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113. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gresset. (1709-1777.) » pp. 291-296

Villemain a parlé de Gresset dans la 12e leçon de son Tableau de la littérature au xviiie  siècle.

114. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »

Les épîtres philosophiques ont pour sujet une question de morale, de littérature ou quelque grande passion. […] La France compte un troisième lyrique : c’est Lebrun (Écouchard), de qui Chénier a dit, dans son Tableau de la littérature française : « Il devra surtout à ses odes cette immortalité qu’il s’est promise ; et, dût cette justice rendue à sa mémoire étonner quelques préventions contemporaines, il sera dans la postérité l’un des trois grands lyriques français. » On peut sans doute trouver que Chénier ne marque pas assez la distance qu’il y a entre Lebrun et ses deux devanciers ; mais, en le mettant à sa juste place, il lui reste encore assez de beautés pour mériter sa renommée. […] Pierron, Hist. de la littérature grecque, ch. 7.

115. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gilbert. (1751-1780.) » pp. 297-303

Sainte-Beuve, on peut aussi consulter le Tableau de la littérature au dix-huitième siècle, par M. 

116. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre premier. Apologie de Socrate par Platon. »

) Si l’on entend, avec Platon, par diction poétique, l’expression fidèle et l’image sensible de la pensée, présentée pour ainsi dire en relief, il est certain que cette manière d’écrire appartient à l’éloquence, comme à tous les autres genres de poésie ou de littérature.

117. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre III. du choix du sujet. » pp. 38-47

Distribuaient-ils leur récit en feuilletons, une des modes, par parenthèse, les plus fatales à la saine littérature, ils n’oubliaient jamais de suspendre la narration au moment où la curiosité était le plus vivement piquée, le plus avidement inquiète.

118. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VII. des passions  » pp. 89-97

Les six morceaux sont réunis dans les Leçons de littérature de Noël et de la Place.

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