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272. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VIII. de la disposition. — unité, enchainement des idées  » pp. 98-117

Apprenons toutefois que le fils de Latone, Dont nous suivons la cour, Ne nous vend qu’à ce prix ces traits de vive flamme, Et ces ailes de feu qui ravissent une âme Au céleste séjour.

273. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252

« La phrase vive de Montesquieu a été longtemps méditée ; ses mots, légers comme des ailes, portent des réflexions graves.

274. (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »

Mais ce genre excita lui-même de nombreuses et vives contestations parmi les gens de lettres ; nous ne les réveillerons point ici : un seul mot d’ailleurs décide la question.

275. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193

Voici un exemple de ces dialogues vifs et concis que Corneille a très-heureusement imités de la scène grecque, où ils sont beaucoup plus multipliés que sur notre théâtre.

276. (1865) De la Versification française, préceptes et exercices à l’usage des élèves de rhétorique. Première partie. Préceptes. Conseils aux élèves.

10 Ton travail en ce monde, et le pain dont tu vive ?

277. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Jean-Jacques Rousseau, 1712-1778 » pp. 313-335

« Deux choses presque inalliables s’unissent en moi : un tempérament très ardent, des passions vives, impétueuses, et des idées lentes à naître, embarrassées, et qui ne se présentent jamais qu’après coup.

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