement ayment tant la briefveté : sans double leur réputation en vault mieulx ; mais nous en valons moins. […] A ceux là faut il un medecin et non un bourreau : la guarison vaut mieux que l’extirpation. […] Mais il fit beaucoup pour la dignité des lettres, qui le lui rendaient, ne disons pas en flatteries (il vaut mieux n’en pas parler), disons en chefs-d’œuvre nés du génie qui se sent libre. […] Il vaut mieux retenir quelques billets délicats, et une admirable lettre sur la politique de Richelieu, où Voiture, devenu sérieux, a une fermeté de jugement et une éloquence inattendues. — Les lettres de Voiture ont été publiées pour la première fois deux ans après sa mort. — Voir l’édition Ubicini, 1855, 2  ol. […] Il faut avouer qu’une adversité soutenue de si bonne grâce, et avec tant de force, vaut mieux que beaucoup de prospérités et de victoires.

126. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre lII. »

Si nous valons quelque chose par les idées et les sentiments, c’est à la religion chrétienne que nous le devons : la proscrire des chants du poète, c’est renier notre origine et nos croyances, c’est abdiquer ce qu’il y a de plus noble et de plus élevé dans nos mœurs et nos inspirations.

127. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Notions préliminaires » pp. 2-15

Les belles-lettres ornent la mémoire, développent l’intelligence et l’imagination, enrichissent l’esprit et l’occupent agréablement, lui donne cette justesse de pensée, cette fleur d’éloquence et d’élocution, cette finesse de goût qu’on ne trouve point chez ceux qui ne les ont point cultivées, et ce qui vaut mieux encore, élèvent le cœur en ennoblissant les sentiments et en perfectionnant toutes les facultés de l’homme.

128. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »

Quelquefois une phrase suffira, si elle vaut seule un long discours. […] Mais encore vaudrait-il mieux qu’un maître démontrât le geste, car on ne peut le peindre que dans son état le plus expressif, et son commencement et sa fin demeurent abandonnés au goût de l’élève. […] Assurément, ces vers qui avaient coûté au célèbre orateur une demi-journée de travail, ne valent pas un seul membre de la plus faible de ses périodes, qu’il avait peut-être fait en moins d’une minute.

129. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE III. De la disposition des mots qui composent le discours. » pp. 78-143

exemples : Qui plurima comedunt, non meliùs valent, quàm qui sumunt necessaria. […] Il vaut mieux ignorer les maux à venir que les connaître. […] J'ai douté beaucoup et pendant longtemps s’il ne valait pas mieux, vous refuser une chose que vous me demandiez avec instance, que de me prêter à tous vos désirs.

130. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »

Les monologues n’étant pas agréables à l’auditeur, pour les éviter, on a inventé les confidents, dans le sein desquels les héros déposent leurs chagrins et leurs projets ; mais le rôle de ces confidents est ordinairement si froid, que le remède ne vaut guère mieux que le mal. […] Dans la confusion que ce grand monde apporte, Il y vient de tous lieux des gens de toute sorte, Et dans toute la France il est fort peu d’endroits Dont il n’ait le rebut aussi bien que le choix ; Comme on s’y connaît mal, chacun s’y fait de mise, Et vaut communément autant comme il se prise.

131. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VII. De l’Harmonie imitative. »

Up the high hill he heawes a huge round stone, vaut bien Λᾶαν ἄνω ὤθεσκε ποτὶ λόφον ; et thunders impetuous down, peint la chute et fait entendre le bruit de la pierre.

132. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre VIII. De l’Oraison funèbre. »

La philosophie de nos jours a réprouvé ce genre d’éloquence, sous prétexte que la vérité y est quelquefois blessée, comme si cette vérité était plus scrupuleusement respectée dans les autres genres que cette même philosophie autorise ou fait valoir.

133. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre premier. »

Il vaudrait beaucoup mieux alors laisser les juges à leurs propres dispositions ; car ici les grands efforts, les grands mouvements, sont tout près du ridicule ; et ce qui ne fait pas pleurer, fait nécessairement rire : nihil habet ista res medium ; sed aut lacrymas meretur aut risum .

134. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Montesquieu 1666-1755 » pp. 148-157

Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement.

135. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Buffon, 1707-1788 » pp. 175-184

L’Académie française ayant élu l’auteur de ce beau monument, sans qu’il sollicitât ses sauffrages, il prouva par son Discours sur le style (1753) qu’il était maître dans l’art de composer et d’écrire : ses préceptes valurent ses exemples.

136. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Delille 1738-1813 » pp. 464-472

C’est un joli jeu de facture ; mais la matière ne vaut pas l’art de l’ouvrier.

137. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre Ier. Des exercices préparatoires à la composition » pp. 209-224

Disons-le sans crainte : rien, absolument rien ne doit être sacrifié à ces derniers avantages ; et dussent les connaissances d’un jeune homme s’en trouver moins étendues, mieux vaudrait moins d’instruction, avec plus de raison et plus d’innocence.

138. (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire

L’uniformité est un supplice pour l’oreille ; il vaut mieux laisser échapper quelques discordances que de fatiguer l’auditeur par la répétition pénible de sons toujours semblables : c’est surtout par la fin des périodes qu’on juge de leur perfection. […] Il n’est pas toujours facile de placer ces mots avec convenance, la fin de la phrase est la place qui leur convient le moins ; plus tôt on peut s’en débarrasser, mieux vaut la phrase. […] On doit aussi éviter d’entasser ensemble trop de circonstances ; il vaut mieux les diviser et les répandre dans les divers membres de la période. […] Il vaut mieux n’offrir que des productions médiocres tirées de son propre fonds, que d’affecter de se parer d’ornements empruntés qui laissent toujours apercevoir l’extrême pauvreté du génie. […] Il vaut, mieux placer notre pensée dans un point de vue brillant et l’y fixer, que de la retourner sous toutes les faces, de l’obscurcir par une profusion de mots, d’épuiser l’attention de l’auditeur et de le laisser languissant et découragé.

139. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205

Cet ouvrage a valu à son auteur le nom de Chantre du printemps. […] La moralité ou vérité morale, qui résulte du récit allégorique de l’apologue, est une maxime générale, plus ou moins piquante, et ordinairement exprimée d’une manière vive et précise, propre à la graver dans la mémoire ; Rien n’est si dangereux qu’un ignorant ami :     Mieux vaudrait un sage ennemi.

140. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre IV. Analyse et Extraits du plaidoyer de Cicéron pour Sextius. »

Mais on conviendra cependant que leur patriotisme en vaut bien un autre, et l’on croit sans peine à leur sincérité, quand ils s’écrient, comme Cicéron, à la fin du plaidoyer que nous analysons : 88« Amemus patriam, pareamus senatui, consulamus bonis : præsentes fructus negligamus, posteritatis gloriæ serviamus : id esse optimum putemus, quod erit rectissimum : speremus quæ voluuius, sed quod acciderit feramus : cogitemus denique, corpus virorum fortium magnorumque hominum esse mortale : animi verò motus, et virtutis gloriam sempiternam : neque hanc opinionem si in illo sanctissimo Hercule consecratam videmus, cujus corpore ambusto, vitam ejus et virtutem immortalitas excepisse dicitur, minùs existimemus, eos, qui hanc tantam reinpublicam suis consiliis aut laboribus aut auxerint, aut defenderint, aut servarint, esse immortalem gloriam consecutos ».

141. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVI. des qualités essentielles du style. — clarté, pureté  » pp. 217-229

Autant vaudrait, quand la scène est en Angleterre ou en Allemagne, faire parler les personnages en anglais ou en allemand.

142. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — La Fontaine (1621-1695.) » pp. 194-204

« Ce sont là, dit Chamfort, des traits qui valent un tableau tout entier. » 4.

143. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Diderot, 1713-1784 » pp. 303-312

— Par un homme qui est malin quelquefois, par un certain milord Chesterfield, qui aurait voulu vous prouver par expérience qu’une once de sens commun vaut mieux que cent livres d’esprit ; car avec du sens commun… — Ah !

144. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »

Ses belles actions dans la campagne contre les Turcs, lui valurent un régiment de dragons. […] V Vaux, belle terre, arrosée par la petite rivière ou le ruisseau de Lanqueil, dans le Hurepoix, près de Melun.

145. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »

Si la chose est aisée à obtenir, il ne faut point insister, comme s’il y avait des obstacles ; si l’on a des droits à faire valoir, il faut les exposer avec modestie réserve, et montrer que l’on a confiance dans la bonté et l’équité de celui au cœur duquel on s’adresse ; développez l’importance que l’on attache à la grâce demandée, et n’oubliez pas surtout de peindre la reconnaissance que vous en éprouverez. […] Les jésuites avaient fourni les devises, qui ne valaient rien du tout : ôtez cela, tout allait bien.

146. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281

Comptez qu’un jour cela peut vous être très-utile, et que cet ouvrage vous vaudrait vingt volumes de Lettres philosophiques… Écrivez-moi, et aimez toute votre vie un homme vrai qui n’a jamais changé. […] Adieu, société charmante qui valez mieux que tous les royaumes.

147. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160

On peut citer les suivantes : l’élégie de Martial de Paris sur la mort de Charles VII : Mieux vaut la liesse ; une pièce de Christine de Pisan sur son veuvage, qui se recommande par la douce mélancolie de la pensée, et la forme ingénieuse sous laquelle elle est présentée : Seulette je suis… ; une élégie de du Bellay, qui paraît avoir inspiré Malherbe dans ses stances à Duperrier : La Rose journalière ; la Brièveté de la vie, par Ronsard ; les Plaintes de Théophile dans sa prison ; les Stances de Malherbe à Duperrier sur la mort de sa fille ; Aux Nymphes de Vaux, par La Fontaine ; A Philomèle, par J.

148. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre II. division de la rhétorique. — de l’invention  » pp. 24-37

« Je pense, dit-il, que quand ou a une fois l’entendement ouvert par l’habitude de réfléchir, il vaut toujours mieux trouver de soi-même les choses qu’on trouverait dans les livres ; c’est le vrai secret de les bien mouler à sa tête et de se les approprier ; au lieu qu’en les recevant telles qu’on nous les donne, c’est presque toujours sous une forme qui n’est pas la nôtre. » Jean Jacques a raison, mais nous n’avons pas tort.

149. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VI. des mœurs  » pp. 75-88

Remarquez enfin que l’orateur ou l’écrivain ne doit pas seulement apprécier les mœurs dans leurs rapports avec l’auditeur ou le lecteur, mais s’appliquer à lui-même la plupart des considérations que nous avons fait valoir.

150. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIII. du corps de l’ouvrage. — argumentation, confirmation, réfutation  » pp. 175-188

— Parce que, dit Socrate dans le Gorgias, il vaut mieux souffrir l’injure que de la commettre. — Pourquoi ? 

151. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIV. de la fin  » pp. 189-202

Sans entrer dans ces détails, pour lesquels l’étude des modèles et six mois de pratique valent mieux que vingt pages de préceptes, je dirai : La péroraison, comme l’exorde, peut se tirer parfois des objets inanimés dont la vue frappera souvent l’âme du spectateur plus vivement que toutes les paroles : c’est Manlius montrant le Capitole du haut duquel son bras précipita les Gaulois, ou Mirabeau, la fenêtre d’où l’exécrable Charles IX tira sur ses sujets ; c’est l’orateur grec levant le voile de Phryné, ou Marc-Antoine comptant les marques du poignard des conjurés.

152. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XV. de l’élocution  » pp. 203-216

Etudiez sans doute nuit et jour les exemplaires grecs et latins, pour l’invention et la disposition, mais n’allez point former votre style sur la période livienne ou cicéronienne, ou sur la concision de Tacite, notre langue y répugne ; autant vaudrait prendre pour modèles de diction française Gœthe ou Walter Scott.

153. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre III. — Disposition »

La confirmation et la réfutation sont quelquefois inséparables, lorsque, à mesure qu’il fait valoir ses raisons, l’orateur renverse colles de son adversaire.

154. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Joubert, 1754-1824 » pp. 388-398

En attendant que celle-ci prenne le dessus, agréez les assurances de l’estime d’un homme qui ne pourra jamais vous oublier, et qui sent plus vivement tout ce que vous valez depuis qu’il y a sur la terre moins de cœurs pour vous aimer1.

155. (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique

Elle s’en prend surtout à la société, et déprime des classes entières, pour faire valoir quand même des individus, qui restent encore, malgré tout, à demi abstraits. […] et mérite-t-on le nom de grand, quand on ne sait pas même sentir ce que valent les hommes ? […] Deux missions diplomatiques, qui eurent d’heureux résultats, auprès du nouveau souverain, valurent à Voltaire la faveur passagère de la cour de France. […] La privation des peines vaut bien l’usage des plaisirs ; et, pour être heureux, que faut-il, sinon de ne rien désirer ? […] L’homme, cependant, paraît avoir mieux valu que sa réputation.

156. (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)

Ce qui contribue le plus à faire valoir les pensées, les sentiments, les images d’un écrivain, c’est la forme qu’on leur donne, ce sont les mots qu’on emploie. […] je sens que c’est fait, je suis morte, autant vaut ; Hélas ! […] Mieux vaudrait encore s’attacher à un seul : Démosthène se forma en copiant huit fois Thucydide tout entier. […] Les lettres de demande doivent faire valoir les motifs qui peuvent déterminer les autres à se rendre à nos désirs. […] Il vaut mieux s’en tenir à cette unité rigoureuse.

157. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318

Non seulement deux tableaux opposés de ton et de couleur se font valoir l’un l’autre ; mais, dans le même tableau, ce mélange d’ombre et de lumière détache les objets et les relève avec plus d’éclat. […] Deux objets en opposition se font valoir mutuellement et paraissent plus saillants et plus sensibles. […] Si un supérieur fait trop sentir ce qu’il est, s’il corrige trop durement, s’il ordonne trop impérieusement ou s’il refuse trop sèchement, sa lettre lui vaut un ennemi.

158. (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)

Lorsque l’auteur vit que non seulement son travail était l’objet de spéculations mercantiles, mais encore qu’on le citait dans d’autres ouvrages, et que même il était menacé de se le voir tout à fait enlever, il jugea qu’il valait mieux qu’il le publiât lui-même que de le laisser circuler avec toutes les fautes que des éditeurs ignorants y avaient accumulées. […] Cependant, comme ce sont des termes avec lesquels nous sommes depuis longtemps familiarisés, et qu’une division plus exacte serait assez peu importante au but que nous nous proposons, il vaut encore mieux n’avoir recours qu’à ces dénominations connues. […] Cela produit un si mauvais effet, que, s’il fallait choisir entre les deux extrêmes, il vaudrait mieux multiplier les phrases à l’infini que d’en embarrasser ou d’en surcharger une seule par une foule de circonstances. […] C’est encore une règle à observer de ne jamais mettre de suite plusieurs accessoires ; il vaut mieux les jeter en différents endroits de la phrase, auprès des mots principaux auxquels ils se rapportent, en ayant soin toutefois, comme je l’ai déjà dit, de faire en sorte que ces mots n’en soient pas encombrés. […] Il vaudrait certainement mieux n’avoir ni ton ni mesure, que d’avoir toujours les mêmes.

159. (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78

Reva-t’en à l’école, De rien ne sert ta savante parole, Lui répond-on ; retourne étudier, Ce que tu sais ne vaut pas un denier. […] Ce sont les mots d’ailleurs qui servent à exprimer les trois premiers éléments du style, et à les faire valoir.

160. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXIII. des figures. — tropes d’invention et tropes d’usage  » pp. 323-338

Hyperbole vaut autant qu’exagération.

161. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre II. Moyens de se préparer à la composition. »

Si nous avons à décrire les phénomènes de la nature, les splendeurs du soleil à son lever ou à son coucher, la lumière se jouant en mille nuances autour de notre globe, le calme d’une belle nuit, un orage, la mer et ses mille aspects merveilleux, la campagne et ses charmes enivrants ; si nous voulons peindre l’homme et la société avec les vertus, les passions ou les travers qui nous présentent sans cesse un drame ou une comédie vivante, il vaut mieux interroger notre mémoire et nos impressions que les livres ; nos compositions auront une couleur plus vraie, nous y ferons circuler davantage la chaleur et la vie.

162. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre II. De l’Éloquence. » pp. 318-338

En quoi vous valez mieux que cent peuples divers : Quel droit vous a rendus maîtres de l’univers ?

163. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Silvestre de Sacy. Né en 1801. » pp. 522-533

Il vaut mieux l’imaginer que la posséder ; mais on avouera au moins que l’idée en est délicieuse1.

164. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Sainte-Beuve. Né en 1804. » pp. 566-577

L’ensemble de cette collection vaut toute une bibliothèque.

165. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Modèles

Il vaut mieux périr en combattant pour la patrie, que la vaincre et triompher d’elle. […] Si la persécution était trop violente, vous pouviez vous retirer : mais il valait mieux être pauvre, obscur, inutile à tout, que de prendre les armes contre nous. […] Les chiffres 0, 100 et 1, 100 signifient, le premier, que les cent membres de l’Académie n’en vaudront ni plus, ni moins, et le second, qu’ils en vaudront cent fois davantage. […] Une étourdie, une tête à l’évent, Une linotte, c’est tout dire, Sifflant à tout propos et tournant à tout vent, Quitta sa mère et voulut se produire, Un nid chez soi vaut mieux souvent Que ne vaut ailleurs un empire. […] Ceci nous prouve qu’un auteur sage conserve l’expression propre toutes les fois qu’il le peut, sans nuire à son style, se souvenant du précepte, que l’ expression figurée, quand elle chasse le mot propre, est obligée de valoir mieux.

166. (1881) Rhétorique et genres littéraires

Corneille, Cinna, acte I, scène iii) Victor Hugo donne une idée de la vanité des grandeurs humaines dans les vers suivants : Rien ici-bas qui n’ait en soi sa vanité :            La gloire fuit à tire d’aile ; Couronnes, mitres d’or brillent, mais durent peu, Elles ne valent pas le brin d’herbe que Dieu            Fait pour le nid de l’hirondelle ! […] Mais, dis-moi si par la douceur il ne vaudrait pas mieux me ramener (communication) ? […] Tout le monde convient aussi, avec Boileau, qu’un excellent sonnet vaut mieux qu’un poème d’une longueur démesurée, dont l’action serait peu intéressante et la versification sans éclat. […] N’en parlez pas avec dédain ; Votre soir vaut mieux qu’une aurore. […] Elle a été louée de tout temps, et Boileau, dans son Art poétique, a porté un jugement vrai quand il a dit : Un sonnet sans défaut vaut seul un long poëme.

167. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre troisième. De l’élocution. »

C’est par là qu’a excellé Lafontaine, et cette simplicité de style lui a valu l’épithète de Bonhomme, épithète qui en vaut bien une autre. […] [Obscurité des pensées] 1° L’obscurité dans la pensée empêche un écrivain de s’exprimer clairement, il faut avoir une perception claire de son idée avant de la rendre ; il vaudrait mieux se taire que d’écrire sans se comprendre. […] La métaphore n’est faite, dit ingénieusement Quintilien, que pour remplir une place vacante, et quand elle chasse le terme simple, elle est obligée de valoir mieux.

168. (1875) Poétique

De la tragédie : pour le prouver, quelques-uns de ceux du Péloponèse font valoir l’étymologie des noms. […] Au reste, il vaut mieux employer l’impossible qui paraît vraisemblable que le possible qui ne le paraîtrait pas.

169. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bossuet, 1627-1704 » pp. 89-123

Vous vous trompez, ô sages du siècle : l’homme n’est pas les délices de la nature, puisqu’elle l’outrage en tant de manières ; l’homme ne peut non plus être son rebut, puisqu’il a quelque chose en lui qui vaut mieux que la nature elle-même : je parle de la nature sensible. […] (La Fontaine, Élégie aux nymphes de Vaux.)

170. (1862) Cours complet et gradué de versions latines adaptées à la méthode de M. Burnouf… à l’usage des classes de grammaire (sixième, cinquième, quatrième) pp. -368

Tout contrefacteur ou débitant de contrefaçons de cet Ouvrage sera poursuivi conformément aux lois. Toutes mes Editions sont revêtues de ma griffe. Avant-propos. Le succès toujours croissant de la nouvelle Méthode, à laquelle ce Cours est adapté, nous dispense d’en faire l’éloge, et d’ajouter un tardif et obscur hommage aux suffrages éminents qui l’ont accueillie dès son apparition. En offrant au public ce recueil, nous n’avons point la prétention chimérique de suivre pas à pas la théorie de l’auteur, de présenter chacun des exercices qui composent notre ouvrage, comme le développement spécial d’une règle de la Méthode.

171. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre X. du commencement  » pp. 131-145

Mieux vaut alors arriver immédiatement au fait, comme Démosthène dans la plupart des Philippiques.

172. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIX. des qualités accidentelles du style. — noblesse, richesse, énergie, sublime  » pp. 257-273

Tandis que ces monstres barbares Poussaient d’insolentes clameurs, Le dieu, poursuivant sa carrière, Versait des torrents de lumière Sur ses obscurs blasphémateurs ; et cette strophe de Béranger qui la vaut bien : J’ai vu la paix descendre sur la terre, Semant de l’or, des fleurs et des épis.

173. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Rabelais, 1483-1553 » pp. -

Ce voyage lui valut, avec un surcroît d’expérience, une bulle pontificale qui l’autorisait à exercer en tous lieux l’art de la médecine, mais à titre gratuit, « jusqu’à l’application du fer et du feu exclusivement1 ».

174. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Sévigné, 1626-1696 » pp. 76-88

Son cœur valut son esprit.

175. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Nisard. Né en 1806. » pp. 585-597

Pour la propriété, ce n’est pas assez d’être bien doué ; il faut savoir la langue et avoir pesé dans les écrits des modèles ce que valent les mots dont nous nous servirons à notre tour.

176. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — J. Racine. (1639-1699.) » pp. 226-241

Veille auprès de Pyrrhus ; fais-lui garder sa foi : S’il le faut, je consens qu’on lui parle de moi ; Fais-lui valoir l’hymen où je me suis rangée : Dis-lui qu’avant ma mort je lui fus engagée ; Que ses ressentiments doivent être effacés ; Qu’en lui laissant mon fils, c’est l’estimer assez.

177. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Victor Hugo Né à Besançon en 1802 » pp. 540-556

Rien ici-bas qui n’ait en soi sa vanité :   La gloire fuit à tire-d’aile ; Couronnes, mitres d’or, brillent, mais durent peu ; Elles ne valent pas le brin d’herbe que Dieu   Fait pour le nid de l’hirondelle !

178. (1872) Recueil de compositions françaises pour préparer au discours latin les candidats au baccalauréat ès-lettres. Première série

Mais quand le péril serait grand, ne vaut-il pas mieux le braver, que de se rendre à un vainqueur barbare ? […] Nous sommes persuadés que les pensées d’autrui valent les nôtres et que les événements dépendant de la fortune ne peuvent être déterminés d’avance. […] Dès la première montagne vous trouverez à votre rencontre les Lacédémoniens qui vous feront connaître ce qu’ils valent. […] Vous représenterez Pyrrhus et Cinéas faisant valoir, sous la forme d’un dialogue, le premier, les glorieuses récompenses et la conquête du monde que promet la guerre ; le second, les avantages certains de la paix et la douceur du repos.

179. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »

Un jour qu’il jouait aux proverbes avec des dames, mademoiselle des Loges lui dit : « Celui-là ne vaut rien, percez-nous-en d’un autre. […] Farnèse, à qui notre Henri IV eut affaire, valait bien Pompée, le rival de César ; et la France fut pour tous deux un champ de victoire.

180. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Voltaire 1694-1778 » pp. 445-463

Il est né pour aimer : l’élite des Français Est l’exemple du monde, et vaut tous les Anglais.

181. (1858) Exercices latins adaptés à la Grammaire latine d’après Lhomond. Deuxième partie : Cours gradué de versions latines sur la syntaxe, à l’usage des classes de sixième, cinquième et quatrième. Livre du maître pp. -370

Caïus Marcius, général romain, prit la ville de Corioles, ce qui lui valut le surnom de Coriolan. — 8. […] Vous valez mieux que moi. — 12. […] Le papier d’emballage ne vaut rien pour écrire. — 13. […] Apollon tua le serpent Python à coups de flèches, ce qui lui valut le surnom d’Apollon Pythien. — 9.

182. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322

Wey : « Evitez de comparer les objets que vous prétendez faire valoir avec d’autres objets de moindre importance.

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