• Discours de Guillaume Penn aux émigrants puritains venus en Amérique pour y fonder une société nouvelle (1682). (11 novembre 1881). […] À cette nouvelle, Achille s’abandonne aux transports d’une douleur sauvage ; il abjure sa résolution et se dispose à venger la mort de son ami. […] Il a conçu l’apologue d’une façon toute nouvelle et qui lui appartient. […] Recherchons les principales influences qui ont donné à la littérature, cette physionomie nouvelle. […] Il y a trois cents ans que les rois de France n’ont rien fait de si glorieux ; je suis fou de joie et ne veux point tarder à vous en donner la nouvelle.
On peut donc dire : nulle paix qui soit durable. = Je n’ai reçu aucune nouvelle qui me fasse plaisir. […] Dans cet exemple, cité par Duclos : avez-vous entendu chanter la nouvelle actrice ? […] il faut répondre : je l’ai entendu chanter, parce qu’on ne pourrait pas dire : j’ai entendu la nouvelle ariette chanter ; il faudrait dire : j’ai entendu chanter la nouvelle ariette. […] J’ai vu hier la pièce nouvelle. […] Il n’y a rien de moins vrai que cette nouvelle, veut dire, cette nouvelle n’est pas vraie.
Il semble que l’âme est un écho où le son prend une puissance nouvelle. […] Le bruit courut que le duc avait été tué, et, à cette nouvelle, la fuite commença. […] La civilisation orientale est tombée sous la civilisation grecque ; la civilisation grecque est tombée sous la civilisation romaine ; une nouvelle civilisation sortie des furets de la Germanie a détruit la civilisation romaine : que deviendra cette nouvelle civilisation ? […] La musique jouait des airs animés dans les passages difficiles et les encourageait à surmonter ces obstacles d’une nature si nouvelle. […] Cette nouvelle, répandue dans la division, y causa la plus pénible surprise.
Il y a une vingtaine d’années, quelques individus qui croyaient avoir découvert un nouveau lien social et humanitaire jugèrent convenable de se poser apôtres d’une nouvelle religion ; mais n’ayant dans le fait aucune idée de dogme et de culte nouveau, et ne pouvant donner une définition de chose, ils s’arrêtèrent à une définition de mot, et par un subterfuge, si l’on veut, de rhétorique, ils appuyèrent surtout, pour développer et confirmer leur pensée, sur l’étymologie du mot religion. « Religion, disaient-ils, vient de religare, lier de nouveau ; vouloir unir, relier, par une sympathie commune, les hommes divisés par l’égoïsme et l’antagonisme, c’est donc prêcher une nouvelle religion. » On sent très-bien que le développement par l’étymologie est souvent insuffisant. […] « Sans doute, dit-il, celui qui se borne à dire qu’une ville a été prise embrasse dans ce seul mot toutes les horreurs que comporte un pareil sort ; mais il ne remue pas les entrailles, et a l’air d’annoncer purement et simplement une nouvelle : mais développez tout ce qui est renfermé dans ce mot, alors on verra les flammes qui dévorent les maisons et les temples ; alors on entendra le fracas des toits qui s’abîment, et une immense clameur formée de mille clameurs ; on verra les uns fuir à l’aventure, les autres étreindre leurs parents dans un dernier embrassement ; d’un côté, des femmes et des enfants qui gémissent, et de l’autre, des vieillards qui maudissent le sort qui a prolongé leur vie jusqu’à ce jour ; puis, le pillage des choses profanes et sacrées, les soldats courant en tout sens pour emporter ou pour chercher leur proie, chacun des voleurs poussant devant soi des troupeaux de prisonniers chargés de chaînes, des mères s’efforçant de retenir leurs enfants, enfin les vainqueurs eux-mêmes se battant entre eux à la moindre apparence d’un plus riche butin.
Cette nouvelle Poétique peut donc être mise très avantageusement entre les mains des jeunes humanistes, car non seulement elle ne leur offre aucun danger au double point de vue des croyances et des mœurs, mais elle est très propre à éclairer leur esprit, à épurer leur goût et à orner leur cœur. […] Monsieur le Vicaire général, Je suis heureux de pouvoir vous adresser mes félicitations les plus sincères relativement à la nouvelle édition de votre Cours de littérature.
Il environne son héros d’une majesté nouvelle, en le comparant à Apollon lui-même conduisant, sur les sommets du Cynthus, les chœurs de danses célébrées en son honneur (Ænéid. […] « À cette nouvelle, Achaz frémit ; son cœur fut saisi de crainte et son peuple trembla, comme les arbres des forêts qui frissonnent à l’approche de la tempête131 ». […] Je vis en même temps comme une main qui me vint prendre par les cheveux de ma tête : l’esprit m’enleva entre la terre et le ciel, et me transporta à Jérusalem, à l’entrée de la porte septentrionale du parvis intérieur, où était placée l’idole de Jalousie, etc. » Le Seigneur fait voir à Ézéchiel, dans l’intérieur de chaque maison, les divers attentats qui s’y commettent, et lui dit, à chaque nouvelle scène d’horreur : Tourne les yeux, et tu verras des abominations plus grandes encore.