Il reprit les armes en 1567, fut vaincu à Jarnac, et tué par Montesquion.
Ce n’est pas son métier de traîner la charrue ; Il couche sur la neige, il soupe quand il tue ; Il vit dans l’air du ciel qui n’appartient qu’à Dieu. […] Je ne sais que résoudre… immobile et troublé, C’est rester trop longtemps de mon doute accablé ; C’est trop souffrir la vie et le poids qui me tue. […] Il va ressusciter cette force abattue ; Son souffle emportera la douleur qui me tue.
Mais du moins, au nom de Jupiter qui préside aux batailles, au nom des Dieux témoins des serments, tuez-moi avec le fer qui, sous ma conduite, a percé tant d’ennemis ! […] Quant aux Romains, ou ils ne supporteront pas la disette, ou bien, s’ils s’éloignent de leur camp, ils courront les plus grands dangers : il importe donc peu de les tuer ou de les dépouiller de leurs bagages, sans lesquels la guerre est impossible. […] J’en ai été instruit par ton ami Clitus, que tu as tué d’un coup de lance au milieu d’un festin, parce qu’il avait été assez téméraire pour élever mes talents militaires au-dessus des tiens. […] Une faible lumière y pénétrait à peine, et l’esclave crut voir des traits de flamme s’élancer des yeux de Marius ; puis, du fond des ténèbres, il entendit soudain sortir une voix terrible qui lui dit : « Soldat, oseras-tu bien tuer C. […] » À ces mots, le barbare prend la fuite ; jetant son glaive, il se précipite dans la rue, tout hors de lui et en criant : « Non, non, je ne puis tuer C.
Quand un nom de nombre est précédé du pronom relatif en, on met élégamment la préposition de avant l’adjectif ou le participe qui se rapporte à ce nom : = on en compte trois de tués et six de blessés : = il y en a deux de médiocres et quatre de mauvais. […] Ainsi il y a une faute dans ce vers : C’est toi qui me tue : Mais je pardonne à ta fureur. […] Lucrèce s’est tuée, c’est-à-dire a tué elle ; et Lucrèce s’est donné la mort, c’est-à-dire, a donné la mort à elle.
Sire, ainsi ces cheveux blanchis sous le harnois, Ce sang pour vous servir prodigué tant de fois, Ce bras jadis l’effroi d’une armée ennemie, Descendaient au tombeau tout chargés d’infamie, Si je n’eusse produit un fils digne de moi, Digne de son pays, et digne de son roi : Il m’a prêté sa main, il a tué le comte ; Il m’a rendu l’honneur, il a lavé ma honte. […] Qu’on nomme crime ou non ce qui fait nos débats, Sire, j’en suis la tête, il n’en est que le bras1 Si Chimène se plaint qu’il a tué son père, Il ne l’eût jamais fait, si je l’eusse pu faire.
Tuer un poulet.