Mais que l’on nous raconte, ou que nous lisions nous-mêmes un trait de clémence, d’humanité, de justice ou de modération ; si ces vertus se sont signalées surtout dans la colère, ennemie de la raison, ou après la victoire, naturellement insolente et superbe, de quel transport nous nous sentons enflammés, et comme nous chérissons, sans même les avoir vus jamais, ceux qui ont donné ces grands exemples à la terre » ! […] On entendra, on lira avec étonnement vos triomphes sur le Rhin, sur le Nil, sur l’Océan.
Dans la composition, celui dont les idées se lient facilement trouve sans peine de grandes ressources pour écrire, et il se fait lire avec intérêt ; mais il faut observer que si les notions sont mal assorties, elles nous égarent et peuvent fausser notre jugement.
Page 158, version 89, lig. 4, pænurià, lisez : penurià. Page 230, version 28, lig. 6, ipse Peloponnesus, lisez : ipsa Peloponnesus. Page 246, version 37, lig. 9, posthumum, lisez : postumum. Page 324, version 80, lig. 13, cœnaturam confirmans, lisez : cœnaturam. Page 326, version 81, lig. 20, in amico, lisez : in animo.
Harles, d’après Sylburg et Batteux, propose de lire Τινδάρου.
Comme on n’a aucun autre renseignement sur cette pièce, Valckenaër conjecture qu’il faut lire ici « l’Antiope », pièce d’Euripide dont il reste environ cinquante fragments.
On peut lire dans Cicéron la justification de Milon, accusé du meurtre de Clodius. […] Lire dans Corneille le discours du vieil Horace défendant son fils (Horace, acte V, scène ii.) […] Que ces vers que je viens de lire Ont un accent tendre et touchant ! […] ce n’est pas un dernier chant Que ces vers que je viens de lire ! […] Que ces vers que je viens de lire.