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263. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317

Mais comment voudraient-ils à travers les dangers, Poursuivre ma vengeance en des bords étrangers ; Eux que leur intérêt et que leur propre vie Ont à peine arrachés du sein de leur patrie ?

264. (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes

Avertissement Le présent recueil de Morceaux choisis des poètes classiques français a été composé sur le même plan que le recueil de Morceaux choisis des prosateurs classiques français qui l’a précédé. Il serait inutile de reproduire en tête du second les explications préliminaires que contenait l’Avertissement du premier. Il nous suffira de rappeler que, si nous avons réduit le nombre des passages empruntés aux maîtres de la poésie française du xviie  siècle, qui sembleraient devoir occuper de droit la plus grande place dans un recueil classique, c’est que les nouveaux programmes leur ont précisément fait dans renseignement des classes une place plus étendue que les programmes antérieurs. Molière n’est plus restreint au Misanthrope, Corneille à quatre, Racine à trois de ses tragédies ; le cadre étroit du théâtre dit classique a été élargi, ou plutôt supprimé ; plusieurs comédies de Molière sont mises entre les mains des élèves de troisième, de seconde et de rhétorique ; plusieurs des tragédies de Corneille et de Racine sont dans les deux premières classes, leur théâtre complet est ouvert aux élèves de la dernière. Les douze livres des Fables de La Fontaine sont sous leurs yeux en seconde et en rhétorique.

265. (1865) De la Versification française, préceptes et exercices à l’usage des élèves de rhétorique. Première partie. Préceptes. Conseils aux élèves.

Au pied de ses remparts quel intérêt m’appelle ?

266. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Canevas

Chasseur sans intérêt, il m’apporte sa proie. […] On crie à l’intendant des jeux de faire lever la victime que ne voit point le tigre bondissant — … Les préposés s’approchent et piquent le gladiateur avec les pics de leurs lances — Celui-ci pousse un cri, auquel répondent toutes les bêtes féroces enfermées dans les caveaux de l’amphithéâtre. — Il saisit la lance qui l’avait blessé, la brise en deux parties, on jette une à la tête de l’intendant des jeux, et s’avance avec l’autre contre le tigre — … Taille colossale du gladiateur, intérêt qu’il excite — ce qu’il fait en attendant l’attaque du tigre — … Le peuple demande que, suivant l’usage, le gladiateur ne soit point armé — … Cédant à cette exigence, il brise de nouveau le tronçon de la lance et en jette les morceaux à la tête du tigre — … L’animal frappé par derrière se retourne et s’élance sur le gladiateur — … Celui-ci se baisse et le tigre tombe derrière lui — … Trois lois cette manœuvre est exécutée — … Le tigre vient lentement et à pas comptés… mais cette fois c’est l’homme nui saule par-dessus l’animal — … Apres avoir fatigué longtemps son ennemi, le gladiateur se prépara enfin au combat —. […] Pour donner plus d’intérêt à cette narration, vous ferez, avant l’exposition, une petite description d’un festin donné à l’empereur Rodolphe, longtemps après le lait que vous avez à raconter. […] Efforcez-vous de faire croître l’intérêt, de manière à ce que le sort de Robert paraisse désespéré au moment où il retrouve son fil.

267. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »

Tribuns, magistrats créés à Rome, pour défendre les intérêts du peuple, et qui devaient être toujours tirés du corps des plébéiens.

268. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160

Tibulle, Ovide et Properce la réduisirent à peu près aux seuls intérêts de l’amour : elle servit à exprimer ses plaintes et ses succès.

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