., on réduirait à un bien petit nombre de pages la plus longue de ces productions.
Quand, dans la Bruyère, cette veuve a raconté tous les détails de la longue maladie et des derniers moments de son mari, et que le Distrait, qui a paru l’écouter avec la plus grande attention, lui répond sérieusement : « N’aviez-vous que celui-là ?
moi, c’est autre chose…, certaines comédies même, presque d’un bout à l’autre, ne seraient que de longues métalepses.
On s’en tient à ses amis, à ceux qu’un long commerce a éprouvés.
Ces deux points, assez clairs par eux-mêmes, n’ont, sans doute, pas besoin d’une plus longue explication. […] On doit les répéter avant des noms ou des verbes qui signifient des choses opposées, ou tout à fait différentes. = Rien n’est moins selon Dieu et selon le monde, que d’appuyer tout ce que l’on dit dans la conversation, jusqu’aux choses les plus indifférentes, par de longs et fastidieux sermens. = Ayez le courage de tout dire, pour vous justifier, ou pour vous déclarer coupable. […] Mais on ne pourra pas dire avec un historien : la vie de ce monarque ne fut pas assez longue, pour mettre la dernière main à tous ces projets ; parce que l’infinitif mettre ne se rapporte pas à vie, qui est le sujet, mais à monarque.
C’est augmenter inutilement une nomenclature déjà fort longue.