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12. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205

La poésie didactique présente-t-elle des avantages sur les traités en prose ? La poésie offre, en ce genre, des avantages sensibles sur la prose. […] L’épître familière est quelquefois mêlée de prose, et on loi donne alors le nom d’épître mixte. […] Il n’est pas facile de réussir dans cette espèce de composition, parce qu’il faut une grande flexibilité de ton pour passer sans effort, dans le même sujet, des vers à la prose et de la prose aux vers. […] Le conte est écrit en prose ou en vers : nous n’avons à parler ici que du conte en vers.

13. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Introduction » pp. -

Le serment de Louis le Germanique sera le premier monument de la prose officielle, comme le cantilène de sainte Eulalie est le premier symptôme de la poésie populaire. […] C’est donc par la poésie que se révèle le génie de notre race, si éminemment douée pour la prose. […] La prose enfin commence à nous montrer ses titres. […] Maintenant, c’est le tour de la prose. […] Dès lors, le temps approche où ces poëmes seront mis en prose et aboutiront à la Bibliothèque bleue qu’on lit encore dans nos villages.

14. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VI. Contes, romans, nouvelles. »

Le roman poétique est celui dans lequel les événements ont quelque chose d’héroïque, et où surtout l’auteur affecte en prose les formes de style et les idées généralement réservées à la poésie. […] C’est pour cette sorte d’ouvrage qu’on a quelquefois proposé le nom de poème en prose. […] C’est une partie de la description des armes de Télémaque, description imitée des poèmes d’Homère et de Virgile, qui montrera ce que c’est que la prose poétique. […] Au-dessous des plus petites nouvelles, en diminuant toujours d’étendue, se trouvent les petits contes en prose, les historiettes, anecdotes, bons mots, reparties ingénieuses, etc.

15. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XII. Abrégé des règles de la versification française. »

Le vers qui manque de césure à l’hémistiche — ressemble à une ligne de prose : tels sont les vers suivants : Ma foi, j’étais un franc—portier de comédie. […] Il y a certains mots poétiques qui vont mieux aux vers qu’à la prose. […] L’inIversion est admise en poésie bien plus souvent qu’en prose ; elle est un des caractères essentiels et une des beautés du langage poétique ; elle lui donne de la grâce et de la vigueur. […] Genres en prose. Toutes les compositions en prose peuvent se partager en cinq genres, savoir : 1° Le genre oratoire, ou l’éloquence ; 2° Le genre historique ; 3° Le genre didactique ou philosophique ; 4° Le genre du roman ; 5° Le genre épistolaire.

16. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Avertissement. »

Le livre que nous présentons aujourd’hui à la jeunesse renferme deux parties distinctes qui peuvent s’étudier simultanément : la première est une théorie générale de l’art d’écrire ; la seconde, une étude des genres de littérature en vers et en prose. […] L’histoire de la littérature, si intéressante et si utile quand elle est bien faite, suppose toujours une connaissance suffisante des principes de l’art d’écrire, et des genres tant en vers qu’en prose ; sinon elle est peu profitable, et souvent même inintelligible. […] L’étude des genres en prose qui termine l’ouvrage renferme un tableau complet de l’éloquence, de l’histoire et du roman ; nous avons fait un historique de ce dernier genre, dont nous avons signalé avec soin les dangers et les abus.

17. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »

Après un coup d’œil général sur les deux formes de langage (la prose et les vers), vient l’étude des ouvrages en prose, et d’abord celle des discours prononcés : c’est proprement le traité de rhétorique ; puis l’étude du genre épistolaire ; celle du genre didactique ; celle du genre historique et des fictions en prose, c’est-à-dire des contes et romans.

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