Comment parvenir à persuader, à instruire, à attendrir, à récréer, selon les divers sujets, et toujours à intéresser l’auditeur ou le lecteur : voilà le problème qu’il se propose.
Le cardinal s’avança et proposa de rendre les prisonniers, pourvu que le parlement promît de ne pas continuer ses assemblées.
Il serait bien de n’y insérer des choses étrangères au but qu’on se propose que dans le cas où elles pourraient distraire efficacement l’esprit du correspondant.
On propose un réquisitoire.
La fin qu’il se propose est de donner plus d’étendue à l’idée que nous nous faisons de la perfection humaine, ou, en d’autres termes, d’exciter l’admiration. […] La nature et le bon sens exigent que tout auteur, entrant en matière, propose ce dont il s’agit.
La nature de l’émotion que l’on se propose d’exciter par une description sublime, ne souffre point de médiocrité : ou l’âme est transportée de plaisir, ou elle n’est pas même faiblement émue ; point de milieu.