Objet que la poésie se propose. […] Instruire ou plaire : tel est l’objet de la poésie, si même elle n’aspire à plaire et à instruire tout à la fois.
Voilà des meubles qui sont des reliques, et non, comme il arrive trop souvent aujourd’hui, des objets de luxe ou des témoins indifférents de notre vie turbulente et affairée.
Cela ne peut pas plus être l’objet d’une question, que la matière d’un doute.
« Loin de nous les héros sans humanité, s’écrie Bossuet ; ils pourront bien forcer les respects et ravir l’admiration comme font tous les objets extraordinaires, mais ils n’auront pas les cœurs. » (Oraison funèbre du prince de Condé.)
Il n’a point détourné ses regards d’une fille, Seul reste du débris d’une illustre famille6 : Peut-être il se souvient qu’en un temps plus heureux Son père7 me nomma pour l’objet de ses vœux.
Nous avions chez nous sept cents boucliers, de l’or et de l’argent à profusion, du cuivre, des objets d’art, des voiles et des parures de femme en si grande quantité que jamais les Trente n’auraient espéré avoir richesses pareilles en leur possession.