Je vois d’autres personnes auprès de moi, d’une semblable nature : je leur demande s’ils sont mieux instruits que moi ; ils me disent que non, et sur cela, ces misérables égarés5, ayant regardé autour d’eux et ayant vu quelques objets plaisants6, s’y sont donnés, et s’y sont attachés.
Dans le Cid de Diamante, Rodigue voit son père qui tient d’une main son épée, et de l’autre un mouchoir : il lui en demande raison. […] Venez au vieil Horace apporter votre offrande : Venez, jeunes beautés, Chimène la demande ; Accourez tous, Corneille à charmé vos loisirs ; Payez, en un seul jour, deux cents ans de plaisirs.
Si donc je veux donner à avibus une autre épithète que mutis, je les envisage sous le rapport moral, et je me demande : Pourquoi ces oiseaux ne chantent-ils pas ? […] « Peut-être me demanderez-vous quelles furent les destinées de Priam.
La disposition par interrogations et par réponses convient parfaitement à des leçons dont l’élève doit rendre compte, en classe, sur la demande du maître, et trahit, de la part de l’auteur, une longue expérience de l’enseignement.
Après le début vient l’invocation : c’est une prière adressée par le poète à une divinité ou à la muse, pour lui demander l’inspiration.
Les stoïciens de l’Empire conspirent peu ; ils ne cherchent pas à délivrer le monde de ses tyrans : ils se contentent de pourvoir à leur honneur par leur silence au sénat, et par un suicide paisible, quand l’empereur demande leur mort.