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267. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — CHAPITRE PREMIER. Du genre léger on des poésies fugitives » pp. 75-95

Ensuite il ajoute : Sans y penser j’ai vingt vers ajustés, Et la besogne est plus qu’à demi faite.

268. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIX. des qualités accidentelles du style. — noblesse, richesse, énergie, sublime  » pp. 257-273

« L’énergie, dit Montaigne, enfonce la signification des mots. » C’est pour cela que la concision l’accompagne le plus souvent, sans en être cependant, comme l’ont pensé quelques-uns, la condition indispensable.

269. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXV. des figures. — figures par développement et par abréviation  » pp. 353-369

Le vers si souvent cité : Le crime fuit la honte et non pas l’échafaud, est une ellipse obscure, quoi qu’en pense Condillac.

270. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Nisard. Né en 1806. » pp. 585-597

En lisant certaines Causeries sur des lettres illustres, on pense à Plutarque et à Bayle3, et on les retrouve.

271. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre II. De l’emploi des figures dans les écrivains sacrés. »

Nous pensons qu’il suffît d’être de bonne foi, et d’avoir le sentiment ou l’idée seulement du vrai poétique et du sublime de conception, pour apprécier l’effet de semblables tableaux.

272. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXVI. des figures. — figures par mutation et inversion  » pp. 370-387

Tous peuvent penser et dire que tout est vanité dans ce monde, mais si cette triste vérité apparaît à un puissant roi, homme de génie ; si au milieu des grandeurs, des plaisirs, des études, chaque découverte, chaque succès, chaque volupté nouvelle la lui confirme, ce n’est plus une idée qu’il formulera, c’est un cri presque involontaire qui lui échappera : « O vanité des vanités !

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