On peut voir les mêmes idées traitées par L. […] Sur ces idées, on peut encore rapprocher de Corneille Juvénal et Boileau, discourant de la noblesse, le premier dans sa huitième satire, le second dans sa cinquième, et Montesquieu, qui dit de la noblesse, avec sa concision ordinaire : « L’honneur en est, pour ainsi parler, l’enfant et le père. » Esprit des Lois, V, 9.
Ces citations et l’excellente théorie d’Aristote, sont plus que suffisantes pour donner une idée appréciable de l’espèce d’harmonie que comporte la prose, du charme qu’elle y répand, et des effets heureux qui en résultent dans le discours.
Rien n’est plus contraire aux progrès d’une éducation solide que la lecture des romans ; ces frivoles distractions dégoûtent des travaux sérieux, jettent le trouble dans les idées, et fanent promptement cette fleur de l’imagination qui a besoin de tant de délicats ménagements.
Elles nous donnent aussi de leur auteur, malgré quelques mots sur lesquels on a fondé des accusations très-injustes de dureté et d’égoïsme, l’idée la plus favorable à tout égard.
Le Franc de Pompignan, a puisé dans le même fait l’idée d’une belle strophe, en déplorant la mort de J.
La pièce, à quelques jours de là, fut donnée à Fontainebleau, avec la nouvelle scène « dont le roi, dit Molière, lui avait suggéré l’idée, et qui fut trouvée partout le plus beau morceau de l’ouvrage ».