Monsieur mon frère, Je n’ai reçu que le 7 la lettre de Votre Majesté du 25 septembre. […] Sur ce, je prie Dieu, monsieur mon frère, qu’il vous ait en sa sainte et digne garde. De Votre Majesté, le bon frère, Napoléon. […] Garnier frères, p. 384.) […] C’est le lieu de citer la chanson de Béranger qui commence par cette strophe (édition Garnier frères) : On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps ; L’humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d’autre histoire.
Devant ma table vint s’asseoir Un pauvre enfant vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. […] Au pied d’un arbre vint s’asseoir Un jeune homme vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. […] Il me fit un salut d’ami, Et, se détournant à demi, Me montra du doigt la colline2… Un an après, il était nuit ; J’étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père3, Au chevet du lit vint s’asseoir Un orphelin vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère. Lorsque plus tard, las de souffrir, Pour renaître ou pour en finir, J’ai voulu m’exiler de France ; Lorsque, impatient de marcher, J’ai voulu partir, et chercher Les vestiges d’une espérance… Partout où j’ai voulu dormir, Partout où j’ai voulu mourir4, Partout où j’ai touché la terre, Sur ma route est venu s’asseoir Un malheureux vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère L’incendie Lorsque le laboureur, regagnant sa chaumière, Trouve le soir son champ rasé par le tonnerre, Il croit d’abord qu’un rêve a fasciné ses yeux, Et, doutant de lui-même, interroge les cieux.
A aron, né en Egypte l’an 1574 avant Jésus-Christ, et frère aîné de Moyse, dont il partagea tous les travaux dans la délivrance et la conduite du peuple de Dieu. […] C., privé, comme son frère, du bonheur d’entrer dans la terre promise, aujourd’hui la te.
Dieu seul est grand2, mes frères, et dans ces derniers moments surtout où il préside à la mort des rois de la terre ; plus leur gloire et leur puissance ont éclaté, plus, en s’évanouissant alors, elles rendent hommage à sa grandeur suprême : Dieu paraît tout ce qu’il est, et l’homme n’est plus rien de tout ce qu’il croyait être. Oui, mes frères, la grandeur et les victoires du roi que nous pleurons ont été autrefois assez publiées : la magnificence des éloges a égalé celle des événements ; les hommes ont tout dit, il y a longtemps, en parlant de sa gloire. […] Voyons-nous des mêmes yeux, mes frères, la vicissitude des choses humaines ?
Charles d’Aubigné, son frère On n’est malheureux que par sa faute : ce sera toujours mon texte1, et ma réponse à vos lamentations. Songez, mon cher frère, au voyage d’Amérique, aux malheurs de notre père, aux malheurs de notre enfance, à ceux de notre jeunesse, et vous bénirez la Providence au lieu de murmurer contre la fortune. […] Fille unique du frère de madame de Maintenon. — Le texte de cette lettre a été altéré par la plupart des recueils qui l’ont citée jusqu’ici.
Garnier frères.) […] Garnier frères.) […] Garnier frères.)