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109. (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503

Dans la poésie légère, dans le madrigal, dans l’épigramme il est au premier rang. […] La critique sera légère et le reproche sera doux. […] Dans la poésie légère, personne ne lui conteste la première place. […] Condamnera-t-on pour quelques fautes légères tout un grand ouvrage ? […] L’arme est légère, mais la pointe en est acérée.

110. (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles

Dans les approches de la mort où la raison revient et où la vengeance cesse, l’amour de la patrie759 se réveille ; il croit satisfaire à sa patrie : il croit être rappelé de son exil après sa mort, et, comme ils parlaient alors760, que la terre serait plus bénigne et plus légère à ses os. […] Il se dépouilla parfaitement avec elles du caractère de savant et de philosophe, caractères cependant presque indélébiles, et dont elles aperçoivent bien finement et avec bien du dégoût les traces les plus légères. […] Vauban donc abolissait toutes sortes d’impôts, auxquels il en substituait un unique, divisé en deux branches, auxquelles il donnait le nom de dime royale, l’une sur les terres, par un dixième de leur produit, l’autre léger, par estimation1050, sur le commerce et l’industrie, qu’il estimait devoir être encouragés l’un et l’autre, bien loin d’être accablés. […] Mais ce sont surtout les lettres, les poésies légères et les opuscules polémiques qui se multiplient sous sa plume à cette époque : il correspond avec tout ce qu’il y a d’illustre et de puissant en Europe, et élève victorieusement la voix dans toutes les affaires qui passionnent l’opinion publique. […] Lorsqu’ils sont un peu forts, il les exerce à la course, il les excite par l’exemple des chevaux et parvient à les rendre aussi légers et plus robustes.

111. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre III. De l’Éloquence chez les Romains. »

Mais les détails qui concernent l’homme public et le philosophe, n’entrent point dans notre plan : il ne s’agit ici que de l’orateur, et nous allons tâcher de le faire connaître, en exposant ses qualités et les taches légères qui les déparent quelquefois.

112. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Supplément aux exemples. »

Le devoir fait, légers comme de jeunes daims, Nous fuyions à travers les immenses jardins, Éclatant à la fois en cent propos contraires, Moi, d’un pas inégal je suivais mes grands frères ; Et les astres sereins s’allumaient dans les cieux ; Et les mouches volaient dans l’air silencieux ; Et le doux rossignol, chantant dans l’ombre obscure, Enseignait la musique à toute la nature ; Tandis qu’enfant jaseur, aux gestes étourdis, Jetant partout mes yeux ingénus et hardis, D’où jaillissait la joie en vives étincelles, Je portais sous mon bras, noués par trois ficelles, Horace et les festins, Virgile et les forêts, Tout l’Olympe, Thésée, Hercule, et toi, Cérès, La cruelle Junon, Lerne, et l’hydre enflammée, Et le vaste lion de la roche Némée.

113. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Balzac. (1594-1655.) » pp. 2-6

Avant lui, on se doutait bien de quelque chose : on donnait de légères atteintes à la vérité ; on avait quelques soupçons et quelques conjectures de ce qui est.

114. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bernardin de Saint-Pierre. (1737-1814.) » pp. 153-158

Une vapeur qui sort de la terre est le foyer ordinaire de leur plaisir ; mais souvent une sombre hirondelle traverse tout à coup leur troupe légère et avale à la fois des groupes entiers de danseurs.

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