— Les princes et rois jouent quelquefois. […] Votre Majesté ne souffrirait jamais qu’on dise qu’un cadet de la maison de Lorraine lui aurait fait perdre terre ; encore moins qu’on la vît mendier à la porte d’un prince étranger. […] Le général demande au prince quelle heure il est. Le prince lui répond : « Tu as l’esprit si gras pour avoir bu du vin d’Espagne, pour t’être déboutonné après souper, pour avoir dormi sur un banc après dîner, que tu as oublié ce que tu devrais savoir. […] On va jusqu’à imprimer que les princes sont quelquefois mal éduqués.
Je broche une comédie dans les mœurs du sérail : auteur espagnol, je crois pouvoir y fronder Mahomet sans scrupule ; à l’instant un envoyé de je ne sais où se plaint que j’offense dans mes vers la Sublime-Porte, la Perse, une partie de la presqu’île de l’Inde, toute l’Égypte, les royaumes de Barca, de Tripoli, de Tunis, d’Alger et du Maroc ; et voilà ma comédie flambée pour plaire aux princes mahométans, dont pas un, je crois, ne sait lire, et qui nous meurtrissent l’omoplate en nous disant : « Chiens de chrétiens !
Héraut, n. m. messager d’un prince, etc.
L’athée L’athée croit qu’un État ne peut être bien gouverné que par la sagesse et le conseil d’un prince ; il croit qu’une maison ne peut subsister sans la vigilance et l’économie d’un père de famille ; il croit qu’un vaisseau ne peut être bien conduit sans l’attention et l’habileté d’un pilote ; et quand il voit ce vaisseau voguer en pleine mer, cette famille bien réglée, ce royaume dans l’orde et dans la paix, il conclut, sans hésiter, qu’il y a un esprit, une intelligence qui y président.
Cette page termine une lettre adressée à M. le prince de la Gisterna : M.
Andrieux nous décrit l’endroit où s’élevait le moulin de Sans-Souci : Sur le riant coteau par le prince choisi, S’élevait le moulin du meunier Sans-Souci. […] — Oui. — C’est que je le garde : Voilà mon dernier mot. » Ce refus effronté Avec un grand scandale au prince est raconté. […] La seconde, à la faveur d’une franche protestation de respect et de dévouement, coulent un refus d’obéissance, et donne au prince auquel elle est adressée, une forte leçon d’humanité.