/ 222
131. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — André de Chénier 1762-1794 » pp. 480-487

Chénier dit ailleurs : Je meurs, avant le soir j’ai fini ma journée.

132. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179

Nous nous sommes réunis à propos : = avant que ce procès soit jugé, vous vous serez l’un et l’autre déterminés à le finir : = doutez-vous que cette femme ne se soit réduite, par ses folles dépenses, à une extrême misère ? […] Duclos dit qu’il exposa ce principe à l’Académie, et à quelques-uns de ceux qui auraient été faits pour en être ; qu’on lui fit toutes les objections qui pouvaient le vérifier, et que tous finirent par le lui avouer. […] Cette construction est contraire aux règles communes de la grammaire : mais elle est autorisée par l’usage. = Le jour va finir, pour dire, le jour est sur le point de finir. = Je viens de le quitter, pour dire, il y a très peu de temps, il n’y a qu’un moment que je l’ai quitté. = Les bonnes gens sont aisés à tromper, pour dire, à être trompés, ou, il est aisé de tromper les bonnes gens.

133. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »

Il y composa, en grec, une Histoire universelle qui commençait aux guerres puniques et finissait à celle de Macédoine. […] Tout à coup, le jeune prince se lève avec l’air de gravité et d’assurance d’un homme supérieur qui a pris son parti. « Messieurs, dit-il, j’ai résolu de ne jamais faire une guerre injuste, mais de n’en finir une légitime que par la perte de mes ennemis.

134. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XI. Grands poèmes. »

Il est mieux que le dénouement soit dans l’action même, comme la victoire d’Énée sur Turnus, et non tiré du dehors, comme si Jupiter faisait finir lui-même le combat. […] Or, comme Hector était le rempart de Troie, et que cette ville ne pouvait, après sa mort, que tomber entre les mains des Grecs, tout était complet et fini par là.

135. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Corneille 1606-1684 » pp. 310-338

Elle te portera toi-même en tes travaux, Elle te conduira par le milieu des maux, Jusqu’à cet heureux port3 où la peine est finie ; Mais ce n’est pas ici que tu dois l’espérer. […] Il veut pousser à bout Félix, et en finir.

136. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Nicole. (1625-1695.) » pp. 40-47

Encore, en conservant avec quelque soin ce petit ouvrage, on le peut garder tant que l’on veut ; mais, quelque soin qu’on prenne à conserver sa vie, il n’y a aucun moyen d’empêcher qu’elle ne finisse bientôt.

137. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Maintenon, 1635-1719 » pp. 138-145

Abaissez-vous, pliez-vous, appetissez-vous pour vous proportionner à ces enfants ; ne regardez ni avec dégoût ni avec dédain leurs misères, leurs maladies, leur éducation basse et grossière : Jésus-Christ, souveraine sagesse, éternelle raison de Dieu, a choisi pour compagnie et amis en ce monde, des pêcheurs grossiers, ingrats, incrédules, lâches, infidèles ; il a passé sa vie avec eux pour les instruire patiemment : il a fini sa vie sans les redresser entièrement… Les maisons qui ont commencé par des personnes ferventes, simples, mortes à elles-mêmes, ont bien de la peine à subsister longtemps ; on voit encore trop souvent que de grands instituts formés par des patriarches pleins d’un esprit prophétique et apostolique, avec le don des miracles, sont bientôt ébranlés par des tentations ; tout se relâche, tout s’affaiblit, tout se dissipe : la lumière se change en ténèbres ; le sel de la terre s’affadit et est foulé aux pieds : que sera-ce donc d’une communauté qui n’est soutenue d’aucune congrégation, qui est à la porte de la cour, dépendante des rois et des hommes du siècle qui seront auprès d’eux en faveur, qui aura de grands biens pour flatter les passions et pour exciter celles des gens du monde, et qui a été élevée d’abord jusqu’aux nues, sans avoir posé les fondements profonds de la pénitence, de l’humilité et de l’entier renoncement à soi-même ?

138. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Courier, 1773-1825 » pp. 447-454

Les détails ne finiraient pas, et d’ailleurs, dans plus d’un sens, il ne faut pas tout vous dire ; mais, par le coin du tableau dont je vous crayonne un trait, vous jugerez aisément du reste.

139. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Alfred de Vigny 1799-1863 » pp. 530-539

La Sérieuse alors semblait à l’agonie ; L’eau dans ses cavités bouillonnait sourdement ; Elle, comme voyant2 sa carrière finie,   Gémit profondément.

140. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »

C’est à ce mot que finit l’exposition : car tout est en scène, le héros, son ennemi, et le lieu du combat. […] Le repos du premier hémistiche ne doit pas être aussi sensible que celui du second ; il suffit qu’il n’y ait pas une liaison nécessaire entre la syllabe qui finit le premier hémistiche et celle qui commence le second. Le repos final doit être plus marqué, lors même que le sens d’une proposition ne serait pas fini, et c’est ce qui se présente souvent ; car on ne peut encadrer chaque phrase en un vers, et le pourrait-on, il en résulterait une uniformité telle que la lecture et l’audition des vers seraient insupportables.

141. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Racine. (1639-1699.) » pp. 83-90

Bien plus, il finit par connaître la détresse, et l’argent lui manqua tout à fait dans sa dernière maladie.

142. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Buffon, 1707-1788 » pp. 175-184

Je suis fâché de n’avoir pas de goût pour les beaux embarras ; à tout moment il s’en trouve qui ne finissent point.

143. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Thiers. Né en 1797. » pp. 513-521

La vieille société française du dix-huitième siècle, si polie, mais si mal ordonnée, finit dans un orage épouvantable.

144. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXI. des figures  » pp. 289-300

Walter Scott, le barde écossais, a fini par d’admirables romans et de mauvaises histoires, et si lord Byron eût vécu plus longtemps, la seconde partie de ses œuvres se composerait sans doute de discours au parlement, de compositions historiques et d’impressions de voyage, comme il est avenu de Lamartine et de Victor Hugo.

145. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Montesquieu. (1689-1755.) » pp. 130-139

« Dans le cours de vingt années, a-t-il dit lui-même, je l’ai vu commencer, croître, s’avancer et finir. » Il parut en 1748, et il eut, en un an et demi, vingt-deux éditions.

146. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Jean-Jacques Rousseau, 1712-1778 » pp. 185-195

Tourmenté par une imagination ombrageuse, il finit par tomber dans une noire misanthropie qui devint son supplice, et hâta la fin d’une existence solitaire et farouche que consumaient des craintes sans cause, et un orgueil sans bornes.

147. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Guizot. Né en 1787. » pp. 469-478

Il monte sur l’échafaud, il y meurt, justement, je le veux : Est-ce fini ?

148. (1852) Précis de rhétorique

Le dénouement est le point où se tranche le nœud, où l’action finit. […] Le purisme commence où finit la correction. […] Le repos du premier hémistiche ne doit pas être aussi sensible que celui du second ; il suffit qu’il n’y ait pas une liaison nécessaire entre la syllabe qui finit le premier hémistiche et celle qui commence le second. Le repos final doit être plus marqué, lors même que le sens d’une proposition ne serait pas fini, et c’est ce qui se présente souvent ; car on ne peut encadrer chaque phrase en un vers, et le pourrait-on, il en résulterait une uniformité telle que la lecture et l’audition des vers seraient insupportables.

149. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »

Et, puisque tu m’es enlevé, j’ai perdu mon support, ma connotation, ma joie : tout est fini pour moi, et je n’ai plus que faire au monde ! […] — Mère, tous ceux qui sont en vie Doivent-ils donc ainsi finir ?

150. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408

Il finit ses jours, dévoré d’inquiétudes et de soupçons, tourmenté sans cesse par la crainte d’être assassiné, couvert d’une large et forte cuirasse, chargé d’armes offensives, environné d’une garde nombreuse, ne couchant jamais deux nuits de suite dans la même chambre, et mourut d’une fièvre lente en 1658, âgé de 55 ans. […] Ses propres sujets se révoltèrent contre lui ; et des débris de son empire, qui finit l’an 770 avant Jésus-Christ, se formèrent les royaumes des Mèdes, de Ninive et de Babylone.

151. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160

Il faut que le style en soit léger, les expressions choisies et toujours exactes, la marche libre, les vers faciles et coulants, sans que les tours aient rien de forcé ; enfin, que tout y soit fini, sans que le travail s’y fasse sentir. […] Il y en a qui ont un refrain, c’est-à-dire que chaque couplet finit par les mêmes vers.

152. (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374

Dans Andromaque, dans Britannicus, une salle du palais est le lieu où commence et finit toute l’action représentée. […] Il doit finir, autant qu’il est possible, avec la dernière scène, et instruire le spectateur du sort de tous les personnages. […] Si Molière avoit omis un seul trait vraiment caractéristique, le personnage étoit manqué ; le tableau n’étoit pas fini. […] En voici un morceau tiré d’une scène pleine de portraits finis. […] mon Dieu, finissez un discours de la sorte.

153. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IX. de la disposition. — proportions, digressions, transitions, variété  » pp. 118-130

Quand l’auteur de ces sortes d’ouvrages a épuisé une pensée, il passe à l’autre avec simplicité et bonne foi ; et cela vaut bien mieux que ces transitions subtiles presque toujours uniquement fondées sur des rapports entre les mots, sur une liaison apparente entre le dernier du paragraphe qui finit et le premier de celui qui commence.

154. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) «  Chapitre XXIV. des figures. — figures par rapprochement d’idées opposées  » pp. 339-352

Par la comparaison et toutes les figures qui s’y rattachent, nous nous plaisions à rapprocher deux idées homogènes, et cette homogénéité arrivait graduellement à ce point que la catachrèse finissait par les confondre en une seule.

155. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre III. — Disposition »

Il y a trois manières de finir : la Conclusion, la Péroraison et la Récapitulation proprement dite.

156. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Chateaubriand 1768-1848 » pp. 222-233

Si nous fûmes assez infortuné pour te méconnaître dans le siècle qui finit, tu n’auras pas roulé en vain le nouveau siècle sur notre tête.

157. (1867) Rhétorique nouvelle « Introduction » pp. 2-33

Son rôle est fini, il a été éloquent une fois en sa vie, — jamais il ne sera orateur.

158. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — Chapitre II. Du genre pastoral » pp. 96-112

Par conséquent, point de ces dialogues sans objet et quelquefois sans suite, point de ces personnages qui ne savent à quel propos ils commencent, ils continuent on ils finissent de parler.

159. (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)

Il consultera donc toujours la nature et le besoin de sa cause ; seulement il s’imposera la loi de ne point finir par de faibles raisons après avoir commencé par les plus fortes : ne e potentissimis ad levissima decrescat oratio . […] … Ce qui manque à ceux qui n’ont d’autres facultés que celles de leur âme, c’est surtout la méthode et le raisonnement, c’est cette série d’idées fortifiées les unes par les autres, cette accumulation de preuves qui vont toujours en s’élevant jusqu’à ce que l’orateur, dominant de haut et comme d’un centre lumineux, finisse par donner une secousse impétueuse, à cet amas et en écrase ses adversaires. […] Le respect et la tendresse pour un père qu’il faudra égorger avant que d’arriver à Annibal, passant tout ce qu’on peut imaginer de plus fort, c’est aussi par où finira Tite-Live. […] Il finit par des prières, plus fortes dans la bouche d’un père que toutes les raisons : « Deterreri hic sine te potius, quam illic vinci : valeant preces apud te meæ sicut pro te hodie valuerunt. […] dans un océan de paroles, et surtout n’oubliez pas, quand vous aurez commencé, de finir.

160. (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100

Il peut changer de personne après chaque phrase finie, après chaque discours direct ; et il peut employer le passé défini pour le passé indéfini. […] L'action doit commencer le plus près possible de la catastrophe ; et, lorsqu'elle semble finir, un incident imprévu doit en prolonger la durée. […] La tragédie veut du sang, elle finit presque toujours par un événement funeste.

161. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332

En effet, si le péril cesse, l’action est finie, et si le personnage tombe dans un second péril qui ne soit pas une suite nécessaire du premier, c’est une autre action qui commence. […] C’est ce que l’on trouve dans Athalie,où les personnages agissants ne sortent pas du vestibule de l’appartement du grand prêtre, au temple de Jérusalem, et dans Andromaque et dans Britannicus, où une salle du palais est le lieu où commence et finit toute l’action représentée. […] Quand il est question de ridicule, rien de plus difficile sans doute que de marquer le point précis où finit la bonne plaisanterie et où la bouffonnerie commence.

162. (1873) Principes de rhétorique française

cruelles destinées, pourquoi n’avez-vous pas fini ma vie ou à la chasse du sanglier de Calydon, ou au voyage de Colchos, ou au premier siège de Troie ? […] quand je perdis ton frère Antiloque, je t’avais pour me consoler ; je ne t’ai plus, rien ne me consolera ; tout est fini pour moi. […] La faute la plus grave dans la disposition des preuves ce serait de les ranger en déclinant et de finir par de minces et faibles raisons, après avoir débuté par les plus fortes. […] Une loi de progression applicable surtout aux périodes, c’est de ne pas finir par une proposition trop courte, mais de conclure et de couronner le développement de la pensée par une phrase longue et sonore. […] Il est difficile de tourner un madrigal plus plat, de finir par une chute moins digne du début.

163. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre V. Analyse de l’éloge de Marc-Aurèle, par Thomas. »

Rien de plus opposé au caractère de la véritable éloquence, que cette manière de procéder dans une composition oratoire ; et ce qui le prouve surtout, c’est qu’elle date précisément de l’époque où l’éloquence commença à dégénérer entre les mains des sophistes grecs, et finit par se perdre tout à fait entre celles de Sénèque et de ses imitateurs.

164. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXIII. des figures. — tropes d’invention et tropes d’usage  » pp. 323-338

Poursuivez ainsi, et le lecteur, sans pouvoir peut-être s’en rendre compte, finit par sentir je ne sais quelle impression de vague et de traînant.

165. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre II. Moyens de se préparer à la composition. »

Ce conseil ne plaît pas toujours à la jeunesse, qui ne voit souvent dans la lecture, qu’un amusement pour son imagination frivole ; mais en mûrissant, elle en comprendra la justesse, et finira par mépriser les livres futiles qui l’ont enthousiasmée un instant.

166. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre II. De l’Éloquence. » pp. 318-338

        Je finis.

167. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Sévigné 1626-1696 » pp. 52-64

Ne sentez-vous pas l’air du printemps dans ces lignes : « Il fait un temps charmant ; nous sommes tellement parfumés de jasmins et de feuilles d’oranger que, par cet endroit, je crois être en Provence. » Mais nous n’en finirions pas, si nous voulions recueillir tous les détails pittoresques de sa correspondance.

168. (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique

Dans le dénouement, je trouve deux choses à éviter, le simple changement de volonté et la machine, Il n’y a pas grand artifice à finir un poème quand celui qui a fait obstacle au dessein des premiers acteurs durant quatre actes s’en désiste au cinquième, sans aucun événement notable qui l’y oblige37. […] Né à Paris en 1613, il fut homme d’intrigue et de guerre pendant les désordres de la régence d’Anne d’Autriche, mais il finit par être sous l’autorité de Louis XIV, qui lui pardonna son humeur turbulente, un observateur calme et impartial. […] Notre raison est toujours déçue par l’inconstance des apparences : rien ne peut fixer le fini entre les deux infinis qui l’enferment et le fuient. […] Les affaires renaissaient de toutes parts, il les finissait de toutes parts. […] Ce qui en d’autres temps eût été regardé comme une des plus cruelles infortunes fut pour eux leur unique ressource ; ils cachèrent leur barque derrière un rocher, et attendirent dans ce désert que les vaisseaux anglais fussent éloignés, ou que la mort vint finir tant de désastres.

169. (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie

Le soleil disparut derrière le Taygète, de sorte que je le vis commencer et finir son tour sur les ruines de Lacédémone. […] Je me disais, pour me consoler, ce qu’il faut se dire sans cesse : Tout passe, tout finit dans ce monde. […] C’était sa réponse qu’il avait préparée, et qu’il lut sans que personne l’écoutât, se hâtant de lui-même de finir un discours étranger aux sentiments de l’assemblée, et qu’il avait peine à prononcer. […] Quand elle eut fini d’écrire, il était près de deux heures du matin. […] La prière finie, elle se releva.

170. (1872) Cours élémentaire de rhétorique

Ce défaut de plan ou d’unité fait que l’écrivain, dès le début, se trouve arrêté : il ne sait par où commencer ; il ne sait pas davantage par où il finira. […] Un pareil mépris du devoir filial, le sang d’un père témérairement versé, révoltent la conscience : c’est par là qu’on devra finir. […] On connaît la fameuse lettre de Mme de Sévigné à M. de Coulanges : « Je vais vous marquer la chose du monde la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse… » Souvent, dans le genre badin, on débute sur un ton noble et pompeux, on a l’air d’annoncer de grandes et de sérieuses choses et l’on finit par un trait plaisant ou épigrammatique. […] La complexion consiste à finir plusieurs phrases de suite par les mêmes termes ou locutions. […] Ajoutez-y le soin de ne pas commencer la phrase qui suit sur le même ton qu’on a fini celle qui précède.

171. (1862) Cours complet et gradué de versions latines adaptées à la méthode de M. Burnouf… à l’usage des classes de grammaire (sixième, cinquième, quatrième) pp. -368

Ager in medio arenosus, unā specie : neque flumen, neque mons erat, qui1 finis* eorum discerneret ; quæ res eos in magno diuturnoque bello inter se habuit. Postquam2 utrinque legiones, item classes sæpe fusæ fugatæque, et alteri3 alteros aliquantum attriverant, veriti ne mox victos victoresque defessos alius aggrederetur4, per inducias sponsionem faciunt, uti certo die legati domo proficiscerentur ; quo in loco inter se5 obvii fuissent, is communis utriusque populi finis haberetur. […] Hunc autem vitæ actum ejus consentaneus finis excepit : namque Metellum, ultimæ senectutis spatio defunctum, lenique genere mortis inter oscula complexusque carissimorum pignorum exstinctum, filii et generi humeris suis per Urbem latum6 rogo imposuerunt.

172. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre X. du commencement  » pp. 131-145

Et sous l’influence de cette première impression, nous le suivons avec un plus vif intérêt, nous l’admirons davantage, lorsque, élevant le ton à mesure qu’il avance, il finit par prodiguer les miracles.

173. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVIII. des qualites essentielles du style. — harmonie  » pp. 240-256

Mais comparez leur conclusion à celle du rhéteur grec : « Ne sacrifions jamais un mot à l’euphonie, dit Quintilien, quand ce mot est juste et expressif, car il n’en est pas de si épineux qui ne puisse se placer convenablement. » Et Cicéron : « La recherche continuelle du nombre et de l’harmonie finit par nuire à l’éloquence, surtout à celle du barreau, elle lui ôte tout caractère de vérité et de bonne foi. » Nous voilà, comme vous voyez, bien loin de Denys d’Halicarnasse, mais, à mon sens, bien plus près de la raison.

174. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIX. des qualités accidentelles du style. — noblesse, richesse, énergie, sublime  » pp. 257-273

Dieu seul est toujours le même, et ses années ne finissent point ; le torrent des âges et des siècles coule devant ses yeux ; et il voit avec un air de vengeance et de fureur de faibles mortels, dans le temps même qu’ils sont entraînés par le cours fatal, l’insulter en passant, profiter de ce seul moment pour déshonorer son nom, et tomber au sortir de là entre les mains éternelles de sa colère et de sa justice. » Massillon a présenté deux fois la même idée à peu près dans les mêmes termes, dans un des sermons du Grand Carême, et dans le Discours prononcé une bénédiction des drapeaux du régiment de Catinat.

175. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Rabelais, 1483-1553 » pp. -

Absous par le saint-siége, il finit même par obtenir d’abord une prébende dans l’église collégiale de Saint-Maur-les-Fossés, puis la cure de Meudon, retraite sûre où, achevant sans péril la publication de Pantagruel, il termina doucement une existence dont les contrastes sont aussi étranges que les caprices de son imagination.

176. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Boileau 1636-1711 » pp. 401-414

  Haï des uns, chéri des autres,   Estimé de tout l’univers, Et plus digne de vivre au siècle des apôtres   Que dans un siècle si pervers, Arnault vient de finir sa carrière pénible.

177. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Nisard. Né en 1806. » pp. 585-597

La pénétration qui ne craint pas d’être subtile, la sensibilité, la raison, pourvu qu’elle ne sente pas l’école, le caprice même à l’occasion, le fini du détail, l’image transportée de la poésie dans la prose, telles en sont les qualités éminentes.

178. (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres

Et ma Rhétorique française s’est trouvée finie. » (Causeries du Lundi, article sur M. […] Il finit en demandant où sont les citoyens que ces rhéteurs ont guéris de leurs mauvaises habitudes ; où sont les gens qu’ils ont rendus tempérants et vertueux. […] On se forme le goût des arts beaucoup plus que le goût sensuel ; car dans le goût physique, quoiqu’on finisse quelquefois par aimer les choses pour lesquelles on avait d’abord de la répugnance, cependant la nature n’a pas voulu que les hommes, en général, apprissent à sentir ce qui leur est nécessaire ; mais le goût intellectuel demande plus de temps pour se former. […] J’ai dit, il est vrai, dans le Siècle de Louis XIV, à l’article des musiciens, que nos rimes féminines, terminées toutes par un e muet, font un effet très-désagréable dans la musique, lorsqu’elles finissent un couplet. […] Voilà pourquoi Quinault a grand soin de finir, autant qu’il le peut, ses couplets par des rimes masculines : et c’est ce que recommandait le grand musicien Hameau à tous les poëtes qui composaient pour lui.

179. (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433

Il en est chez le duc, il en est chez le prince ; L’ouvrage le plus plat a chez les courtisans De tout temps rencontré de zélés partisans ; Et, pour finir enfin par un trait de satire, Un sot trouve toujours un plus sot qui l’admire1.

180. (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503

La noblesse leur a été hostile à l’un et à l’autre, et ils ont fini par la dompter, Richelieu par la violence, et Mazarin à force de souplesse et d’habileté. […] Comment finirais-je mieux, Monsieur, qu’en vous invitant à suivre l’exemple que vous ont donné tant de provinciaux ? […] Son siècle ne lui a fourni qu’une matière informe, une sorte de pierre brute ; il l’a taillée, façonnée, polie, et il en a fait un diamant rare par le fini du travail. […] – Va, mets-toi sur les bras les juges et les princes, Et, le combat fini, calcule les profits !  […] Pauline, éloignée de Sévère, est unie à un homme qu’elle estime, admire, et finit par aimer. – Monime, isolée dans une cour étrangère, en présence de l’amant qu’elle a toujours fui, doit encore défendre son cœur contre les attaques de Pharnace.

181. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre II. Application du chapitre précédent au discours de Cicéron pour Milon. »

Sed finis sit ; neque enim præ lacrymis jam loqui possum ; et hic se lacrymis defendi velat.

182. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Observations générales sur l’Art d’écrire les Lettres » pp. 339-364

On finit tout uniment une lettre par ces mots qu’on met à l’alinéa, je suis, ou j’ai l’honneur d’être, en y joignant l’expression de quelque sentiment, selon le rang de la personne à laquelle on écrit.

183. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre premier. De l’invention. »

Pour résumer, il n’est pas très difficile d’être vraisemblable dans l’invention à quiconque connaît la nature, et sait extraire de cette mère de toutes choses l’agrément, le fini, la beauté, la perfection.

184. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »

La Fontaine, dans la fable, le Chêne et le Roseau, lorsque le Roseau a fini de répondre au discours orgueilleux du Chêne, se sert d’une transition pour passer à l’arrivée de la tempête : Votre compassion, lui répondit l’arbuste, Part d’un bon naturel : mais quittez ce souci ;     Les vents me sont moins qu’à vous redoutables : Je plie, et ne romps pas.

185. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fénelon 1651-1715 » pp. 118-132

Le jeune prince 2 Le Soleil, ayant laissé le vaste tout du ciel en paix, avait fini sa course et plongé ses chevaux fougueux dans le sein des ondes de l’Hespérie.

186. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »

Ses Sermons étincelants d’esprit, pleins de pensées justes et profondes, de raisonnements solides, et de portraits finis de nos mœurs, abondent en images et en sentiments. […] Il expose ensuite ses moyens ou preuves, les développe, et finit par prendre des conclusions, dans lesquelles il spécifie l’objet de sa demande.

187. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »

Tous les siècles qui ont coulé jusqu’à nous, vous les regarderiez comme des instants fugitifs ; tous les peuples qui ont paru et disparu dans l’univers, toutes les révolutions d’empires et de royaumes, tous les grands événements qui embellissent nos histoires, ne seraient pour vous que les différentes scènes d’un spectacle que vous auriez vu finir en un jour. […] Il expose ensuite ses moyens ou preuves, les développe, et finit par prendre des conclusions dans lesquelles il spécifie l’objet de sa demande.

188. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »

Le célèbre sonnet de Scarron, dans lequel le poète débute sur un ton noble et pompeux, et où il finit portrait plaisant, restera toujours comme un modèle de suspension badine. […] César et Henri IV Tous deux avaient reçu de la nature une âme élevée et sensible, un génie également souple et profond dans les affaires politiques, de grands talents pour la guerre ; tous deux furent redevables de l’empire à leur courage et à leurs travaux : tous deux pardonnèrent à leurs ennemis, et finirent par en être les victimes : tous deux connaissaient le grand art de s’attacher les hommes et de les employer ; art le plus nécessaire de tous à quiconque commande ou veut commander : tous deux étaient adorés de leurs soldats, et mêlaient les plaisirs aux fatigues militaires et aux intrigues de l’ambition.

189. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bossuet. (1627-1704.) » pp. 54-68

N’y a-t-il point d’ennemis à réconcilier, de différends à pacifier, de querelles à finir, où le Sauveur dit : « Vous aurez sauvé votre frère1 ! 

190. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Molière 1622-1673. » pp. 27-43

Toutes les passions finissent par être cruelles, comme l’égoïsme.

191. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322

« Il faut, dit Quintilien, avoir soin d’être conséquent, et ne pas faire comme beaucoup de gens qui, après avoir commencé par une tempête, finissent par un incendie ou une ruine ; ce qui est extrêmement vicieux102. » Condillac explique ce que c’est qu’une métaphore préparée, en citant madame de Sévigné : « Vous êtes bonne quand vous dites que vous avez peur des beaux esprits.

192. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174

Après les spectacles, qui commençaient à cinq heures et finissaient à neuf heures, on allait souper.

193. (1881) Rhétorique et genres littéraires

On distingue deux principes dans la versification latine : 1° la césure (cædere, couper), syllabe longue qui finit un mot et commence un pied ; 2° l’Élision (elidere, briser, annuler), qui est la suppression d’une syllabe à la fin d’un mot. […] La syllabe muette est celle qui, à la fin d’un mot, finit par un e muet, tantôt seul, tantôt suivi de s ou de nt. […] Le madrigal du marquis de Saint-Aulaire adressé à la duchesse du Maine, qui, en l’appelant son Apollon, lui demandait le secret de sa rêverie :             La divinité qui s’amuse             À me demander mon secret, Si j’étais Apollon ne serait point ma muse : Elle serait Thétis et le jour finirait. […] Ils s’entremêlent selon la fantaisie du poète, comme des vers libres ; l’alinéa finit chaque fois que le poète les coupe en faisant revenir habilement un des deux vers refrain.

194. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre IV. Beautés morales et philosophiques. »

Cependant la mort vient ; le temps finit pour toi ; Présomptueux sophiste !

/ 222