Il y a là des pages qui rappellent Poussin et Lucrèce, mais un Lucrèce chrétien, comme l’attestent ses Poëmes évangéliques où abondent les beaux vers animés par le souffle de la foi. […] L’épisode auquel appartiennent ces vers est emprunté à une triste page de l’Histoire contemporaine, celle qui raconte les malheurs de la France envahie en 1815 par l’Europe coalisée. […] Ces pages, vraiment patriotiques, sont de celles qui honorent un poëte, et méritent d’être proposées comme un modèle à la jeunesse française.
Il y a dans toute cette page une tristesse éloquente, celle d’un penseur qui connaît à fond la misère humaine, et en souffre, parce qu’il aime les hommes. […] Il y a dans Pascal plus d’une page qu’on ne peut lire sans éprouver comme une sorte de vertige. […] (Même recueil, page 138.)
Vers le quart de la page, à partir du haut, on écrit seuls sur la ligne les mots Monseigneur, Monsieur, Madame ou Mademoiselle, selon l’état ou le rang de la personne, en ajoutant au mot Monsieur ou Madame le titre d’une dignité ou d’une charge élevée, s’ils en ont quelqu’une. […] On doit aussi, au bas de la même page, laisser un intervalle convenable, et, au revers, commencer à peu près à la même hauteur où on a mis Monsieur ou Madame. […] On répète ensuite le mot Monsieur, Madame, tel qu’il a été écrit d’abord, en s’écartant de la ligne et un peu au-dessous ; et puis, en descendant toujours vers le coin de la page, on met : Votre très humble et très obéissant serviteur.
De grands esprits l’annoncent, la signalent, et Leibniz, dès 1704, en résume presque toute l’histoire dans une page qui atteint à la clairvoyance d’une prophétie7. […] Parmi les études détachées de Montesquieu, il faut compter au nombre de ses meilleurs pages le Dialogue de Sylla et d’Eucrate et Lysimaque. […] Mais ici c’est à la partie la moins contestable de ses œuvres que nous voulons nous arrêter, c’est-à-dire à ces pages de causeries qui ont véritablement, selon Sainte-Beuve, créé en France la critique des beaux-arts. […] Depuis, différents essais et une correspondance inédite avec le marquis de Mirabeau ont ajouté quelques pages rares à l’œuvre littéraire de Vauvenargues. […] Il était resté cependant de lui quelques pages supérieures qui méritaient de survivre.
Un récit de deux pages est court, s’il ne contient que ce qui est nécessaire ; un récit de vingt lignes est long, s’il contient des détails inutiles. […] (Voir leçon V, page 23.) […] (Voir page 32.)
Vers le quart de la page, à commencer en haut, on écrit le mot Monseigneur, Monsieur, Madame ou Mademoiselle, selon l’état et le rang de la personne, en ajoutant au mot Monsieur ou Madame le titre d’une terre ou d’une charge distinguée, s’ils en ont un. […] On doit laisser aussi au bas de la même page un espace un peu considérable, et, au revers, commencer à peu près à la même hauteur, où l’on a placé de l’autre côté le mot de Madame ou de Monsieur. […] Il faut avoir soin de le répéter le plutôt qu’on peut, quand on a tourné la page. […] On répète ensuite le mot de Monsieur, en s’écartant de la ligne et un peu au-dessous ; et puis, en s’écartant et descendant toujours vers le coin de la page, on met, votre très humble et très obéissant serviteur.