La première s’étendrait de 1715 à 1749, c’est-à-dire, de la mort de Louis XIV au traité d’Aix-la-Chapelle, qui termine la guerre de la succession d’Autriche. — La seconde époque, et la plus ardente, est celle qui prend son point de départ au milieu du siècle et nous conduit jusqu’à la mort de Voltaire et de J. […] Que de morts soudaines et étonnantes, et toujours la juste peine de l’usage indigne qu’on faisait de la vie73 ! […] Le vieillard mort est étendu sur ce lit ; une lumière qui tombe d’une fenêtre n’éclaire que son visage ; le reste est dans l’ombre. […] L’autre, les bras en l’air et les doigts écartés, semble concevoir les premières idées de la mort. […] Ses Harmonies, publiées après sa mort, n’ont pas ajouté à sa réputation.
. — Mort de Jeanne d’Arc. […] II, nº 17. — 2° Mort de Jeanne d’Arc. […] II, nº 23. — 2° L’Ange de la Mort (madame Amable Tastu). […] Lecture. — Mort de Polyphonte. […] — 2° Mort de Henri III Vol.
N’avez-vous jamais remarqué que, sur le champ de mort, l’homme ne désobéit jamais ? […] Qu’est-ce donc que cet être inexplicable qui a préféré à tous les métiers agréables, lucratifs, honnêtes et même honorables qui se présentent en foule à la force ou à la dextérité humaine, celui de tourmenter et de mettre à mort ses semblables ? […] Il la détache ; il la porte sur une roue : les membres fracassés s’enlacent dans les rayons ; la tête pend ; les cheveux se hérissent, et la bouche, ouverte comme une fournaise, n’envoie plus par intervalles qu’un petit nombre de paroles sanglantes qui appellent la mort. […] « Car le dernier ennemi qui doit être détruit, c’est la mort. » (S. […] Depuis la mort du grand Gœthe, la pensée allemande est rentrée dans l’ombre ; depuis la mort de Byron et de Walter Scott, la pensée anglaise est éteinte ; il n’y a plus à cette heure dans l’univers qu’une littérature allumée et vivante : c’est la littérature française.
naître pour vivre en désirant la mort ! […] C’est toujours par la mort que Dieu s’unit aux rois ; Leur couronne dorée a pour faîte sa croix ; Son temple est pavé de leurs tombes. […] Comparez Florian (la Vie et la Mort, même recueil.) […] Je retrouve le même accent dans cette oraison funèbre de Louvois, par madame de Sévigné : « Je suis tellement éperdue de la nouvelle de la mort très-subite de M. de Louvois que je ne sais par où commencer pour vous en parler. Le voilà donc mort, ce grand ministre, qui tenait une si grande place : dont le moi, comme dit M.
La faim mit Malfilâtre au tombeau, a dit Gilbert, mort lui-même à l’hôpital avant sa trentième année. […] Qu’ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu’un ami leur ferme les yeux3 ! […] Quelques vengeurs pourtant, armés d’un noble zèle, Ont de ces morts fameux2 épousé la querelle. […] Il est vrai de dire que, si Lally avait commis des fautes, il ne méritait cependant pas la mort. […] Ou des ces morts immortels, comme les appelle ailleurs Gilbert, empruntant cette dernière expression à J.
C’est à la mort de Caton et de Brutus que commence, à Rome, l’histoire de la philosophie stoïcienne ; ce sont les premiers martyrs du stoïcisme, et des martyrs inutiles. […] Ces hommes mouraient aussi avec courage ; mais il y eut dans leur mort autre chose encore que le stoïcisme n’eut jamais. […] — Rien moins, Thraséas, que d’aider par sa mort à régénérer le monde, et de verser son sang pour Dieu. […] Sa mort est une de ces morts bénies qui changeront le monde ; la vôtre est un beau et inutile spectacle. Le stoïcisme romain a vécu et est mort les bras croisés : c’est là son tort et son malheur.