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265. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre V. Du Style en général, et de ses qualités. »

Voilà des exemples où la précision de la pensée s’unit à celle de l’expression, et qui prouvent que, bien loin d’être ennemie de la clarté, la précision, telle que nous la considérons ici, en est la compagne la plus fidèle.

266. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVI. des qualités essentielles du style. — clarté, pureté  » pp. 217-229

Je prends un seul exemple.

267. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXI. des figures  » pp. 289-300

Je choisis en général mes exemples dans la langue latine, où ils sont beaucoup plus fréquents que dans la nôtre.

268. (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre premier. Division générale. »

Citons comme exemples du sublime, dans les arts : l’Apollon du Belvédère, le Laocoon, le Jugement dernier de Michel-Ange, les pyramides d’Égypte.

269. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Bruyère. (1646-1696.) » pp. 91-100

Suard a cité et analysé ce bel apologue « pour donner à la fois, dit-il, par un seul passage, une idée du grand talent de Bruyère et un exemple frappant de la puissance des contrastes dans le style ».

270. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fénelon. (1651-1715.) » pp. 101-109

Quelques endroits sont animés de cette logique lumineuse et pressante dont il donna tant d’exemples dans ses débats avec Bossuet. » (Notice de M.

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